La liberté de mouvement, si les mots ont un sens, signifie que l’on passe, mais que l’on ne s’arrête pas. Or cette liberté est aujourd’hui utilisée pour implanter en Europe des populations musulmanes qui ne veulent pas s’y assimiler mais l’islamiser, et qui, statistiquement, seront majoritaires d’ici à peine quelques décennies. Raison pour laquelle leurs revendications sont chaque jour un peu plus satisfaites, au point qu’à la suite de son Premier Ministre prétendant « voir s’épanouir un islam vivant et moderne en terme de liberté, d’égalité et de laïcité », parce que, selon lui, l’islam serait : « tolérant, ouvert, pleinement compatible avec nos valeurs et la République », le Président de la République française a été capable de dire que « laïcité et islam sont compatibles ». Or, un jugement en appel rendu en 2003 par la CEDH, dans l’arrêt Refah Partisi (Parti de la Prospérité) déclare la charia incompatible avec les principes fondamentaux de la démocratie.

  • Pour sortir de l’impasse mortifère où nous conduit l’accueil de l’islam, je préconise :

a) Le renvoi de tous les étrangers et naturalisés qui ne renient pas les préceptes coraniques tels que le meurtre des apostats, la haine des non-musulmans, l’esclavage, les châtiments corporels, les mutilations et les tortures, l’infériorité juridique des femmes, le mariage des fillettes, la polygamie ;

b) La création d’un territoire sous juridiction internationale sur la moitié du territoire de l’Arabie saoudite pour y recueillir tous ceux qui ne veulent pas rester chez eux, mais veulent continuer à être musulmans. Et que l’on y envoie également tous les “fichés S” de France et de Navarre. 

c) Contre le pouvoir oligarchique qui pratique une politique contraire à la volonté des peuples, l’instauration, à l’exemple de la Suisse, de référendums d’initiative populaire.