Quiconque hait son frère est un homicide; or vous savez qu’aucun homicide n’a la vie éternelle demeurant en lui (1Jn 3,15).”

“Le suicide contredit l’inclination naturelle de l’être humain à conserver et à perpétuer sa vie. Il est gravement contraire au juste amour de soi. Il offense également l’amour du prochain, parce qu’il brise injustement les liens de solidarité avec les sociétés familiale, nationale et humaine à l’égard desquelles nous demeurons obligés. Le suicide est contraire à l’amour du Dieu vivant.

“S’il est commis dans l’intention de servir d’exemple, notamment pour les jeunes, le suicide prend encore la gravité d’un scandale. La coopération volontaire au suicide est contraire à la loi morale.” (Catéchisme de l’Eglise catholique, n°2281-2 ; http://www.vatican.va/archive/FRA0013/__P7U.HTM).

Il est plus facile que l’on croit de se haïr… La grâce est de s’oublier. Si tout orgueil était mort en nous, la grâce des grâces serait de s’aimer humblement soi-même comme n’importe lequel des membres souffrants de Jésus-Christ” (Geoges Bernanos, Journal d’un curé de campagne)