Loué soit Jésus-Christ !

Chers amis,

Je vous remercie de m’avoir invité à vous adresser un mot au sujet de l’islamisation de la France, vous qui percevez le malheur qu’elle représente, et désirez œuvrer à la reconquête de notre pays, à la suite de notre ami Éric Zemmour. À ce fléau qui s’abat sur l’Occident apostat et décadent, vous en désignez un plus récent : le wokisme, qui, comme l’islam, fait croire à ses partisans qu’ils sont meilleurs que ceux qu’ils condamnent, et parce qu’ils les condamnent, autant de germes de guerre civile en fermentation. Pour Allah, « juifs et chrétiens ne sont qu’impureté (Coran 9.28) », comme l’est pour le wokisme l’homme blanc chrétien, ayant le malheur de plus de ne pas être homosexuel, ou quelque chose du genre. Est-il possible d’espérer ce que nous désirons tous : une société pacifiée où les gens vivent heureux de s’aimer ? Quelle est la base commune permettant de rassembler les uns et les autres, sinon l’obéissance au commandement de Jésus : « Aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés. (Jn 13.34) »? A quelle condition, à quelle conversion chacun est-il appelé pour faire advenir cette société espérée ? J’ai bien conscience du décalage que pose ma problématique avec ce qui tient lieu aujourd’hui de culture générale, mais l’ampleur de ce décalage ne fait que manifester à mes yeux la distance séparant les graves problèmes que nous évoquons de leurs réelles solutions … J’esquisse donc à ce sujet quelques éléments de réponse au moment où Emmanuel Macron vient de louer la franc-maçonnerie pour la Révolution et les abominables lois qu’elle a concoctées, faisant de l’être humain un matériau du grand-œuvre qu’est la société, et dont les franc-maçons se veulent les maîtres d’œuvre, mais aussi, alors que le Saint-Siège vient de rappeler l’incompatibilité de la double appartenance à la franc-maçonnerie et à l’Église. Ce concours de circonstances me paraît providentiellement indiquer dans quelle direction commencer notre recherche …

Nul doute que la Révolution, qui a détruit l’Ancien Régime et continue à pervertir la conscience du plus grand nombre de nos concitoyens, est un esprit de révolte qui dresse les gens les uns contre les autres, au nom de leurs différences, présentées comme autant d’injustices. Cette lutte contre les injustices souffre de confusions : dans l’ordre naturel elles ne sont plus perçues, précisément, comme « naturelles », nécessaires, conditions d’échanges et de dons, d’enrichissements et de joies, et dans l’ordre de la pensée, et donc de la vérité, les contradictions sont assimilées à des différences d’ordre naturel ! D’où la folle entreprise de nier l’existence de la Vérité pour supprimer les contradictions et lui préférer l’opinion, celle donc du plus fort, ou du plus rusé. Le relativisme prêché par la franc-maçonnerie conduit par exemple à considérer que l’islam est une religion comme une autre, alors qu’elle en est l’antithèse, aussi vrai qu’elle ne relie ni à Dieu ni aux autres, mais au contraire, appelle à les haïr : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous soyez musulmans ! (Coran 60.4) » La Vérité est devenue chez nous coupable de discrimination, d’impérialisme, d’européocentrisme … Or, rejeter la vérité conduit à des contradictions intenables, aussi vrai que les partisans de l’islam et du wokisme sont convaincus d’être dans la vérité ! La question de la vérité est donc toujours centrale, même si les grands prêtres de la société continuent à pousser les masses à réclamer la grâce de l’assassin Barabbas pour faire condamner l’innocent Jésus, qui, seul dans toute l’histoire de l’humanité, a osé dire : «Je suis LA vérité (Jn 14.6)» … Le choix à son sujet est décisif. C’est ce que je voudrais montrer.

