Jésus a annoncé la venue de l’islam dans la parabole de l’ivraie (Mt 13.24-30, 36-43), par laquelle Il Se présente Lui-même comme le Fils de l’homme entrevu par le prophète Daniel (Dn 7.13), envoyé non pas seulement à Israël comme veut le faire croire l’islam (Coran 43.59), mais au monde entier, pour y semer l’Évangile, principe de salut éternel reçu dans le baptême (Jn 3.5 ; Mc 16.16).

Jésus annonce que vient ensuite le Diable, comme l’islam vient après l’Église, pour semer dans le monde l’ivraie, cette plante encore appelée zizanie, qui ressemble au blé, comme le Coran se fait passer pour le véritable Évangile, mais plante vénéneuse, comme le Coran enseigne la haine (Coran 2.191,193 ; 3.10,82,151 ; 4.48,56,76,89,91 ; 5.33 ; 8.12,39,60,65 ; 9.5,9,17,28-30,34,36,73,111,123 ; 21.98 ; 22.55 ; 25.21,77 ; 33.26,60-62,64 ; 40.62 ; 47.4 ; 48.13 ; 59.4 ; 61.4,10-12 ; 66.9)… Et au contraire d’Allah commandant à tout musulman d’anticiper le Jugement dernier (Coran 9.44,124) en se substituant au divin Juge et à l’exécuteur de ses châtiments (véritable associationnisme !), Jésus demande de souffrir la présence des fils du Diable parmi nous… Et pourquoi ? Parce que le Christ, comme le Créateur, aime la vie, et est miséricordieux, mais encore parce que personne ne nait fils de Dieu ou fils du Diable, mais devient l’un ou l’autre, selon qu’il choisit, tout au long de sa vie, de croire au Christ ou non (Mc 16.16 ; Jn 3.5, 6.29 ; Ap 14.13 ; Coran 3.55). La Miséricorde et la Justice de Dieu sont ainsi pareillement glorifiées par la patience qui laisse aux pécheurs le temps de se repentir, et par la constance des justes dans l’exercice de leurs vertus, qui accroît leurs mérites et leur degrés de gloire éternelle (Mt 25.14-30 ; Lc 12.48 ; 21.36 ; 2 P 1.6 ; Ap 2.2,10,16,22,26 ; 3.3,10,11 ; 14.12 ; 20.12-15). Jésus annonce donc ici la venue d’une nouvelle génération d’hommes, ennemie des chrétiens (Coran 9.28-30) et vouée à l’Enfer (Mt 13.42 ; Mc 16.16 ; 2 Th 2.12). En témoigne encore dans le Coran lui-même ce qui a échappé à l’abrogation d’Allah, c’est à dire à la réécriture des textes judéo-nazaréens par les califes : Coran 3.55. Et en effet, alors que le Christ est venu rassembler l’humanité dans l’unité de la vérité, qu’Il est Lui-même (Jn 11.52, 14.6 ; Ac 9.5 ; Coran 6.73 ; 16.40), en détruisant, au prix de Son sacrifice, le mur de la haine entre juifs et non-juifs (Jn 15.12 ; Ep 2.13-16 ; He 1.1-12.29), l’islam vient relever ce mur en divisant à nouveau l’humanité entre musulmans et non-musulmans (Ap 20.7-12 ; Coran 60.4) !

En Jn 16.2 Jésus prophétise encore la venue de l’islam : « Vient un temps, dit-Il, où ceux qui vous tueront croiront rendre un culte à Dieu. » Or, de qui d’autre que de l’islam peut-on dire cela ? Qui d’autre qu’« Allah aime ceux qui vont jusqu’à tuer pour lui » (Coran 61.4) ? Ses adorateurs ne croient-ils pas lui plaire en lui offrant toutes sortes d’exactions, et célébrer son culte par l’humiliation et le meurtre des non-musulmans aux cris de « Allah o’akbar ! » (Coran 2.191 ; 4.11,22,37,74,89,101 ; 5.33,38 ; 8.12-17,39 ; 9.5,29,30,39,111,124 ; 33.26 ; 47.4-7 ; 60.4 ; 66.9…) ? A qui d’autre qu’au Démon offre-t-on pareils sacrifices ? Seuls les aveugles volontaires et autres idiots utiles, avec tous les damnés, peuvent nier que l’islam vient du Démon et conduit en Enfer (Ga 1.9) ! Qui peut en effet oser parler après la Vérité (Jn 14.6, Coran 6.73 ; 16.40), sinon le Menteur ? Qui peut venir après le Christ, sinon l’Antichrist (Mt 24.4,11,24 ; 2 Co 11.4 ; Ga 1.9 ; 1 Jn 2.22-27 ; 4.2-3 ; 2 Jn 7-11 ; Jude 18-19) ? Qui peut venir après Jésus, sinon Mahomet, revêtu de l’autorité de Jésus (Coran 7.157 ; 61.6), comme Jésus l’avait annoncé : « Il en viendra beaucoup se réclamant de Mon autorité pour dire : « C’est Moi ! », et ils abuseront bien des gens. » (Mc 13.6)…

Saint Paul prédit aussi la venue de l’islam. Je cite : « L’Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, certains renieront la Foi [ce que fait l’islam pour qui la Foi chrétienne est la pire des abominations (Coran 9.28-30)] pour s’attacher à des esprits trompeurs et à des doctrines diaboliques [Entre le devoir du jihad (Coran 4.74 ; 8.74 ; 9.24,124 ; 66.9…) et celui de tuer les apostats (Coran 4.89 ; 8.12-17), on a le choix.], séduits par des menteurs hypocrites marqués au fer rouge dans leur conscience [Quelle malédiction en effet que d’être un suppôt de l’islam !] : ces gens-là interdisent le mariage [C’est à dire le vrai mariage, celui qu’invalide l’absence de liberté de choix de l’épouse (Coran 4.25), la polygamie (Coran 4.3), le mariage des fillettes (Coran 65.4), l’inégalité juridique de l’homme et de la femme (Coran 2.228,282 ; 4.11,34), la répudiation (Coran 2.230 ; 65.1-4), le devoir de battre sa femme (Coran 4.34), etc. etc.] et l’usage d’aliments que Dieu a créés pour être pris avec action de grâces par les croyants et ceux qui ont la connaissance de la Vérité [ce qui désigne bien évidemment la nourriture halal]. » (1 Tm 4.1-4 ; 2 Tm 4.3).

De même, saint Jean écrit : « Quiconque ne demeure pas dans la doctrine du Christ, ne possède pas Dieu ; celui qui demeure dans cette doctrine possède le Père et le Fils» (2 Jn 7-9). Or, l’islam se fait précisément gloire de rejeter la révélation du Père et du Fils, qui est l’Esprit-Saint… ce qui est la marque même de l’Antichrist (1 Jn 2.22-23 ; 4.2-3).

Bref, tous ces textes ayant été écrits bien avant la venue de l’islam, ne peuvent être soupçonnés d’avoir été falsifiés pour dénigrer l’islam. Il est donc impossible de ne pas reconnaître en eux une divine mise en garde de l’islam (1 Jn 2.18-26).

Que celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende !