Le texte ci-dessous est celui donné le 03.07.21 à Nancy par le Dr Christian Perronne, professeur des universités, praticien hospitalier français, spécialisé dans les pathologies tropicales et les maladies infectieuses émergentes. Il a été président de la commission spécialisée « Maladies transmissibles » du Haut Conseil de la santé publique jusqu’en 2016, vice-président de BonSens.org.

La vidéo qui suit est extraite de l’émission Parlons de médecine présentée par Jean Paul Escande, en 1979, en laquelle Jacques Attali dévoilait le plan macabre qui nous était destiné, à savoir cette dictature sanitaire et cet esclavage consenti. L’homme de l’ombre de tous les présidents depuis Mitterrand explique le concept même de liberté va être si perverti qu’il mènera à l’aliénation suprême, jusqu’à la forme absolue de la dictature où chacun voudra se conformer à la norme au prix de sa réduction à l’état d’esclave.

Enfin, écoutez en troisième position ci-dessous l’émission en MP3 du Dr. Jean-Marc Sabatier, Docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, HDR en Biochimie, Directeur de Recherche au CNRS, Editeur-en-Chef de la revue scientifique ‘Coronaviruses‘.

Un des arguments pour envoyer dans les cordes les sceptiques de la politique sanitaire anti-covid, aujourd’hui mondialisée, est d’avancer leur manque de compétence en matière scientifique, comme s’ils n’étaient pas capables de remarquer les contradictions des discours officiels et le bon sens, la logique, des discours opposés à cette politique. Est-ce que ce que dit le Pr. Perronne dans ce discours n’est pas tissé de bon sens ?

“Pour ceux qui ne me connaisse pas bien, je suis professeur en maladies infectieuses dans la région parisienne et si tout de suite j’ai vu que ça n’allait pas, c’est que j’avais été président de toutes les institutions dans le domaine des maladies infectieuses, aussi bien dans mon hôpital qu’au ministère, qu’au Conseil de la santé public, à l’OMS et partout, … je connais tout le système de l’intérieur. Quand on nous a annoncé le début d’une éventuelle pandémie, je me suis dis : bon il y a eu le SRAS, vous vous souvenez du virus, du coronavirus chinois d’il y a quelques années, on l’a maîtrisé rapidement. Moi, je n’étais pas très inquiet en disant, on a des bonnes personnes de santé publique en France, ça va être géré correctement. Et puis courant mars, … j’ai conseillé des gouvernements pendant 15 ans pour la gestion des épidémies alors je sais de quoi je parle. Et courant mars je me suis dit : Oh là ! Qu’est-ce qui se passe là, ils font tout à l’envers. Et je rassure, ça fait maintenant plus d’un an et ils continuent à faire tout à l’envers.

Donc là j’ai dit c’est grave, c’est pour ça que j’avais commencé à aller dans les médias, après j’ai écrit mes deux livres, « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? » chez Albin Michel, que j’avais publié au mois de juin. C’était l’union sacré de l’incompétence et de l’arrogance. Et maintenant c’est « Décidément, Ils n’ont toujours rien compris ! » que j’ai publié aussi chez Albin Michel fin mars, avec le sous-titre « Celui qui dit la vérité doit être exécuté » d’après… Voilà, donc, j’ai vu que ça ne tournait pas rond, je l’ai exprimé dans les médias, au début ils me trouvaient sympa et j’ai pu passer pas mal de messages, et j’ai tellement agacé aux hauts lieux que j’ai été censuré dans tous les médias principaux. Le Conseil supérieur de l’audio-visuel a donné des consignes, c’était des consignes peut-être… soi-disant, un conseil gentil mais en fait c’est plus que ça. Des journalistes qui sont amis avec moi m’ont dit : « Christian, on aimerait bien t’inviter, mais si je t’invite je suis viré, je n’ai plus le droit. » Voilà, c’est sympa ! Heureusement qu’il y a les médias alternatifs, il y a Internet, il y a des vidéos qui ont fait un million et demi jusqu’à trois millions de vues quelquefois, ça fait plaisir et je sais que certains médias principaux, mainstream comme on dit, sont inquiets parce qu’ils ont beaucoup moins d’audience quelquefois que ces médias alternatifs.