Ce n’est un secret pour personne que la Franc-maçonnerie partage avec l’islam une haine viscérale de l’Eglise, sans laquelle la France n’existerait pas, elle qui a pris naissance avec le baptême de Clovis, et a été depuis assistée par le Ciel, que ce soit par les missions de sainte Jeanne d’Arc, de sainte Marguerite-Marie Alacoque, et de tant d’autres, mais surtout de la Vierge Marie, à Pontmain par exemple. La franc-maçonnerie est vraiment l’ennemie de l’Eglise et de la France, comme s’en plaignait déjà le Pape Léon XIII, disant qu’elle n’a « d’autre but que de détruire de fond en comble toute la discipline religieuse et sociale née des institutions chrétiennes et de lui en substituer une nouvelle [tirée du] naturalisme [pour lequel] en toutes choses, la raison humaine doit être maîtresse et souveraine. (Humanum Genus) » Au siècle dernier, Albert Lantoine, membre du Suprême Conseil de France de rite écossais, confessait : « La franc-maçonnerie est la seule religion humaine ».  Passons sur l’aberration d’appeler « religion » ce qui n’est qu’humain et se veut sans Dieu … mais relevons dans cette définition, outre la concurrence revendiquée avec la seule vraie religion, l’Église catholique, l’orgueil de s’attribuer la mission proprement divine de la religion, qui est de relier à Dieu … Comment qualifier sinon de démoniaque l’ambition des maçons de bâtir la nouvelle humanité, aujourd’hui dite « augmentée », en bafouant la loi naturelle, l’identité de la France, et la vocation de l’Eglise ? Tout cela vient de loin : « Je pense donc je suis. », comme s’il ne fallait pas d’abord être pour penser, se recevoir comme fils avant d’être père ! Nier tout ce qui a permis à notre être son existence, pour s’autocréer dans la liberté de l’imagination, qu’est-ce d’autre que devenir fou ? De son côté, l’islam a pareillement reçu « pour mission de triompher sur toute autre religion, quelque répulsion qu’en aient les associateurs (Coran 9.33) » – les associateurs étant les chrétiens, censés associer à l’unique divinité, Jésus et Marie, de simples créatures (Coran 5.116), pour former l’horrible Trinité, dont l’adoration est le seul péché qu’Allah ne puisse pardonner (Coran 4.48). « Et tuez-les ! (…) L’association est plus grave que le meurtre ! (…) Telle est la rétribution des mécréants ! Combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit seulement l’islam ! (Coran 2.191-193) » Voilà donc une autre religion qui interdit elle aussi l’association avec la Divinité, ce que réalise précisément la vraie religion en nous établissant dans la communion du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Voici établie la profonde parenté de la franc-maçonnerie et de l’islam dans la commune haine de l’Église et de la civilisation que ses enfants ont bâtie, et dont la France a été certainement la plus belle réalisation, au point d’en être appelée la Fille aînée.

Certes, l’islam reconnaît l’existence du Créateur – que, fut un temps, la franc-maçonnerie appelait « le Grand Architecte de l’univers », mais ni elle ni l’islam ne Le connaissent, faute de Le re-connaître en Jésus-Christ (Jn 14.9), en sorte qu’Allah est aussi «inconnaissable (Coran 6.50,59,103 ; 7.188 ; 11.31 ; 20.110 ; 27.65 ; 42.4 ; 72.26 ; 112.2) » que ce que la franc-maçonnerie se glorifie de sa fausse humilité appelée agnosticisme. Or, si l’intelligence ne peut connaître la vérité dernière, qui est Dieu, alors toute connaissance perd sa consistance. Et c’est ainsi que le dogme du relativisme de la religion franc-maçonne empêche de dénoncer l’islam comme un mal objectif. L’ancien grand-maître du Grand Orient de France, Paul Gourdeau, reconnaissait que le relativisme philosophique et moral de la franc-maçonnerie s’opposait directement à l’Église : « Deux cultures, l’une fondée sur l’Évangile et l’autre sur l’humanisme républicain, sont fondamentalement opposées : ou la vérité est révélée et intangible d’un Dieu à l’origine de toutes choses, ou bien la vérité trouve son fondement dans les constructions de l’Homme toujours remises en question parce que perfectibles à l’infini. (revue Humanisme, n° 193, oct. 1990) » C’est dire combien le refus par la République française de reconnaître l’existence de Dieu et de Lui rendre le culte qui lui est dû, est aussi monstrueux que ce que l’existence de Dieu se découvre à l’intelligence au simple constat que rien ne peut sortir de rien, et que l’univers, qui n’a pas toujours existé, n’est pas Dieu, comme par ailleurs l’attestent la souffrance, la mort, le Mal, en sorte qu’existe nécessairement la cause de l’univers, que l’on appelle Dieu … Aussi, saint Paul juge-t-il sans excuse ceux qui nient l’existence de Dieu (Rm 1.28). L’islam a alors beau jeu de se croire supérieur à ce qu’est devenu la France, et avec elle tous les pays qu’elle a contaminés de son orgueil révolutionnaire !

