width=

En gros, ce film débute par le plan établi par Youssouf Al-Kardawi, celui du Jihad alternatif : le Jihad Silencieux (et non Jihad par les armes) et qui consiste à infiltrer les sociétés occidentales (pour abattre un arbre, on peut utiliser une hache, ainsi que Daesh et Al-Qaida l’ont tenté mais sans succès, alors reste l’autre option, le ver qui fera tomber l’arbre en le rongeant de l’intérieur).

Il se termine avec l’annonce d’une guerre civile en France (49’30 »), Gilbert Collard l’annonce clairement en français, puis Thibaud de Montbrial en anglais et il fait savoir que les politiciens le savent, que la Police aussi bien que l’Armée s’y préparent déjà.

Quelques moments intéressants:
– 16’52 » : Samy Debah’, fondateur du CCIF, fait savoir que le CCIF est financé par le Qatar.
– 31’30 » : la partie ayant trait à Château Chinon et l’IESH.
Sur la pancarte, en français IESH pour Institut Européen des Sciences Humaines, en arabe, le titre devient Institut Européen des Etudes Islamiques.
Fondé par Youssef Al Kardawi, cet institut contient une section Chari’ah (on l’apprend de la bouche d’un élève, à 43’50 »).
On y apprend aussi, d’après le témoignage d’un ancien détenu, que dans les prisons, il y a peut-être 85% des repas qui seraient hallal. Cela permet d’évaluer la population carcérale musulmane, sachant que les statistiques ethniques sont interdites. 

Découpage

NB :  FM = « Frères musulmans » (en France, l’UOIF a été récemment renommée Musulmans de France, comme si l’UOIF représentait tous les musulmans de France !).

Du début à 11’38 : déguisements, apprentissages… pour s’infiltrer dans les milieux musulmans

Le journaliste explique pourquoi il a fait cette enquête : La conquête par l’islam se fera, se fera-t-elle par l’épée ? Non, justement, il y a la conquête silencieuse. Son armée s’appelle Les Frères musulmans.

Puis il explique comment il a changé d’identité, s’est procuré des faux papiers. J’entre partout où l’on n’entre pas, parmi les continents, les villes, en Europe notamment.

Son arrivée en France.

Il raconte comment il apprend les rites, comment on se lave les mains, comment on entre et sort des mosquées, comment éviter d’être fouillé, comment se comporter à la mosquée…

A partir de 11’38 : la France, destinée à réaliser le Califat islamique

La première étape du djihad, c’est la France, où il y a la plus grande concentration de musulmans en Europe de l’Ouest.

Il y a 8 ou 10 ans Qaradawi avait signalé la France comme objectif pour réaliser le Califat islamique : « d’abord se rendre maître de tous les musulmans de France, afin qu’ils vivent, en fait, sous la charia, grâce à la France. »

Il raconte ce que sont les Frères musulmans, organe énorme représentant tous les musulmans de France aux yeux du gouvernement bien qu’ils ne soient pas élus… Ils ont des mosquées, des terrains, des jardins d’enfants, des écoles coraniques, c’est en France qu’il y a la seule école du continent pour la formation des imams (15’15). Des imprimeries, des bibliothèques, la distribution de la viande halal… reçoivent une large aide de l’Etat français.

A partir de 15’46 : enquête au sein de l’UOIF

Je veux savoir combien sont dévots, combien sont occidentalisés…

Il rencontre Kabir, membre de la direction de l’UOIF qui lui raconte l’histoire de celle-ci, fondée sur ordre de Qaradawi pour commencer à avoir la mainmise sur la France.

25 ans après les buts restent les mêmes mais il est défendu de les dévoiler. Il oppose ainsi les discours de Lasfar il y a 25 ans, très clairs… et ceux de Kabir à présent, qui voile les objectifs. « Pour le moment on utilise patiemment les lois de l’Etat pour consolider le contrôle sur les musulmans.

A partir de 21’14 : hallucinants passages où l’on entend des musulmans faire l’éloge de la France, qui leur offre tout

« L’Etat français laïque est la meilleure chose pour notre but »,  » pour l’islam le mieux est ici en France « , « On travaille main dans la main avec l’Etat, on nous donne des mosquées, on nous donne tout, c’est le meilleur endroit où vivre pour les musulmans « .  » L’Etat français laïque est la meilleure chose pour notre but. »

Rappel des objectifs des FM : faire adopter l’islam par les non musulmans. Ce principe s’appelle la dawa. Dans un premier temps, le but est de se rendre maître des musulmans, les transformer en dévots et religieux par l’entremise des FM.