On reviendra dans le détail de la chloroquine, c’est un immense scandale parce que, surtout… vous savez quand j’ai commencé à dire des choses l’année dernière que la chloroquine marche, c’est une évidence, on savait depuis le début de l’épidémie en Chine, après il y a eu Raoult, on a dit : « Perronne dit n’importe quoi, c’est un complotiste ». Maintenant vous avez vu l’affaire d’Anthony Faucy, pour ceux qui ne le connaissent pas… Anthony Faucy est le président directeur de NIH (le NIH, c’est l’équivalent de l’INSERN…, un institut de recherche aux Etats-Unis) et par des avocats aux Etats-Unis ils ont réussi à obtenir 3 000 pages de courriels d’Anthony Faucy qui échangeait notamment avec Jean-François Delfraissy, le président du Conseil scientifique français à l’Elysée, etc…, et déjà l’année dernière, il y a plus d’un an, il disait : « Ah oui, la chloroquine, ça marche, mais il ne faut pas l’utiliser » et Delfraissy qui lui dit : « Ah oui, je suis ennuyé parce que j’ai des pressions politiques pour libérer la chloroquine, […] qu’on continue de la bloquer », puis ils avaient commandé, ils avaient signé des consentement de secret c’est quand vous faites un contrat avec l’industrie pharmaceutique, vous signez un consentement… un contrat de confidentialité, ils avaient signé ça avant même le démarrage de la pandémie, quasiment… les vaccins était déjà commandé avant que le virus commence. Je veux bien être complotiste, mais il y a un truc qu’il faut qu’on m’explique. Il y a les complotistes et les comploteurs, je pense.

Et alors, si vous avez vu pendant des mois et des mois il y avait notre président qui arrivait « C’est la guerre, on est les meilleurs », etc, nos ministres de la Santé qui ont été terribles, et moi, ce que je vois depuis le début de l’épidémie c’est que la France est un des pires pays dans les résultats de la gestion de l’épidémie. Et déjà au mois de juin quand il y a eu… parce que la première vague était une vraie vague qui a touché surtout les personnes âgées à 80% ou de 85%, quelques personnes plus jeunes qui avaient des gros facteurs de risque, des grosses obésités, des gens qui avaient plus de 150 kg, des grand diabètes, mais cela n’a pas touché toute la population, ça n’a pas touché beaucoup les personnes d’âge moyen, ça n’a pas du tout touché les enfants, il y a eu peut-être une dizaine d’enfants qui sont décédés avec des co-morbidités importantes mais voilà donc… Mais malgré cela, la France au mois de juin était la lanterne rouge du monde entier en termes de létalité. C’est peut-être un peu compliqué mais quand on mesure les décès dans une épidémie, on regarde le nombre de décès et au dénominateur on met soit le nombre de cas diagnostiqués, soit la population. C’est pour cela qu’il y a la létalité et la mortalité. Je vous fais un petit cours d’épidémiologie mais c’est important à comprendre parce que jusqu’au mois de juin, quand on n’avait pas de tests PCR, très peu, juste à l’hôpital pour confirmer les cas, le compte des malades était vrai parce que c’était les médecins qui avaient fait le diagnostic à l’hôpital avec les signes cliniques, le scanner, la perte du goût, de l’odorat, les chiffres de cas étaient fiables. Donc la létalité était le meilleur marqueur de la gestion. La France était la dernière du monde, à un moment donné on était battu par le Yémen qui est en guerre et où tous les hôpitaux étaient démolis, qui n’a plus de système de santé. Bravo la France ! Et pendant ce temps-là, nos ministres défilaient à la télé pour dire « On est les meilleurs ! » Cherchez l’erreur.

Et après la létalité on n’a pas pu la mesurer parce que quand Véran a dit qu’il fallait dépister des milliers de gens qui n’ont aucun symptôme, par ce test PCR qu’on vous fourre dans le nez, c’est une hérésie scientifique. Moi je suis chercheur, j’ai fait de la virologie à l’institut Pasteur, j’ai connu les gens qui ont développé la PCR sur d’autres maladies, on n’a pas le droit de faire des tests PCR chez des gens qui n’ont pas de symptômes, parce qu’il y a beaucoup de faux positifs. Ils ont fait peur aux gens, j’étais horrifié de voir ces queues, j’ai connu des gens qui faisaient 3 tests par semaine, ils disent « je m’en fous c’est gratuit », non c’est pas gratuit, c’est moi qui paie avec mes impôts. Le gouvernement a dépensé des milliards alors que la sécu est déjà ruinée. Le trou de la sécu était à 5 milliards d’euros quand Macron est arrivé, maintenant on est à plus de 55 milliards, je crois.