Le Démon ayant été vaincu pendant les mille ans de christianisme qu’avait connus l’Europe, et à travers le monde, le Démon n’était pas mort pour autant, mais préparait sa revanche à la faveur de l’endormissement des élites de la nation, et apparut la diabolique trinité des 3 R (Renaissance, pour la culture, Réforme, pour la religion, et Révolution, pour la politique). L’héritage de Jésus-Christ fut dilapidé et un autre inventé, nécessairement antichrétien. Les propos d’un récent Ministre de l’Éducation nationale français, M. Vincent Peillon, dans son livre La Révolution française n’est pas terminée (le Seuil, 2008), sont fort éloquents à ce sujet : « La Révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu, c’est la présence et l’incarnation d’un sens, d’une régénération et d’une expiation du peuple français. 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau. La Révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux. La Révolution implique l’oubli total de ce qui précède la Révolution. Et donc l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la loi. » Vous voyez clairement exprimée la volonté de substituer à l’œuvre de la Rédemption du Christ, une autre œuvre, qui la singe, jusqu’à reprendre son vocabulaire, et se prétendant ouvertement d’origine non-humaine (« qui n’appartient pas au temps »), et donc, en dehors du temps, il n’y a que Dieu … ou le Diable ! De même « un commencement absolu » n’existe pas ici-bas. Seul Dieu peut créer à partir de rien … Quant à la régénération et à l’expiation du peuple, coupable de vouloir garder sa foi et son roi, on se souvient du génocide du peuple vendéen, modèle de tous les génocides qui ont suivi … Pour M. Peillon et ses frères francs-maçons « On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique. (…) il faut inventer une religion républicaine. » Une religion républicaine … Ce que ne disent pas tous ces révolutionnaires, c’est d’où leur viendrait cette science, cette connaissance, cette sagesse, leur permettant de décider à la place des autres de ce qu’est leur vrai bonheur ? Seraient-ils nés de la cuisse de Jupiter pour avoir le droit d’imposer aux autres leurs vues infaillibles ? Au Dieu dont ils croient humiliant de suivre les justes lois, Lui qui nous a pourtant créés à Son image et ressemblance pour que nous puissions vivre heureux en communion avec Lui, ils préfèrent se revendiquer de la progéniture d’un singe … Ils ne voient pas combien leur orgueil est l’instrument de leur humiliation … On se souvent de Lionel Jospin, alors premier ministre, en 1989, dire : « Et que voulez-vous que ça me fasse si la France s’islamise ? » C’est le même à qui l’on demandait quelques temps plus tard quel monument français il ferait raser s’il le pouvait, qui répondit : « Le Sacré-Cœur ! » … Déjà, la cancel culture faisait prendre les vessies pour des lanternes, tant le Diable sait se déguiser en ange de lumière (2 Co 11.14) !

