Dans cette vidéo, un rabbin de la branche des nazaréens témoigne et de la fausseté du judaïsme actuel et, indirectement, de l’origine de l’islam …

Le mot aleph אלף s’écrit avec trois lettres : aleph א (valeur numérique : 1), lamed ל (valeur numérique : 30) et pé ף (valeur numérique 80) 1+30+80 = 111

Contrairement à ce que croient les musulmans, jamais le Coran ne dit que les chrétiens ont falsifié la Bible, mais que certains ― et certains seulement― ont essayé d’en détourner le sens (Coran 2.75,78,79,146 ; 3.78 ; 4.46 ; 5.13-15,41), les juifs allant jusqu’à lui substituer d’autres paroles (Coran 7.162), tel que le Talmud. La raison de la descente du Coran venant remplacer la Bible n’a donc pas de fondement dans le Coran. L’intégrité de la Bible (Ps 88/89.35 ; Is 40.8 ; Si 47.22 ; Lc 21.33 ; 1 P 1.23 ; Ap 14.6) n’étant pas remise en cause par le Coran, les musulmans ne seraient-ils pas bien avisés de la lire, dans la communion de l’Église, qui seule a autorité pour l’interpréter (Lc 10.16 ; Ac 8.31 ; 1 P 1.10-12 ; 2 P 1.20-21) ?

Les influences du judaïsme dans la genèse de l’islam se révèlent notamment à travers le vocabulaire et les vues doctrinales du Coran telles que : l’unicité de Dieu, la Révélation écrite, la Création … Nombre de lois de l’islam (morales, cérémonielles, alimentaires…) sont empruntées à la religion juive et au Talmud, qui détermine le moment de la prière, notamment du Shema Israël, à l’aube, lorsqu’on peut « distinguer le fil blanc du fil bleu » des tsitsit (châle de prière), ce dont se sert le Coran pour fixer le moment du jeûne du ramadan : « Mangez et buvez jusqu’à ce que se manifeste pour vous le fil blanc du fil noir à l’aube. Puis accomplissez le jeûne jusqu’à la nuit. (Coran 2.187) » ; et encore : 29.7/Jebhamot 6 ; 5.6/Berachoth 46 ; 2.33/Talmud Kethuboth 40.1 ; etc. La division de l’Enfer en sept parties et sept portes (Coran 15.44) existait déjà dans Zohar II.150, et son inspiration se retrouve dans certains textes hindous et zoroastriens ; Coran 27.17-44 est tiré du Deuxième Targoum d’Esther ; Coran 87.19 du Testament d’Abraham ; 5.30-31 du Targoum de Jonathan ben Ouzzia et du Targoum de Jérusalem ; Coran 21.51-71 et 29.16-17,37.97-98 du Midrash Rabba. La légende de Salomon conversant avec une fourmi et avec une huppe (Coran 27.17+) est reprise à Flavius Josephe (Antiquités juives, VIII, 2.5,45-47). Le Coran est divisé en 114 sourates conformément à une méthode de comptage rabbinique. Nombre de mots ne sont pas arabes, mais viennent de l’hébreu ou de l’araméen, ainsi ayat (verset), sourate (ligne, série). Pourquoi l’expression AllahOumma (Ô Dieu !) est-elle le seul vocatif arabe se terminant par m ? Parce qu’elle vient de l’hébreu Elohim. Nombre de mots du Coran n’existent pas en arabe, tel Génehinom, ou Ta’out qui signifie l’erreur, substantif désignant parfois les fausses divinités, et qui a donné la translittération coranique incompréhensible Tâghoût (Coran 2.256,257 ; 4.51,60,76 ; 5.60). Tous les mots finissant par out dans le Coran sont d’origine hébraïque, tel tabout de l’hébreu teva, boîte, arche. Les versets rapportant la transformation en singes des habitants d’un village n’ayant pas respecté le sabbat (2.65 ; 7.163-166), viennent évidemment de légendes juives … (Extraits de Abbé Guy Pagès, Interroger l’islam, DMM, 2018)”