Nahel Merzouk, 17 ans, déjà connu pour quinze mentions au fichier des antécédents judiciaires, a été tué le 27 juin 2023 par un policier suite à un énième refus d’obtempérer. Sa mort a été le prétexte à des nuits d’émeutes de la part de jeunes gens issus en majorité de l’immigration musulmane sur tout le territoire national, d’une violence inouïe, ayant entraîné du 27 juin au 5 juillet le bilan provisoire de 2 morts ; 723 policiers blessés ; 1092 bâtiments incendiés ou dégradés, dont 243 écoles, 250 commissariats de police ou gendarmeries, 99 mairies, 45 bibliothèques ; des centaines de commerces pillés, détruits ; 5954 véhicules incendiés, dont des bus, des rames de trains … Au moins 1 milliard de dégâts. Des personnalités publiques, avec leurs familles, ont vu leur domicile être saccagé, elles ont été agressées, menacées de mort, ont subi des tentatives de meurtre, dont des pompiers en intervention.

Le Président Macron a qualifié d’« inexplicable et inexcusable » le geste du policier, qui a aussitôt été mis en examen et incarcéré pour « homicide volontaire ». Condamné avant même d’être jugé ! Qui va encore vouloir être policier en France ? La tentative d’apaiser la haine de la communauté à laquelle appartenait Nahel et éviter l’embrasement des « banlieues » a été vaine. Le nom et l’adresse de la famille du policier et de son avocat ont été livrés en pâture sur les réseaux sociaux … Il n’y a pas jusqu’à l’ONU pour avoir appelé la France à « se pencher sur les problèmes de racisme et de discrimination » dans sa police. Or, au vu de la proportion d’étrangers en France, celle-ci est tout sauf raciste !

Parmi les autres causes avancées pour expliquer cette haine viscérale de la France et de tout ce qui la représente, rares sont ceux qui ont souligné l’influence de l’islam, beaucoup l’ont même niée, au motif, pour certains, que l’islam serait une religion d’ordre. Or, si tous les musulmans ne sont pas des délinquants, tous, peu ou prou, du seul fait qu’ils s’en réclament, sont par lui conditionnés. Et il est indéniable que :

  • Les banlieues françaises ‒ et pas que les banlieues ! ‒ d’où sont parties les émeutes, sont largement islamisées.
  • L’invocation d’Allah s’est faite entendre lors de ces émeutes, comme lors de celles de 2005, et régulièrement lors des dégradations et autres incivilités célébrant par exemple la victoire sportive – ou la défaite – d’un pays musulman.
  • Nombre de pays musulmans ont manifesté leur soutien aux émeutiers au nom de leur communauté. Ainsi l’Algérie a fait part de son « souci constant d’être aux côtés des membres de sa communauté nationale au moment de l’adversité et de l’épreuve.» Car Nahel, bien que de nationalité française, était d’ascendance algérienne, et donc membre de l’Oumma, la communauté musulmane, qui, usurpant le rôle de l’Église, se prétend universelle et donc transnationale … L’État algérien a fait tout ce qu’il a pu pour déstabiliser l’État français : des groupes de trolls ont diffusé des vidéos en arabe et en français pour qualifier les émeutiers de combattants de la liberté, de descendants des moudjahidine algériens, et appelé à une « deuxième Révolution algérienne » sur le sol français … Les émeutiers ont repris en boucle un discours par le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, attisant leur haine : « Ils complotent contre vous (…) ils ont jeté vos frères dans la Seine le 17 octobre 1961. Aujourd’hui, ils veulent faire pareil avec vous (…) L’Algérie ne vous lâchera pas et quiconque vous touche, je m’engage personnellement à le lui faire payer ! » Aussi, pour l’historien Pierre Vermeren, « Ces émeutes sont un revival fantasmatique d’une mini-guerre d’Algérie. (Lepoint.fr, 5 juillet 2023) »
  • Le président turc Recep Tayyip Erdoğan, qui s’emploie à ressusciter le califat, a déclaré, au sujet de ces émeutes, que « la plupart des immigrants, condamnés à vivre dans des ghettos, sont musulmans et sont systématiquement opprimés. (Lefigaro.fr, 3 juillet 2023) ».
  • Le 2 juillet, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, a appelé le gouvernement français à «prêter attention aux demandes des manifestants (IRNA,‎ 2 juillet 2023) ».
  • La Belgique et la Suisse ont vu leurs ressortissants musulmans déclencher des émeutes par solidarité avec les émeutiers français.