C’est affolant. On a créé…, je ne dis pas l’épidémie était terminée, il y a eu des rebonds épidémiques en novembre-décembre, en février, mars-avril, mais quand on regarde, les chiffres ne voulaient plus rien dire parce qu’on avait des cas qui n’étaient pas des cas, c’était des faux tests positifs, et les morts ce n’était pas forcément des morts du Covid, ce sont des gens qui sont décédés avec un test positif. Et donc on n’a plus aucune confiance dans ces chiffres. Autant c’était fiable jusqu’au mois de juin, et là on ne peut plus parler…, je ne regarde plus la létalité, c’est-à-dire le nombre de morts sur le nombre de cas, parce qu’on ne sait pas le nombre de cas. Si on regarde la mortalité maintenant, nombre de morts sur la population, je crois que la France est dans les 4 ou 5 pays les pires du monde. Donc c’est une catastrophe totale d’un bout à l’autre en France, la gestion de cette crise. Alors qu’on ne vienne pas me donner des leçons parce que moi j’ai géré des crises sanitaires avec d’autres gouvernements, je sais comment ça se passe quand on gère une épidémie… Ce qui est hallucinant, …

Vous avez vu les mensonges, et les changements de messages ? Au début de la crise, … le coup des masques, alors on dit Perronne c’est un anti-masque. Je n’ai jamais été anti-masque, c’est moi qui ai travaillé avec le ministère de la Santé il y a 20 ans pour mettre en place les masques dans le cas de tuberculoses contagieuses à l’hôpital parce que la tuberculose se baladait à l’hôpital avant et que personne ne prenait des mesures. Je suis un convaincu du masque quand c’est bien utilisé, pour un malade qui a des symptômes pour qu’il ne vous crache pas dessus, pour l’entourage immédiat, soit les soignants, la famille, pour ne pas recevoir les projections. Expliquez-moi l’utilité d’un masque chez une personne qui n’a aucun signe respiratoire, c’est complètement débile ! Qu’on me montre une seule étude qui dise que cela sert à quelque chose. Et vous savez pourquoi on nous a imposé les masques pendant des mois et des mois et des mois ? C’est pour vous soumettre, pour tester votre soumission, et pour vous imposer ces produits maintenant qu’on appelle vaccins.

“Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. (Ap 13.16-17)”

Pour moi, le pire crime, c’est d’imposer le masque aux enfants toute la journée. Vous avez vu qu’il y a des études qui commencent à sortir, des études scientifiques, dans certains pays qui montrent qu’il y a une chute de l’apprentissage et des capacités cognitives des jeunes ; il y a des suicides d’enfants, c’était du jamais vu. Il y avait des suicides d’adolescents mal dans leur peau, malheureusement on en a toujours connu… J’ai des amis psychiatres infantiles ; il y a des enfants qui se sont pendus, qui se sont jetés par la fenêtre de l’hôpital Robert-Debré même à Paris et c’est horrible, ce qu’on a fait aux enfants, et les petits n’arrivent plus à apprendre à parler parce qu’ils ne voient pas les lèvres bouger, les plus grands même ils ne peuvent plus jouer dans la cour de récréation, toucher leurs copains… Les étudiants… j’étais en… un cours, les cours ça se fait par Zoom, sur des visioconférences… il y avait des centaines d’étudiants, j’ai discuté un peu avec eux… des étudiants en médecine, une enquête faite dans notre faculté montre qu’ils sont déprimés, ils sont plus motivés, il y en avait 30% qui voulaient arrêter la médecine. Ils sont toute la journée chez eux, sur leur lit, à voir les cours sur Internet, ils en ont ras-le-bol, ils ne pouvaient plus sortir, aller au café et boire une bière avec les copains. Donc on est en train de casser notre jeunesse. Il faut le savoir. Et ce n’est pas terminé parce qu’on va les inoculer.

