Une bonne nouvelle : la fin de l’islam est acquise !

Telle une pyramide sur sa pointe, tout l’Islam repose sur le Coran, dont la nature divine éclaterait de façon si évidente qu’Allah lance souvent le défi de tenter d’en produire un texte semblable (Coran 2.23-24 ; 11.13-14 ; 10.38 ; 17.88 ; 52.34). Et de l’impossibilité escomptée de relever la gageure, chacun devrait en déduire LA PREUVE de la divinité du Coran, et donc de l’islam. C’est dire l’impertinence, ou l’importance, de ce petit livre prétendant … relever ce défi !
Réussit-il à relever le défi d’Allah ?
Au lecteur d’en juger.

On peut commander l’ouvrage ici pour 13 €.

Ce livret est tiré de l’ouvrage magistral de l’abbé Guy Pagès, Interroger l’islam, publié aux éditions DMM en 2013 et qui en est aujourd’hui à sa quatrième édition.

NB : Pour cacher la monstruosité de la loi d’Allah, certains musulmans avancent que Coran 4.15 traite des cas de fornication et d’adultère et non de viol. Or, le texte ne mentionne pas plus l’adultère que le viol, mais parle de turpitude, expression suffisamment vague pour que la charia y voie aussi bien la fornication, l’adultère que le viol. Et à supposer que ce verset ne concernerait pas le viol, en serait-il pour autant acceptable ?! Cf. T 14.

 

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Critique par Hilaire de Crémiers de “La Preuve du Coran ou la fin de l’islam” :

Ce petit livre est parfait. Il est plein comme un œuf. Pas une phrase inutile. Ce n’est qu’un argumentaire. Il résume des années d’étude et mille raisons qui pourraient chacune être détaillée à l’infini. Il s’agit du Coran. Il n’en reste rien. Absolument rien.

L’abbé Guy Pagès qui a tout lu et tout étudié sur le sujet, comme Marie-Thérèse Urvoy, n’y va pas par quatre chemins. Il fait appel à l’esprit critique : les contradictions internes, la science historico-critique, l’analyse linguistique, l’étude sémiologique, la simple critique du texte en lui-même, enfin le bon sens, tout converge, sourates après sourates, pour réduire ce texte à une élaboration humaine, sans auteur véritable, contradictoire, mise au service de pouvoirs successifs qui utilisèrent la religion comme moyen de puissance et de gouvernement. Ce travail est libérateur. À l’heure où on veut enfermer le monde musulman sur lui-même et alors que les autorités religieuses, politiques et sociales qui prétendent le régenter, savent pertinemment que le Coran ne saurait résister à la moindre critique scientifique. Question de survie ! À quoi sert le prétendu œcuménisme ? Où est le respect de la liberté humaine ? L’obscurantisme est à l’origine d’un tel texte : il ne faut pas s’étonner des conséquences. Les hommes et les femmes qui sont « soumis » à un tel diktat méritent d’être délivrés. Toute la question est de savoir le faire. C’est le vrai travail de demain. Source

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 Critique par Anne Laurent :

« Le Coran lui-même proclame qu’il est moubîn, c’est-à-dire clair, mais si on le regarde de près on remarque qu’une phrase sur cinq, ou à peu près, n’a tout simplement pas de sens », écrit le savant allemand Gerd-Rüdiger Puin, auteur d’une étude sur des manuscrits coraniques du VIIIème siècle découverts à Sanaa (Yémen) en 1972.

Pour un Livre réputé « inimitable » et confessé comme « incréé » par les musulmans cela a de quoi surprendre.

Mais Puin a raison : la lecture du Coran présente une incroyable difficulté tant il contient d’invraisemblances, d’incohérences et de contradictions, sans oublier les emprunts à des croyances païennes, à des hérésies chrétiennes, au judaïsme et à des langues non arabes.

Conscient du problème, animé d’une intention apologétique et motivé par une démarche missionnaire, l’abbé Pagès s’est lancé dans un examen détaillé du texte, articulant sa démonstration autour de 125 points.

Une évidence saute aux yeux : l’islam ne s’accorde ni avec l’histoire ni avec la raison.

L’auteur a eu la bonne idée de réfuter les versets « tolérants » mis en avant par les musulmans soucieux de lever le scepticisme de leurs interlocuteurs.

La conclusion s’impose alors : le Coran ne peut émaner de Dieu.

[ Article paru dans L’Homme nouveau, n° 1741 – 28 août 2021 et republié par ” La faute a rousseau ” le lundi 6 septembre 2021 )