En Israël, un homme a été inculpé le lundi 27 septembre pour avoir tué sa propre mère parce qu’elle s’était convertie de l’islam au christianisme.
En 2006, Rasha Muklasha, 46 ans, avait déménagé de la ville de Zarzir à Nof HaGalil après s’être convertie de l’islam au christianisme et avoir quitté son mari et ses cinq grands enfants, dont le suspect, Muad Hib.

Muklasha a eu le malheur de vouloir reprendre contact avec ses enfants après avoir appris la mort de son mari. Muad Hib a profité de cette occasion pour commettre le meurtre avec préméditation, selon les procureurs. Il a organisé un rendez-vous avec sa mère le 5 août 2021 près de Nazareth dans l’intention de la tuer et de se débarrasser ensuite de son corps. Après avoir pris sa mère Muklasha dans sa voiture, Muad Hib l’a étranglée, seul ou avec d’autres, selon les documents judiciaires.

Après avoir tué sa mère, Muad Hib s’est dirigé vers le Jourdain, a creusé une fosse, enterré le corps de sa mère et recouvert l’endroit de pierres et de feuilles sèches pour le dissimuler, selon le Times of Israel.

Muad Hib a ensuite été intercepté à un barrage policier dressé  suite à la disparition soudaine de Muklasha, et après après une brève poursuite arrêté près de Nahalal. Les deux frères de Muad Hib , âgés de 23 et 20 ans, ont également été arrêtés dans le cadre de l’enquête. 

Le corps de Muklasha a été retrouvé grâce à de nombreux policiers, accompagnés d’un hélicoptère, de chiens, de cavalerie et d’une unité de reconnaissance de la police, selon le Jerusalem Post. « Le travail rapide des enquêteurs pour localiser le suspect, et la suspicion d’une affaire de meurtre, a conduit au lancement de toutes les forces du district nord pour une opération rapide et étendue afin de localiser le corps de la victime », a déclaré le chef du district nord, Shimon Lavi. (Source)

Un musulman ne peut pas quitter l’islam sans s’exposer à être lynché par ses anciens coreligionnaires, ses parents ayant de droit la priorité dans l’exécution de ce devoir : « S’ils renient, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez ! (Coran 4.89) » ; « Égorgez-les ! […] Ils ont désobéi à Allah et à son messager ! […] Ce n’est pas vous qui les tuez, c’est Allah ! (Coran 8.12-17) » ; « Quiconque a renié Allah après avoir cru ― sauf celui qui y a été contraint ― ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là méritent la colère d’Allah et un terrible châtiment ! (Coran 16.106 ; 2.217) » ; « J’ai bien entendu l’apôtre d’Allah dire : “Les derniers jours, il apparaîtra de jeunes fous qui diront de belles paroles mais dont la foi n’ira pas au-delà de leur gorge et qui quitteront leur religion comme la flèche sort du jeu. Alors, où que vous en trouviez, tuez-les car celui qui en tuera aura sa récompense le jour de la résurrection.” (Boukhari 84.64) » ; « Le Prophète a dit : “Si quelqu’un abandonne sa religion, tuez-le !” (Boukhari 4.63,260) »

Le meurtre des apostats, ou le djihad, sont considérés comme des actes cultuels en islam. Le Code pénal adopté à l’unanimité en 1996 par le Conseil des Ministres arabes de la Justice prévoit la mise à mort des apostats. Nombre de pays musulmans sanctionnent l’abandon de l’islam par la peine capitale. Les articles 126 du Code pénal soudanais et 306 du Code pénal mauritanien, par exemple, prescrivent la mort de l’apostat et de celui qui invite à quitter l’islam. C’est ce qu’a revendiqué sans fard, pour tous les peuples musulmans, le représentant de l’Iran à l’Assemblée générale des Nations Unies (AG, 3e Commission, 26 oct. 1981, A/C. 3/36/SR. 29, p.5). En 1999 le Ministre de l’Intérieur français a soumis aux musulmans de France une charte devant exprimer leur acceptation des « principes républicains ». Elle ne devait “faire l’objet d’aucune négociation”, mais la clause stipulant « le droit à changer de religion ou de conviction » a été retirée à leur demande. En concédant cette exception, les pouvoirs publics ont montré leur lâcheté, qui a encouragé d’autres revendications, que le Ministre avait anticipé en arabisant la consultation ! Et si, en 2021, les signataires de la Charte des principes de l’islam rédigée par le Conseil Français du Culte Musulman à la demande du gouvernement français, « s’engagent à ne pas criminaliser un renoncement à l’islam », quatre des neuf associations signataires ont refusé de signer le texte. Quant aux autres, le moment venu, la takiya leur permettra de renier leur parole (Coran 2.225 ; 66.2). Comme l’exprime très bien le cheikh Al Qaradhâwî, éminence grise des Frères musulmans et président du Conseil européen de la fatwa et de la recherche (CEFR) : « Sans le meurtre des apostats, l’islam n’aurait pu et ne peut survivre. (Cf. Le danger de l’apostasie… et la lutte contre la zizanie, 30.12.2002) » Quel terrible aveu de faiblesse ! Mais l’islam assure encore sa survie par une constante surveillance mutuelle, qui induit des mécanismes psychologiques d’autocensure. Même celui qui critique l’islam mérite la mort : « Son sang et ses biens sont licites. (Cheikh jordanien Abu Muhammad al-Maqdisi, 06.09.2005) » Et pour aider l’islam dans cet effort, les Nations Unies, le Conseil de l’Europe, et l’OSCE ont courageusement accepté de reconnaître et sanctionner le délit d’islamophobie ! Pourquoi ne comprennent-ils pas, ces fervents défenseurs des Droits de l’homme, que l’islamophobie n’est pas plus du racisme que l’islam n’est une race ? (Extrait de “Interroger l’islam, U 24)

L’histoire d’une autre victime de la loi d’Allah …