Bref, il est difficile de nier l’implication de l’islam dans ces émeutes.

  • A contrario, lorsque, par exemple, l’Algérienne Dahbia Benkired, selon le rite satanique des Zouhris pratiqué en Afrique du Nord, a torturé à mort et bu le sang d’une enfant de 12 ans, Lola, le 14 octobre 2022 à Paris, les Magrébins n’ont pas manifesté contre l’Algérie. Pourquoi ?
  • Et lorsque, parmi tant d’autres atrocités, quotidiennes, voilées ou pas, en mars 2012, Mohamed Merah tua sept personnes, dont trois enfants juifs, et en blessa six autres, et que sa mère déclara : « Mon fils a mis la France à genoux ! Je suis fière de mon fils ! (Paris Match, 2 avril 2012) » ; lorsque le 7 janvier 2015, l’attentat contre Charlie-Hebdo a fait 12 morts et 11 blessés ; le lendemain, quand Amedy Coulibaly tua la policière Clarissa Jean-Philippe et 5 autres personnes, dont 4 juives ; lorsque le 13 novembre 2015, ont étéassassinées131 personnes et que 352 autres ont été blessées au Bataclan ; lorsque le 14 juillet 2016, un Tunisien, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, tua 86 personnes et en blessa 400 sur la Promenade des Anglais à Nice ; quand le 26 juillet 2016, Adel Kermiche et Abdel Malik Petitjean égorgèrent le père Hamel pendant qu’il célébrait la Messe ; quand le 1er octobre 2017, Ahmed Hanachi, un Tunisien se réclamant de l’État islamique, égorgea deux jeunes femmes dans la gare Saint-Charles à Marseille ; quand le 23 mars 2018, Radouane Lakdim, un Marocain naturalisé français, se réclamant de l’État islamique, tua 4 personnes à Carcassonne et Trèbes ; lorsque le 11 décembre 2018, le Franco-Algérien Chérif Chekatt criant « Allah Akbar » tua 5 passants et en blessa une dizaine d’autres au marché de Noël de Strasbourg ; quand le 3 octobre 2019, Mickaël Harpon, agent administratif, converti à l’islam, tua quatre policiers au couteau de cuisine à la préfecture de police de Paris ; lorsque le 4 avril 2020, à Romans-sur-Isère, le réfugié soudanais, Abdallah Ahmed-Osman, criant « Allah Akbar » tua au couteau deux passants et en blessa cinq autres, leur demandant s’ils étaient musulmans ; quand le 16 octobre 2020, Abdoullakh Anzorov, un réfugié d’origine tchétchène, égorgea Samuel Paty en pleine rue ; lorsque le 29 octobre 2020 un clandestin tunisien, Brahim Aouissaoui, tua 3 personnes dans la basilique N. D. de l’Assomption à Nice au cri de « Allah Akbar » ; quand le 23 avril 2021, le Tunisien Jamel Garchène tua une fonctionnaire de police, Stéphanie Monfermé, au commissariat de Rambouillet … est-ce que Français, chrétiens, juifs, se sont conduits comme les émeutiers suite à la mort d’un des leurs, innocente et non multi-récividiste ? De fait, aucune autre communauté étrangère, ethnique ou religieuse, ne se comporte comme la communauté musulmane.

A ceci s’ajoute le fait que la condamnation de l’islamophobie rend sourd, aveugle et muet. L’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) et les frères musulmans travaillent sans relâche à l’inscrire tant au niveau mondial que dans les droits nationaux : en 2009 le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, a avalisé la reconnaissance de l’islamophobie ; le 23 mars 2017 le Canada a adopté la motion M-103 qui condamne l’islamophobie ; le Conseil de l’Europe et l’OSCE ont conclu des accords avec l’OCI pour combattre « l’islamophobie, au même titre que le racisme, la xénophobie ou l’antisémitisme » … Les États occidentaux ont ainsi accepté d’appliquer eux-mêmes la charia … qui condamne la critique de l’islam, parfois jusqu’à la peine de mort, au prix du mensonge équiparant racisme et islamophobie, race et islam. Or, la race est un fait de nature, dont chacun est innocent, raison pour laquelle il est injuste de la lui reprocher, mais l’islam est un fait de culture, qui, en tant qu’acte humain, suppose l’exercice de la liberté, et donc la possibilité de l’erreur et donc de la critique …

Pour leur part, les milieux d’extrême-gauche, qui ont soutenu et encouragé ces émeutes, en attribuent la cause à la pauvreté. Or, la France a déversé depuis des décennies des milliards dans l’aide aux populations immigrées. En vain. Partis en fumée avec les rames de train et les écoles incendiées ! Les Français de la Creuse n’ont pas touché le millième des investissements faits dans les banlieues, et ne se sont jamais pour autant conduits de la sorte. Mais si pour le président Macron il n’y a pas de culture française, comment expliquer cette différence de comportements ?

