Elle s’appelle Christina, et elle voulait avorter. L’entreprise criminelle Planned Parenthood lui a conseillé la pilule abortive, lui disant simplement que sa prise serait physiquement un peu difficile, sans évoquer les douleurs aiguës provoquées par l’avortement, et surtout, affirmant que le fœtus éjecté était trop petit pour être vu…

A sa 7ème semaine de gestation, Christina prend donc sa pilule et se tord de douleur. Quelques heures plus tard le produit fait son effet, et l’enfant est éjecté. Christina le voit. Et prend alors dans ses mains ce bébé, son bébé, qu’elle vient de tuer.

Elle le jure : si elle avait su que son bébé à 7 semaines était déjà un bébé, jamais elle n’aurait avorté. Mais Planned Parenthood lui a menti, comme ment toute cette industrie du crime qui tourne autour de l’avortement. Ils vous parlent d’une chose amas de cellule appelée fœtus, de liberté de la femme et du droit à disposer de son corps, mais ils cachent la réalité d’un bébé blotti au sein de sa maman, de son assassinat lâche et de la destruction physique et psychique de la femme qui s’y prête.

La voici la réalité des promoteurs de l’avortement.

Un enfant avorté à l’âge de trois mois :