Et donc il y a l’histoire des traitements, la chloroquine, ça marche, c’est prouvé, il y a des centaines d’études dans le monde, j’ai même publié dans des journaux internationaux des articles qui le montrent. Malheureusement il y a des études frauduleuses comme la fameuse étude du Lancet, qui a été payé pour dire des mensonges. La citromycine, ça marche ; et l’ivermectine, qui était à la base un antiparasitaire, des centaines de millions de gens l’ont utilisé dans le monde pour des parasitoses, c’est un traitement courant pour la gale par exemple…
[…]
Je n’ai jamais été anti vaccinal parce que c’est moi qui ai présidé la politique vaccinale dans le pays pendant 15 ans… et pendant plusieurs année j’ai été vice-président du groupe d’experts à l’OMS pour les vaccins en Europe… j’ai toujours défendu les vaccins quand ce sont des vrais vaccins, là aujourd’hui on n’a pas affaire à des vaccins mais on a affaire à des produits expérimentaux, qui sont potentiellement dangereux, parce qu’on n’a pas encore tous les résultats sur les effets secondaires et on voit que ces produits qu’on nous injecte aujourd’hui ne protègent pas. Vous connaissez le dictionnaire Vidal des médicaments ? Si vous regardez le dictionnaire Vidal à la page vaccin Moderna, Pfizer pour le Covid, c’est écrit en gras, « Ce produit ne protège pas contre les formes graves », c’est le fabricant qui le dit. Et à côté de ça on voit des journalistes ou des experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêts à la télévision, qui disent : Mais bien sûr ce vaccin protège contre les formes graves. Qu’on m’explique pourquoi Madame Roseline Bachelot, vous la connaissez ? Elle a été ministre de la Santé, là, je ne sais pas trop pourquoi elle s’est retrouvée à la culture, et… elle s’est fait vaccinée et dans les jours qui ont suivi elle a fait une forme grave du Covid. C’est emblématique. Autour de moi je connais plein de gens qui ont fait des formes graves après le vaccin. Pas vaccin, plutôt ce machin ! Ce qui est très grave c’est qu’il y a des pays dans le monde où l’épidémie s’était très bien passée, c’était parfaitement géré, il y avait peu de cas, peu de morts. Regardez au Vietnam ils avaient quelques dizaines de morts en un an et demi, tout allait bien, tranquille. Et j’ai un ami vietnamien qui m’a envoyé un message assez horrible « On a un de nos dirigeants qui revient du forum de Davos, il veut imposer la vaccination à tout le peuple vietnamien, ils ont commencé et du coup l’épidémie est repartie et il y a des morts. »

Bon…
Tous les pays où l’épidémie est repartie avec des morts, sont des pays qui ont vacciné massivement. Regardez Israël, regardez la Grande Bretagne, le Brésil, l’Inde.
Le plus parlant… on veut nous faire peur avec ce fameux variant indien, l’agent Delta. Alors c’est un delta-plane qui arrive sur vous, il va tous vous tuer. Les variants depuis le début sont de moins en moins méchants ! Un virus quand il s’adapte à l’homme, il perd de sa virulence. C’est toujours comme ça depuis l’histoire de la médecine. Et il y a des traitements ! J’avais bien rigolé, ça a commencé, ce fantasme des variants, l’été dernier au mois d’août en Espagne, on dit attention il y a un variant espagnol terrible qui va ravager l’Europe. J’ai vu les émissions de télé, on voyait les ambulances, scénario catastrophe, des gens habillés en scaphandriers, des images qui dataient de plusieurs mois avant et le journaliste interviewe un médecin qui était de garde au CHU de Madrid : et alors docteur, c’est la panique chez vous, vous avez recruté tout le monde ? Et le gars, il était en train de se la couler douce et il dit : « De quoi vous parlez, nous avons 5-6 malades, tout va bien. » Et la journaliste qui s’excite contre lui : « Mais ce n’est pas possible docteur, il paraît qu’il y a un variant terrible. » Après il y a eu le variant anglais on l’attendait dans le tunnel sous la Manche… Tout le monde avait le variant anglais et en fait il ne s’est rien passé. Après il y a eu le variant néo-zélandais, le variant brésilien, le variant… et si vous regardez les variants, ils ont toujours émergé là où on a vacciné. Et en plus les vaccinés… le virus est résistant au vaccin, c’est pour ça que ce sont les vaccinés qui font plus de problèmes. Voilà donc, c’est très inquiétant parce qu’on s’aperçoit maintenant que les effets secondaires des vaccins semble devenir plus fréquents que le risque du Covid qui est devenu très faible.

La mortalité mondiale est de l’ordre de 0,05% et ça touche à 90% les gens qui ont plus de 85 ans et en plus si une personne âgée est malade, il y a un traitement qui marche à plus de 90% si on le donne tôt. Alors où est le problème ? Franchement ! Il y aurait une épidémie… si en sortant de chez vous tous les matins vous enjambiez les cadavres comme dans le roman de Camus, on pourrait se dire effectivement on peut passer outre certaines consignes de sécurité, mais là on voit qu’on a développé à la va-vite ces produits, que la phase d’expérimentation n’est toujours pas terminée, on veut vacciner des milliards d’individus dont des enfants qui ne font aucune maladie… pour une maladie qui ne tue pratiquement plus.

