NB : Le moine Ashin Wirathu interrogé dans cette vidéo n’est pas une réincarnation de l’abbé Pagès, d’une part parce que la réincarnation n’existe pas, et d’autre part parce que l’abbé Pagès, qui n’est pas mort, n’aurait jamais accepté d’abandonner la foi catholique à laquelle il tient plus qu’à sa propre vie. Cependant, tous deux ont en commun d’aimer leurs concitoyens et d’oser dénoncer cette machination démoniaque qu’est l’islam — Qui peut venir en effet APRÈS le Christ, sinon l’Antichrist ? — capable de transformer de braves gens qu’elle soumet en ennemis du genre humain pour les vouer à l’Enfer…

Les Rohingyas, comme ailleurs les autres musulmans, sont des migrants envahisseurs en Birmanie. C’est une petite ethnie Bengalie que les Anglais ont refoulée vers la Birmanie au XIXe siècle et qu’ils avaient classée parmi les « tribus criminelles » (criminal tribes), c’est-à-dire parmi les “minorités dangereuses, parasitaires et prédatrices”.
Comme tous les autres musulmans, ils vivent en communauté, refusant d’intégrer la culture, les traditions et le mode de vie birman ; tout en revendiquant les avantages de la citoyenneté birmane. Les problèmes remontent à une trentaine d’années, dans le sud de la Birmanie où il y a une grande concentration de Rohingyas.
Lors du mois de Ramadan, les Rohingyas avaient saccagé les restaurants, et interdit l’élevage de porcs. Ils voulaient imposer la charia et le mode vie musulman dans un pays où la majorité des gens est bouddhiste. Les moines bouddhistes birmans ne veulent pas se laisser faire ; ils se sont organisés pour combattre les musulmans envahisseurs.
Ce n’est pas facile d’être à la place des autorités birmanes, d’où le silence de Aung San Suu Kyi.
La solution est que les Rohingyas retournent vivre chez eux au Bangladesh au lieu d’organiser la rébellion contre l’armée Myanmar Birman. 

Évidemment les musulmans du monde crient au génocide, une pratique qu’eux-mêmes n’hésitent pas à infliger aux mécréants, comme le leur demande Allah (Coran 5.3 ;  9.5 …).
Le gouvernement birman a entrepris donc d’expulser les migrants clandestins musulmans établis dans la région de Rakhine. Cette décision fait suite aux attaques islamistes perpétrées contre 24 postes de police birmans par des djihadistes de l’ethnie invasive dite des « Rohingyas ». Pour garantir la sécurité de la Birmanie et en finir avec le terrorisme islamique, l’armée birmane a donc entrepris d’expulser les clandestins musulmans s’étant établis dans la région de Rakhine et qui forment le noyau dur à l’origine des actions islamistes armées. En moins de deux semaines, 120 000 clandestins ont été renvoyés vers le Bangladesh dont ils ont originaires.
Une campagne antiterroriste qui a suscité la rage des Etats musulmans, des organisations islamistes internationales mais aussi de la presse pro-musulmane occidentale, française en tête. Cette dernière s’en prend violemment à l’actuelle chef du gouvernement birman, le Prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi, dans un article aux accents de réquisitoire.
Ces cris d’orfraie de la part d’une presse de gauche occidentale acquise à la cause de l’islam sont cependant isolés. La Chine et l’Inde ont ainsi apporté leur soutien à la Birmanie.

(Les extraits filmés de la vidéo viennent du film “Le Vénérable Wirathu” de Barbet Schroder).

____________________

L’affaire des Rohingyas : un « iceberg de désinformation »

Dans un article publié en ligne le 16 septembre dernier, le site de réinformation Minurne s’interroge sur l’occultation par les médias de l’oligarchie d’un certain nombre d’éléments concernant l’affaire des Rohingyas

Pourquoi donc les Birmans s’en sont ils soudainement pris à ce petit peuple, immigré du Bangladesh, qu’ils toléraient depuis plus de deux cents ans ? Les Rohingyas y pratiquaient jusqu’à récemment un islam plutôt nonchalant, et cohabitaient très pacifiquement avec les bouddhistes. Et pourquoi donc les Rohingyas se sont ils tout à coup radicalisés ? Deux questions que les médias de l’oligarchie évitent soigneusement de poser.

Dès 2010, les Rohingyas sont travaillés par des missionnaires islamistes venus du Pakistan

Mais courant 2016, la situation prend un tour autrement plus dramatique. L’Etat islamique comprend en effet qu’en perdant la guerre en Syrie Irak, il perdait aussi les ressources pétrolières qui le finançaient, avec la complicité de la Turquie. Il a vu dans les champs pétroliers et gaziers, découverts en Birmanie dans l’Etat d’Arakan où vivent les Rohingyas, le moyen de se refaire une santé financière. Comment se les approprier ? En poussant les Rohingyas à réclamer au gouvernement birman la transformation de l’Etat d’Arakan en province islamique autonome. D’où l’explosion des assassinats de Birmans et des attaques meurtrières contre les forces de police. La réaction des autorités birmanes a été à la mesure de ces exactions.

Mais ces champs pétroliers et gaziers intéressent aussi la finance internationale ?

C’est en effet là qu’on retrouve un certain George Soros. Le « philanthrope » (sic) entend récupérer les Rohingyas à son profit. Avec le soutien de l’Arabie saoudite, Soros finance des achats d’armes pour les terroristes. Il lance, en 2017 le thème du « génocide du peuple Rohingya », amplement relayé par les médias de l’oligarchie. A ce propos, Aung San Suu Kyi a dénoncé, je cite : un « iceberg de désinformation ». But du milliardaire : une condamnation « internationale » du gouvernement birman sous l’égide de l’ONU et l’intervention militaire d’une coalition occidentale sur le modèle de ce qui a été fait en Irak, Syrie et Libye.

Source

___________________

Aung San Suu Kyi, les bouddhistes et les Rohingyas : quand les gentils deviennent méchants

_________________________

Et cette photo de 45 corps d’Hindous massacrés par les Rohingyas, elle est aussi interdite en France ?

Source

_______________

L’islamologue Tariq Ramadan a posté sur son compte Twitter trois photos qu’il attribue à la situation actuelle des Rohingyas en Birmanie. Or, deux de ces clichés ont été pris au Congo et en Inde…

Des centaines de cadavres calcinés, une immolation, un père en larmes portant le corps de son fils : ces trois photographies puissantes ont été publiées par l’islamologue controversé Tariq Ramadan. Dans un tweet posté mardi 5 septembre – et toujours en ligne à l’heure de l’écriture de cet article – M. Ramadan a diffusé un montage de ces trois photos, assorti de la mention « En Birmanie ». Il cherchait ainsi à alerter sur le sort de la minorité musulmane birmane, persécutée dans le pays – l’armée a lancé à l’encontre des Rohingya une opération qui a causé la mort d’au moins 400 personnes.

Or, comme n’ont pas manqué de le faire remarquer plusieurs internautes, deux des trois photographies relayées par Tariq Ramadan sont mal attribuées. La première a été prise en juillet 2010 à Sange, en République démocratique du Congo. Un accident routier suivi d’une explosion puis d’un incendie y avaient causé la mort de plus de 230 personnes.

La seconde photographie a été prise en Inde en 2014 par le photographe de l’Agence France-PresseChinmoy Roy. Ce cliché montre les derniers instants de l’activiste Pranab Boro, qui s’était immolé lors d’une manifestation exigeant des terres pour la population locale dans la région de l’Assam oriental.

Par Anne-Sophie Faivre, Le Monde

Appel à la vengeance pour l’expulsion des musulmans de Birmanie