Au sujet de la critique selon laquelle le fait que je ne parle pas arabe invaliderait ma condamnation de l’islam, je réponds qu’il y a suffisamment d’éléments de base à exploiter aux niveaux historique, anthropologique, philosophique, sociologique, moral et théologique, pour montrer la fausseté de l’islam, sans qu’il soit nécessaire de recourir aux arguties de la langue arabe. Cette connaissance pourrait même éloigner de mes conclusions les personnes qui, ne maîtrisant pas l’arabe, ne pourraient vérifier les prémices de mes raisonnements. Ma critique de l’islam, parce qu’elle s’adresse à tout le monde, et que tout le monde ne parle pas arabe, ne requiert que la logique et la bonne foi. Sans compter que si tel était le cas qu’il faille comprendre l’arabe pour comprendre l’islam, alors le nombre de musulmans (1,5 milliard) doit être divisé par quatre ou cinq !
La critique affirmant la nécessité d’apprendre l’arabe pour critiquer l’islam vise un triple but:
- Invalider a priori tout ce que je puis dire au sujet de l’islam, ce qui relève de la technique de l’enfumage;
- Me faire perdre mon temps en espérant me voir le dépenser dans cet apprentissage, alors que le temps presse;
- Servir l’islamisation. En effet, l’imposition de la langue arabe a toujours fait partie des moyens mis en œuvre pour islamiser les peuples soumis, en les rendant ainsi progressivement étrangers à leur propre culture (cf. Le zèle de certains «Responsables» à enseigner aux immigrés arabes leur langue d’origine – même s’ils sont en France depuis trois générations – plutôt que le français[1]!).
Pour ces raisons, je me refuse absolument à apprendre l’arabe.
Bien que je ne nie évidemment pas l’intérêt que puisse représenter la connaissance d’une langue, je soutiens que mon ignorance de l’arabe n’est pas un handicap pour le but que je me propose, et je le prouve: si la connaissance de l’islam est liée à la maîtrise de la langue arabe, alors, de deux choses l’une: soit Allah est raciste en ne voulant s’adresser qu’à des Arabes, soit il est incapable de parler une autre langue. Mais dans les deux cas, mérite-t-il d’être regardé comme Dieu?
Encore un petit raisonnement montrant qu’il n’est pas nécessaire de connaître l’arabe pour prouver que ceux qui cherchent leur salut dans l’islam se damnent: le Coran dit qu’il est lui-même la Parole de Dieu telle qu’elle est au Ciel (Coran 3.7; 13.39; 43.4; 85.21-22). Or, si le Coran est la Parole de Dieu telle qu’elle est au Ciel, cela signifie que la langue parlée au Ciel est l’arabe, que Dieu pense donc et parle en arabe, c’est-à-dire en un langage humain… Mais si Allah pense et parle en arabe, Allah est-il autre chose qu’un Arabe, un homme? En effet, les hommes ne parlent pas le langage des poissons, ni les poissons le langage des oiseaux, et Dieu parle le langage de Dieu, qui n’est pas le langage des hommes. Chaque être vivant a son propre langage. Si donc Allah pense et parle en arabe, c’est qu’il est un Arabe… De plus, les musulmans n’ont pas d’autre ressource que leur intelligence humaine pour comprendre le Coran… Or, l’intelligence humaine ne peut pas, par elle-même, sortir de ce qui est humain pour entrer dans le divin. Où alors il faut dire que l’homme est Dieu, s’il est vrai que l’intelligence humaine suffit à comprendre Dieu… Qu’est-ce qui est donc le plus acceptable pour un musulman: dire que le musulman est Dieu, ou dire qu’Allah est un Arabe?
[1]http://ripostelaique.com/A-M-le-Maire-a-propos-de-l.html
http://www.youtube.com/watch?v=FCQwAQovitQ
http://www.nationspresse.info/cope-favorable-a-lenseignement-de-larabe-a-lecole/
le Coran dit du Coran “CE Coran en arabe”, ce qui signifie que LE Coran n’est pas en arabe…
CORAN 20:113 « C’est ainsi que nous l’avons fait descendre ce Coran en [langue] arabe, et Nous y avons multiplié les menaces, afin qu’ils deviennent pieux ou qu’il les incite à s’exhorter »
CORAN 12:2 « Nous l’avons révélé sous forme d’une lecture en langue arabe, afin que vous raisonniez. »
CORAN 41: 44 « Si Nous en avions fait un Coran en une langue autre que l’arabe, ils auraient dit: “Pourquoi ses versets n’ont-ils pas été exposés clairement ? quoi ? Un [Coran] non-arabe et [un Messager] arabe ?” Dis : “pour ceux qui croient, il est une guidée et une guérison”. Et quant à ceux qui ne croient pas, il est une surdité dans leurs oreilles et ils sont frappés aveuglement en ce qui le concerne; ceux- là sont appelés d’un endroit lointain. »
Tous les arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas arabes. Il ne faut pas oublier qu’il existe des chrétiens, certes de moins en moins nombreux, parmi les arabes.
Nous faut il apprendre l’araméen pour recevoir la parole de Dieu ? Non, la parole de Dieu est universelle et ne peut être accaparée comme le prétend la secte de Mahomet.
A mon avis ,
Si cela continu à ce rythme , il n’est pas improbable que l’on finisse par se résoudre à demander à l’abbé, s’il veut bien devenir ” Conseiller du Gouvernement ” !
Mesdames et messieurs les gouvernants ( tes ) , vous qui pédalez dans le yaourt depuis des décennies , dépêchez vous avant qu’il ne soit trop tard !
Si les Russes ne viennent pas nous délivrer quand nous serons tous cernés par le halal ,
Il faudra prévoir , s’il est encore temps , de prendre le ” Chemin de Moscou ” en traversant le Rhin à Strasbourg et la Turquie sur l’autre rive pour rejoindre la patrie des Tsars !
Soyez prévoyant , la connaissance de la langue Russe et de l’alphabet cyrillique peut être très utile !
Que celui qui a des oreilles pour entendre ………!
D’autre part : “Le Chemin de Moscou ” est un très bon vin du pays d’Oc .
Excellent billet qui ferme la bouche des ignares et des fumistes.
Quand j’ai voulu acheter le coran, par simple curiosité, j’ai regardé avant tout s’il y avait la mention “essai de traduction” du coran pour ne surtout pas acheter un tel livre.
En effet, je savais déjà que Al Azhar et d’autres “autorités” islamiques exigeaient que cette mention figure clairement sur les traductions faites par les islamisants occidentaux sous prétexte que la langue arabe est sacrée et qu’elle est la seule à pouvoir traduire la pensée d’Allah, les autres ne pouvant que tenter de s’en approcher.
Cela permet ainsi aux Muzz de systématiquement dénigrer toute traduction qui les mettraient en difficulté en prétendant que la traduction est fautive.
Malheureusement, pas mal d’islamisants se sont pliés à cette exigence, dont Jacques Berque, probablement pour ne pas se voir interdire l’entrée des pays musulmans où leur métier les obligeait à se rendre régulièrement.
Finalement, non seulement on peut ( comme le prouve l’abbé Pagès dans ses remarquables analyses ) mais aussi on doit se passer de leur permission pour sauvegarder son indépendance dans les écrits et les jugements qu’on porte.
Très juste .
Faites comme moi , apprenez le Russe !
Nous avons infiniment plus de points de convergence avec les Russes d’avec lesquels on veut nous éloigner , qu’avec les Arabes qu’on veut nous imposer !
D’ici peu nous aurons sans aucun doute besoin d’eux pour nous libérer , ……..comme en Syrie !
спасибо.