La communautarisation garderait dans leur condition d’étrangers les immigrés, en sorte que marginalisés, rejetés par la société française, ils auraient nourri une compréhensible, sinon légitime violence. Or, précisément, l’islam enjoint aux musulmans de vivre séparés des non-musulmans, en sorte que la communautarisation est par eux voulue, afin de se séparer des non-musulmans considérés comme impurs (Coran 9.28), objets d’une haine éternelle : « Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine A JAMAIS jusqu’à ce que vous soyez musulmans ! (Coran 60.4) » 

La consommation du halal ‒ nullement imposée par Allah (Coran 5.4,5) ‒, le port du voile, le ramadan, les prières … sont autant de marqueurs servant à se différencier des non-musulmans. La réalisation du Coran a pour but la séparation du pur et de l’impur (Coran 3.110), en sorte que la communauté musulmane, l‘Oumma, n’est soluble dans aucune société humaine : « Ô croyants ! N’entretenez de relations qu’entre vous ; les infidèles ne manqueraient pas de vous corrompre : ils désirent votre perte ! (Coran 3.114 ; 9.71) » Feu le roi du Maroc et Commandeur des croyants, Hassan II, nous a avertis lors d’un entretien avec la journaliste Anne Sinclair, le 14 mai 1993 : « Ils ne seront jamais à 100% Français. Ça, je peux vous l’assurer ! » Le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, l’a confessé : « L’islam ne doit pas être considéré comme une simple religion. […] C’est un phénomène sociopolitique, c’est une idéologie de lutte et d’agression. (BFM TV, 3.01.2011) ». L’Oumma est par nature révolutionnaire et expansionniste, comme l’exprime très bien Alija Izetbegovic, chef d’État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000 : « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistence entre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques. […] Le soutien qu’un peuple musulman apporte effectivement à un régime en place est directement proportionnel au caractère islamique de ce dernier. […] Nous devons être des prêcheurs et ensuite des soldats. […] Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dès qu’il est en situation morale et numérique suffisante pour lui permettre de renverser le gouvernement non-islamique. (Déclaration islamique, 1977) » C’est ainsi qu’à Paris M. Erdogan a pu tranquillement demander aux immigrés turcs d’être le cheval de Troie de l’Islam : « Personne ne peut vous demander d’être assimilés. Pour moi, le fait de demander l’assimilation est un crime contre l’humanité. (6-7.04.2012) », lui pour qui : « Les minarets sont nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées nos casernes et les croyants nos soldats. (06.12.1997) » Quelle leçon la France a-t-elle tirée de toutes ces déclarations, sinon celle de Lionel Jospin : « Et qu’est-ce que vous voulez que ça me fasse que la France s’islamise ? (Elisabeth Schemla, Islam, l’épreuve française, Plon, 2013) » ? Alors, pourquoi s’étonner de voir arriver l’avenir annoncé par le Ministre de l’Intérieur, Gérard Colomb, lorsque donnant sa démission le 3 octobre 2018, il dit redouter un très prochain « face à face » ?