Aujourd’hui je ne dis pas que le virus a disparu, je suis désolé, il y a encore quelques morts, mais on peut les traiter. Et ce qui est terrible, vous savez que quand ils ont demandé à l’agence du médicament que ce soit au Etats-Unis en Europe, en France, l’autorisation de mise sur le marché, dite conditionnelle, la condition c’est qu’il n’y a aucun produit qui marche. Donc il fallait par tous les moyens désinformer et dire qu’il n’y a aucun produit qui marche. Moi je n’étais pas anti-masque quand il n’y avait pas de masque au début, j’avais signé quand j’étais président du Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, un rapport à la demande du gouvernement « Comment gérer le stock de masques ». Les journalistes qui l’ont vu ont dit : « Mais votre texte il était parfait, pourquoi ils ne l’ont pas suivi ? » Parce que, après, les hauts-fonctionnaire ont dit : « Oh, les masques ça ne sert à rien, poubelle ! » Et après quand ils se sont trouvés comme des cons sans masques, il y avait le ministre, tout le monde, le directeur adjoint de la Santé : « Ah non, les masques ça ne sert à rien » et puis vous savez une que j’aimais beaucoup, Sibeth Ndiaye,… oui je dirais qu’elle me manque maintenant, mais quelques semaines ou quelques mois après : « Mais non, les masques c’est très important et maintenant c’est obligatoire et même quand vous allez tout seul aux toilettes il faut porter le masque sinon vous allez mourir, bon… » Oui, et même chez soi, en couple, vous avez déjà essayé de faire l’amour avec des masques ? Il y a une ministre, je crois que c’est au Canada, il y a une ministre qui a recommandé la masturbation,… pour ne pas contaminer. J’ai adoré le coup de la bûche de Noël aussi, papi et mamie à la cuisine avec un morceau de bûche, et voilà.

C’est une dictature sanitaire mais c’est aussi un grand délire sanitaire. Toutes ces recommandations, ces mesures ne sont prises sur aucune donnée scientifique solide. Vous savez que j’ai écrit un rapport contre les décisions du gouvernement québécois à la demande d’avocats d’une fondation au Québec, il est public et vous pouvez le trouver sur ma page Facebook : Christian Perronne Officiel. Il y a des études notamment au Danemark, vous savez le fameux mot « randomiser » maintenant il est devenu commun et avant les gens ne savaient pas vraiment ce que cela voulait dire. « random » en anglais c’est le hasard, le tirage au sort.

On a comparé des gens masqués, et des gens pas masqués et il n’y a presque pas de différence. Ça date déjà de plusieurs mois, donc ils savent que les masques ne servent à rien. Même Antoni Fauchi dans ses courriels disait il y a plus d’un an : le masque ne sert à rien. Et après c’est lui qui a fait imposer le masque dans tous les pays du monde, c’est terrible ! On a parlé des masques, des tests, on a parlé des traitements, … j’ai un peu tout dit. Mais je suis optimiste parce que la pandémie est en train de s’éteindre partout.

Mais je suis inquiet, parce qu’on risque de nous relancer je ne sais pas quoi, des variants, des… Et surtout, si tout le monde se fait inoculer avec ces produits, on va voir réapparaître la maladie, réapparaître des morts. Soit disant Israël c’était le paradis, Eh… Moi, j’ai… Il se trouve que j’avais un ancien… un médecin qui était en France à l’époque, qui travaillait près de mon hôpital, qui m’a contacté…, maintenant il a émigré en Israël, il m’avait contacté, en me disant : « Mais Christian c’est, c’est terrible ce qui se passe chez nous. Ils ont radié les professeurs de médecine parce qu’ils parlaient contre le gouvernement. Il a des copains médecins qui ont été radiés parce qu’ils refusaient la vaccination. Un de ses copains médecins qu’on avait vacciné de force, il est passé en réanimation après la 2ème dose. Et ils avaient instauré le passeport sanitaire. Sa fille qui était à la faculté en Israël n’avait pas le droit de passer d’examen, parce qu’elle avait refusé le vaccin. Et… Est-ce que vous savez… Est-ce que vous savez qu’en Israël le passeport vaccinal… le passeport sanitaire a été abrogé, vous le savez ? Est-ce que les médias français n’en n’ont pas parlé ? Ça fait au moins un mois que c’est abrogé, parce qu’Israël était au bord de la guerre civile, ils se déchiraient dans les familles. Et en plus, maintenant on sait qu’il y a une augmentation de mortalité… notamment chez les vaccinés. Ça c’est terrible parce qu’on a du mal à obtenir les chiffres fiables. Je vais peut-être m’arrêter là parce qu’il y a du monde qui veut peut-être parler après. Je répondrai à vos questions si vous voulez.”

————————————–