Arrivé à ce point de mon propos, permettez-moi de rappeler la magnifique leçon qu’en 2008 au Collège des Bernardins Benoît XVI est venu donner à la France, évoquant le monachisme aux racines de la culture européenne … culture qui la première s’est pensée universelle … Non que tel fut le projet des moines venus au monastère y chercher seulement Dieu, mais leurs études, pour comprendre la Parole de Dieu, ont jeté les bases de la civilisation chrétienne, laquelle fait sourdre encore, à travers ses ruines, la confiance en la bonté du Créateur, l’espérance en Sa miséricorde, des certitudes vivifiantes, des témoignages de la beauté immortelle, et les raisons de vivre … Ces moines vivaient la fin de l’Antiquité, dans le chaos des invasions barbares mettant fin à l’immense et pluri-centenaire Empire romain. Notre situation n’est-elle pas comparable à la leur ? Ne vivons-nous pas nous aussi la fin d’un monde, qui fut chrétien ? Et ne devons-nous alors imiter ces moines qui au milieu de l’écroulement général, derrière le provisoire, sauvegardant les trésors de la culture antique, cherchaient le définitif, ce dont la valeur demeure toujours, Dieu Lui-même ? Car à quoi bon gagner le monde entier si c’est au prix de son âme ? (Mt 16.26) … Et les moines ne cherchaient pas Dieu à l’aveuglette du relativisme maçonnique, ni à l’obscurité absolue du Coran qu’Allah est seul à comprendre (Coran 3.7), mais à la lumière de la Parole de Dieu, qui S’est manifestée, que l’on a vue, entendue, touchée (1 Jn 1.1-4), qui S’est donnée et continue à Se donner chaque jour dans l’Eucharistie, et dont les Saintes Écritures gardent l’écho de Sa parole. La leçon qui se dégage de cette histoire est qu’il n’y a pas d’humanisation sans culture, ni de culture sans recherche de Dieu, comme il est vrai que, de la liturgie de l’Église est née la grande musique occidentale. A l’opposé des moines qui écoutant les lois constitutives de la création et de son harmonie ont inventé une musique digne de Dieu et de l’homme, la culture contemporaine élève des monuments à la gloire de son propre moi … et, partant, de son suicide, car tel un ruisseau qui se meurt lorsque sa source tarit, coupé de Dieu, l’homme disparait dans la haine et les souffrances de l’Enfer qu’éructent tant de revendications woke et islamistes. Or, dans ce suicide, la culture contemporaine voit l’expression suprême de sa liberté, révolte contre le Créateur, accusé de tous les maux, et pour cela mis en croix. Benoît XVI relevait que la liberté a une mesure intérieure, qui est la limite mise à l’arbitraire et à la subjectivité. Cette mesure est le lien qui lie l’intelligence à la Vérité connaissable puisque révélée, et celui de l’amour, de la reconnaissance, qui nous lie à Dieu, source de l’être. Cette tension entre lien et liberté, qui a profondément modelé la culture occidentale, nous la voyons aujourd’hui mise en jeu aussi bien par l’arbitraire subjectif de la prétention démiurgique de la maçonnerie que par le fanatisme islamique qui veut voir dans le meurtre d’innocents la gloire du martyr. « L’absence de liens et l’arbitraire ne sont pas la liberté, mais sa destruction », prévenait Benoît XVI. Je vous invite à relire son si éclairant discours.

Ce lien avec Dieu connu par la Révélation qu’Il nous fit de Lui-même à travers l’histoire sainte du peuple d’Israël et achevée en la personne de Son verbe incarné, nous garde précisément des délires du subjectivisme, de l’arbitraire et du fanatisme. C’est ainsi que la foi au dogme du péché originel permet de connaître le pourquoi du mal, et donc de pouvoir lutter efficacement contre lui. Celui qui l’ignore, mais reconnaît l’existence de Dieu, comme c’est le cas de l’islam, place en Dieu l’origine du mal, et par là non seulement défigure monstrueusement Dieu, mais va pouvoir s’autoriser de lui pour faire lui-même le mal … Quant aux athées, ils n’ont d’autre choix que de nier la réalité du mal en l’identifiant au mieux à l’imperfection, mais dans les deux cas, que Dieu soit l’origine du mal ou pas, la vie est absurde, et le suicide une solution pour y échapper. Sans l’acceptation de ce dogme, la miséricorde et la compassion n’ont pas de raison d’être dans les relations humaines, et l’homme se trouve à devoir faire son salut par ses propres forces (et d’ailleurs faudrait-il faire son salut ?), que ce soit par l’acquisition de la connaissance secrète de la franc-maçonnerie, ou l’accomplissement scrupuleux des préceptes de la charia. C’est aussi désespérant qu’orgueilleux. Francs-maçons, révoltés, et musulmans n’ont que faire de l’aide de la grâce offerte par Dieu dans les sacrements de l’Eglise.