S’il est encore trop tôt pour déclarer officiellement le djihad, nul doute que le grand soir approche, car Allah a dit : « Ô vous qui croyez ! Combattez à mort les incroyants qui sont près de vous ! Qu’ils vous trouvent durs à leur égard ! (Coran 9.124) » ; « Préparez, pour lutter contre eux, toutes les forces dont vous disposez et de forts escadrons, afin d’effrayer les ennemis d’Allah et les vôtres […] Tout ce que vous aurez dépensé dans la voie d’Allah vous sera remboursé et vous ne serez point lésés. (Coran 8.60) » Le Coran étant considéré comme l’acte créateur lui-même, qui ne présuppose donc rien, et en dehors de quoi rien n’existe (il ne connaît pas les compléments de temps et de lieu), les événements de la vie de Mahomet servent de modèles reproductibles à toute époque (Coran 33.21) … Or la vie de Mahomet est faite de pillages, de meurtres, de guerres, de parjures … Allah lui réservant le 1/5ème des butins (Coran 8.41 ; 59.6), légitimant le commerce des esclaves (Coran 8.70 ; 33.52 ; Boukhari, 91,368), et jusqu’au mariage des fillettes (Coran 65.4) … L’histoire montre que tant que la population musulmane ne dépasse pas 2 % dans un pays donné, elle est considérée comme une minorité pacifique : USA (0,6%), Australie (1,5%) … De 2 à 5 %, l’Oumma commence à être prosélyte envers les autres minorités et les mécontents, recrutant essentiellement parmi les détenus et les bandes urbaines : Danemark (2%), Allemagne (3,7%), Espagne (4%) … Au-delà de 5%, elle exerce une influence démesurée en regard de sa proportion pour l’ensemble de la population, exigeant par exemple la nourriture halal, et menaçant les chaînes de distribution qui s’y refusent. Ses communautés font pression pour s’auto-gérer (dans les limites de leurs ghettos), où elles commencent à appliquer la Charia : France (9%), Philippines (5%), Suède (5%), Pays Bas (5,5%). Lorsque la proportion de musulmans approche 10% de la population, ils tendent à protester contre leurs conditions de vie par une recrudescence des actes de délinquance … Tout comportement non musulman offense l’Islam et provoque soulèvements, menaces, représailles : Inde (13,4%), Kenya (10%) … Passé le seuil de 20%, ce sont des émeutes sous le moindre prétexte, la formation de milices djihadistes, des assassinats sporadiques, des incendies d’églises et de synagogues : Ethiopie (32,8%). A 40%, les nations subissent des massacres à grande échelle, une guérilla permanente : Bosnie (40%), Tchad (53,1%), Liban (59,7%). A partir de 60%, c’est une persécution effrénée des membres des autres religions, et des musulmans non-pratiquants, une purification ethnique sporadique (génocide), la charia servant d’arme de guerre, avec l’imposition de la Jizya (racket des infidèles pour acheter leur droit de survivre) : Albanie (70%), Malaisie (60,4%), Soudan (70%). Au-delà de 80%, ce sont des génocides organisés par l’État qui veut 100% de musulmans : Bangladesh (83%), Gaza (98,7%), Indonésie (86,1%), Iran (98%), Irak (97%), Pakistan (97%), Palestine (99%). Avec 100% de musulmans commence enfin le Dar-es-Salaam, la Maison de la Paix. Alors les madrasas sont les seules écoles et le Coran la seule science : Afghanistan (100%), Somalie (100%), Yémen (100%). Mais cette paix rêvée n’est jamais au rendez-vous, car tout musulman en trouve toujours un qui l’est plus que lui. (in Dr Peter Hammond, Slavery, Terrorism and Islam, Christian Liberty Books, 2005).

Une société privée de la grâce du Christ et soumise à la dictature des droits individuels est incapable de s’opposer à son islamisation. Puisque pour elle il n’y a pas de vérité absolue sur laquelle s’appuyer, au nom de quoi refuserait-elle des droits particuliers à une vérité particulière ? Puisque pour elle toutes les religions et les opinions se valent, au nom de quoi refuser l’islam ? Si les droits de l’homme ne sont pas fondés dans l’amour divin, éternel et immuable, révélé en Jésus-Christ, pourquoi ne changeraient-ils pas ? La laïcité mise en place pour tenir l’Église à distance est ainsi devenue le meilleur outil de propagation de l’islam. La démographie étant reine, c’est démocratiquement que la charia sera instituée. Comme il l’a fait (Pakistan, Bengladesh …) et le fait partout (Nigéria, Philippines …), l’islam entend chez nous se tailler un territoire à lui, et pour cela a déjà créé des zones de non-droit où tout ce qui rappelle la France doit fuir, y compris la Police sous les jets de cocktails molotov. Il n’y a aucun doute que les Français sont en train d’être remplacés et islamisés sous le coup d’une invasion liée aux objectifs de l’oligarchie financière, laquelle a accepté en échange du pétrole la stratégie d’action culturelle islamique élaborée par l’Organisation de la Coopération islamique. « C’est aussi une guerre pour la maîtrise du territoire qui se dévoile sous nos yeux » reconnaît Mathieu Bock-Coté. Non, la France, Fille aînée de l’Église et éducatrice des peuples, n’a pas été fidèle aux promesses de son baptême ! Non, elle n’est pas fidèle à l’alliance avec la Sagesse éternelle ! (St Jean-Paul II, Allocution le 1er juin 1980 au Bourget)

Abbé Guy Pagès

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Cet article est paru en Pologne (cliquez sur l’image) :