C’est dans l’éducation qu’ils investissent le plus. « On ne trouve le modèle qui accompagne l’enfant musulman de 3 à 20 ans dans presque aucun pays arabe. Et justement, ici, en France, ça existe, et, justement, avec la protection de l’Etat. »

A partir de 22’56 : le journaliste déguisé pénètre dans l’école privée musulmane Ibn Badis (92), subventionnée et soutenue par l’Etat français. Les Français financent et les FM dirigent… et éduquent à leur manière.

« On enseigne le Coran, l’éducation islamique, la langue arabe« . Toutes les fillettes portent le hidjab, pour les FM c’est l’étendard.

L’Etat français paye pour éduquer les jeunes musulmans, pour qu’ils ne soient ni des délinquants, ni des racailles, ni des terroristes, pour qu’ils ne posent pas de bombes. C’est ça le deal, l’Etat français veut bien que vous leur transmettiez l’islam, même si c’est celui des Frères musulmans…

Sauf que, depuis le début des attentats en France, on voit bien qu’il n’y a pas de frontière étanche entre Dawa et djihadisme. Le but est le même : l’extension de l’islam, jusqu’à ce qu’il flotte au-dessus de chaque maison, de chaque Etat… Alors vient le passage à l’action violente.

On entend le témoignage de Yoram Cohen, qui fut le responsable de Shin Beth (Service de sécurité intérieure israélien) de 2011 à 2016 : « les FM sont aussi extrémistes que Al-Qaïda ou l’EI, les deux voient le monde entièrement musulman. »

A partir de 28′ : en France, les signes de la mainmise des FM

Zvi Yehezkeli fait son enquête dans des librairies musulmanes…

Témoignages de musulmans fort heureux d’être en France :  » On appelle nos pays La maison de l’islam et cet endroit la maison des mécréants, mais si c’était vrai on n’autoriserait pas une librairie musulmane ici.« .  » Dans cette rue, tout le monde est musulman et il y a 4 mosquées ».

Une grande partie de ces livres ont déjà causé de violentes révolutions en Egypte et à Ramallah… Ce sont des livres interdits à la vente en Arabie saoudite, en Egypte et à Ramallah.

Lecture d’extraits invitant au djihad (29’30).

On trouve les ouvrages des penseurs du sunnisme, notamment Hassan Al Banna : « J’ai mis en place, pour vous, des réserves de puissance, et il n’y a de puissance que dans les tirs [d’armes à feu].

« Allah ! Nous sommes en France et tout est modéré, c’est un rêve »,  » chez nous, en Jordanie et Palestine, on accuse les textes modérés d’extrémisme. »

Les livres et discours de Qaradawi sont pourtant interdits de diffusion en France : Zvi Yehezkeli trouve un de ses disques dans une librairie islamique. Ce sont les conférences que Qaradawi a faites en France, au Bourget, en 2010…

Témoignage d’un ancien islamiste : « Ils ont envahi l’Europe sans guerre.. ».

 

En résumé, l’apport de ce documentaire est de démontrer que le Grand Remplacement est bien en dessous de la réalité française. Ce n’est pas tant le changement démographique qui est explosif, mais le travail patient et ubiquitaire, de prise du contrôle de la France, zone par zone, petit à petit, par les Frères musulmans. On comprend bien mieux ce que Hollande voulait dire quand il parlait de partition inévitable de la France.
Un des exemples fournis est un quartier à 10 minutes des Champs-Elysées, dans lequel les femmes n’ont pas leur place. La technique utilisée est d’ailleurs dévoilée : les toilettes !
Il y a bien des toilettes pour hommes, et bien des toilettes pour femmes, mais celles-ci sont fermées !

Petit à petit, la Chari’a s’installe en France. C’est bien cela qui est en jeu avant même le changement de population. Notre société est totalement vermoulue. 

Autre point intéressant, un passage sur le commerce du halal fait la lumière sur un détail qui n’en est pas un : le commerce du hallal fait, en fait, partie de l’économie souterraine, au même titre que le trafic de drogues : l’argent qui y est brassé circule en circuit fermé. Et il n’y a donc pas de transparence, ou de traçabilité de ces flux d’argents. Ainsi, une partie de cette masse monétaire contribue au financement du terrorisme.
Mon opinion personnelle : à quand une commission d’enquête parlementaire sur ce problème plutôt que de nous gaver avec la souffrance animale causée par le halal, le problème le plus crucial est bien celui évoqué dans ce reportage : un argent en circuit fermé, non traçable peut financer bien des causes ou mouvements ennemis. (Source)