Nous voyons qu’il n’y a pas d’autre chemin que le Christ pour sortir de la situation inextricable où se trouve l’humanité ne sachant ni d’où elle vient ni où elle va, universellement malheureuse, comme soumise à la malédiction de faire son malheur alors qu’elle voudrait pourtant conjurer … « Hors de Moi, vous ne pouvez rien faire (Jn 15.5) », nous a averti Jésus, « doux et humble de cœur (Mt 11.28) », qui ne S’impose pas, parce qu’Il est l’Amour, qu’Il respecte infiniment la liberté qu’Il nous a donnée, pour être aimé, en vérité. Aussi, la première action qui s’impose est-elle de travailler au rejet de ce poison qu’est l’athéisme, dont, selon un récent sondage, plus de 51% des Français sont atteints. A défaut de quoi l’apostasie de notre nation finira de la tuer. Que si la France ne veut plus du Christ, elle aura l’Antichrist. Qui est l’Antichrist demandait saint Jean six siècles avant l’apparition de l’islam ? Et il répondait : c’est celui qui nie le Père et le Fils (1 Jn 2.22), donnant précisément la définition que se donne l’islam (Coran 4.171 ; 6.101 ; 17.111 ; 112.1-6). L’islam vient comme châtiment de l’apostasie de notre nation qui ne trouve pas de raison de ne pas l’accueillir puisqu’il partage désormais la même révolte originelle. Mais si les Français retrouvaient la Foi de leurs Pères grâce à laquelle ceux-ci ont inventé la civilisation chrétienne, alors ils pourraient évangéliser les musulmans, les invitant à choisir le Christ, et dans le cas contraire à renoncer à l’islam dont les principes sont contraires aux quelques principes constitutionnels et législatifs conformes au droit naturel comme l’égalité de l’homme et de la femme, le bannissement de l’esclavage, le droit à ne pas être contraint en matière religieuse. Aussi, combien je déplore qu’Éric Zemmour tarde à reconnaître l’existence de Dieu, fondement de tout bien, et rejette le lien, pourtant intrinsèque et vital, entre Jésus-Christ et l’Eglise. Nier l’un ou l’autre, c’est se tenir en dehors de la réalité, et donc perdre toute réelle efficacité en celle-ci … S’en tenir à la pratique de rites, comme il définit lui-même très justement le judaïsme, qu’est-ce d’autre que renier son intelligence en renonçant à s’enquérir de leur signification, et par là accepter le principe de la soumission à l’arbitraire, qui caractérise précisément la pratique de la charia, loi relative non au bien et au mal connaissables par la raison, mais au licite et à l’illicite révélés par le Coran et explicités par la charia ? Est-ce là le comportement digne d’un être humain, d’un Français ? La politique française a accepté et favorisé la mainmise de l’islam sur les populations issues de pays musulmans, au lieu de promouvoir leur liberté en leur demandant : que voulez-vous être ? Français ou musulman, tant il est vrai que l’appartenance à l’oumma transcende l’appartenance à la nation. Qui voulez-vous prendre comme « beau modèle », Jésus-Christ, ou Mahomet ? Nos responsables politiques sont sans excuse, tant feu le Roi du Maroc et Commandeur des croyants les avait mis en garde, disant : « Ne cherchez pas à les faire Français, ils ne seront jamais Français … leur culture musulmane les en empêche. » Mais ayant perdu le nord en ayant perdu Jésus-Christ, l’aveuglement de leur esprit est tel que rien ne semble plus pouvoir empêcher le suicide de l’Occident apostat, craignant plus les catastrophes écologiques que la perte de la vie éternelle …

Pour conclure, permettez-moi de vous rappeler les paroles de Notre Seigneur Jésus-Christ devant Pilate : « Je ne suis né et Je ne suis venu dans ce monde que pour ceci : rendre témoignage à la Vérité. Quiconque est de la Vérité écoute Ma voix. (Jn 18.37) » Voilà ce qui à titre individuel nous pouvons prendre comme résolution : rendre témoignage à la Vérité, ce qui demande de la connaître, de la fréquenter, de l’aimer. « Si vous gardez Ma parole, dit Jésus, vous connaîtrez la Vérité et la Vérité vous délivrera. (Jn 8.32) » Elle vous délivrera, vous, et ceux à qui vous la ferez entendre. Au moins, rejoignons l’injonction de ce grand résistant que fut Soljenitsyne, qui, effrayé lui aussi par le manque de courage de l’Occident, donnait comme ligne d’action de ne jamais se faire le vecteur du mensonge. Voici quelques mensonges à éviter :

1. Ne disons jamais, ni jamais ne laissons dire du bien de l’islam, si peu que ce soit, car il n’est aucun arbre mauvais qui ne donne de bons fruits. Les pratiques religieuses de l’islam, telles que la prière, le jeûne, l’aumône, etc. sont reprises de la religiosité naturelle pour créer l’illusion d’une vie religieuse et cacher la véritable fin de l’islam qui est d’empêcher les âmes d’accéder au salut donné seulement par le Christ. Qui peut en effet venir APRES le Christ, sinon l’Antichrist ?

2. Ne jamais dire ni laisser dire que nous avons le même Dieu que l’islam, et conséquemment, n’utilisons jamais le mot « Dieu » pour désigner le dieu des musulmans, mais toujours et seulement le mot « Allah ».

3. Prendre toujours soin de dénoncer aussi bien l’amalgame entre musulman et islam qu’entre islam et race, amalgames qui sont utilisés pour faire condamner toute critique de l’islam au titre de l’islamophobie mise au même rang que l’antiracisme.

4. Ne plus jamais dire ni laisser dire que l’islam est une religion, pour la double raison que ce terme occulte la nature essentiellement politique de l’islam et que l’islam ne relie pas à Dieu, faisant même de l’association à Dieu le pire péché qui soit.

5. Refuser la différence entre islam et islamisme, différence qui est un véritable cheval de Troie pour introduire l’islam en Occident sous prétexte qu’à la différence de l’islamisme, l’islam serait acceptable, alors que l’un et l’autre ne se distinguent que comme la fleur et le fruit. D’ailleurs, le Président de la Turquie, M. Erdogan le proclame lui-même : « L’expression “islam modéré” est laide et offensante. Il n’y a pas d’islam modéré. L’ISLAM EST L’ISLAM ! (Kanal D TV, Août 2007) »

6. Ne jamais manquer une occasion de mettre en parallèle l’Évangile et le Coran, la sainteté de Jésus et les crimes de Mahomet rapportés par les hadiths et sa biographie, christianisme et islam, les apports de la civilisation chrétienne et celles tombées sous le joug de l’islam.

7. Saisir toute occasion de poser aux musulmans des questions sur l’islam, pour les amener à réfléchir et à eux-mêmes découvrir la vérité, questions dont vous trouverez un florilège sur le dernier tract de islam-et-verite.com, dont je vous engage à toujours avoir sur vous quelques exemplaires pour les offrir à ceux que vous rencontrez, pour guérir les uns et vacciner les autres. Vous pouvez aussi les glisser dans les boites aux lettres, les déposer opportunément ici ou là. Ceux qui sont intéressés pour composer des équipes de distributeurs peuvent se signaler à la fin de la conférence ou se faire connaître sur le site islam-et-verite.com.

8. Enfin, je vous annonce la mise en ligne d’un forum destiné à tous ceux qui souffrent de l’islamisation et désirent faire connaître leur situation pour recevoir des conseils et de l’expérience d’autres internautes une réponse à leur question, une solution à leur problème.  Il s’appelle RECONQUISTA !

Reconquista !
Viva el Christo Rey !

 

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