Un appel de notre valeureux ami Georges Colleter :

Bonjour,

Merci. Tout à fait d’accord pour des prières afin d’endiguer les ravages de l’Islam, permettre à Dieu d’ouvrir le cœur des musulmans à la grâce, et soutenir le travail d’évangélisation des prêtres et des laïques.

Mais il revient pareillement à chacun d’agir pratiquement. Je propose à chacun de faire ce que j’ai fait dans le domaine juridique, et que j’expose ci-dessous.

Sachant que les musulmans sont conditionnés dès la prime enfance (voir le livre récent de Wafa Sultan : L’islam, fabrique de déséquilibrés), il faut leur enseigner les vraies origines de l’islam et les bases du Coran (voir P.J. 1).

Quant « on cause de l’Islam » … après avoir lu le Coran (plusieurs traductions … si besoin) et l’Histoire de l’Islam (relatée par les musulmans d’une part et celle relatée et expliquée par des non-musulmans et des scientifiques de toutes disciplines d’autre part …, de nombreux arguments, y compris récents, sont à disposition pour défendre le christianisme. (Le devoir de chacun est de se créer ou de se procurer des moyens de vie sans nuire à quiconque – « un sac vide ne tient pas debout » -, et de se défendre contre toutes agressions envers soi ou surtout envers sa famille dont essentiellement les enfants, il me semble …). 

L’avancée de l’islamisation de notre société, et la « fabrication » en conséquence de combattants pour l’islam, ne peut pas nous laisser indifférents (Cf. Histoire, prêches de Erdogan sur le territoire français, etc …). 

« La laïcité » proclamée dans notre République … pourquoi pas ? Le Royaume de Dieu n’est pas de ce monde, mais Dieu appelle ce monde à L’accueillir pour que Son Règne s’établisse “sur terre comme au Ciel”, c’est à dire : librement, par la conversion des intelligences à la Vérité (Cf. Jn 14.6) et des volontés à l’Amour (Jn 13.34), qui suppose la Justice (Mt 5.6,10). Cf. Note sur l’incompatibilité de l’islam avec nos principes civilisationnels.

Exemple d’actions ponctuelles que je propose :

– Porter plainte pour les menaces de mort contenues dans le Coran envers tous les « non-musulmans » (Voir ma note précédente), Plaintes qu’ont reçues nombre de médias, presse, TV, politiques, administrations à qui je les ai adressées, mais dont je n’ai reçu aucune réponse… Pas davantage d’enregistrement de mes plaintes par la « La Justice ». Aucune réponse ou réaction de qui que ce soit (sauf de islam-et-verite.com !). Vous avez dit « bizarre » ?  Il s’agit là d’un effet caractéristique de cette peur généralisée et soumission qu’impose aux esprits incultes ou lâches l’islam, idéologie totalitaire cherchant à s’imposer par tous moyens. Elle avance chez nous masquée derrière le paravent de « religion » tel que nous concevons le christianisme. Mais c’est là méconnaître gravement et le christianisme et l’islam que de croire pouvoir les amalgamer. Si l’un dit “Aimez vous les uns les autres comme Je vous ai aimés. (Jn 13.34)”, et commande même : “Aimez vos ennemis. (Mt 5.44)”, l’autre vocifère : “Entre nous et vous, c’est l’inimitié et la haine à jamais jusqu’à ce que vous croyez en Allah, seul ! (Coran 60.4)“… Quelle alliance entre la lumière et les ténèbres ?

Je vous exhorte donc chers compatriotes à porter plainte contre l’impression et la diffusion du Coran et des textes musulmans appelant à la haine des non-musulmans, au mépris de la femme, au refus de la liberté religieuse, de conscience et d’expression. Je vous en prie, vous qui me lisez, ne restez pas sans rien faire si vous ne voulez pas demain que vos enfants soient de nouveaux pieux serviteurs d’Allah, prêts à tuer pour lui plaire, car “Allah aime ceux qui vont jusqu’à tuer pour lui. (Coran 61.4)“…

– Je n’ose pas croire que je serais le seul Français à déposer plainte pour menaces de mort dans le Coran envers les « non-croyants » de cette idéologie mortifère, et à demander l’application du Code Pénal,

– Je n’ose pas croire que des chrétiens qui doivent être “de bons soldats du Christ Jésus (2 Tm 2.3)” pourraient ne pas s’opposer à leur islamisation programmée… 

– Je n’ose pas croire que certains imaginent que prier les soustrait au devoir d’agir. La devise de saint Benoît n’est-elle pas : “Prie et travaille” ? Sainte Jeanne d’Arc et  Saint-Louis, et tant d’autres, ont-ils regarder passer les trains ?

Voici pour ma part ce que j’ai déjà fait et que je vous demande de faire à votre tour :

– Je vous donne également ma note sur Le Coran et le Code pénal, menaces de mort envers les non-croyants, qui explique sans contestation possible les éléments de cette plainte,

Merci par avance et excusez mon ton un tantinet « agacé » (https://ripostelaique.com/pourquoi-migrants-et-pas-envahisseurs-musulmans.html, qui ne l’est pas davantage que celui du Père Henri Boulad : https://www.youtube.com/watch?v=atPttuTnyMo&feature=youtu.be .

Cordialement.

Georges Colléter

(75 ans, retraité de l’agriculture et de l’industrie lourde à marche continue, – créateur et animateur d’associations durant plus de 50 ans. Pour me contacter : [email protected]).

Le CORAN : 

voir ici, en particulier le n°69, mais aussi là

Le CODE PÉNAL :

En rapprochant les ordres du Coran de notre Code Pénal, Art. 222-17, 18, 18.1, 221 …, compléments Art. a-221-5§6°, Art. R 625-7, Art 411-4, (ou encore la loi de 1881, Art. 23, 24, …, ou celle du 1er juillet 1972, …), on comprend que le Coran et ses enseignements, auprès des enfants, des jeunes et adultes dans toutes les écoles coraniques, ou « musulmanes » et dans toutes les mosquées en France, devraient être interdits par nos lois.

Par exemple, voici des extraits du Code Pénal, les Art. 222-17, 18, 18.1, commentés par application au Coran :

· « Article 222-17 – (Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 – art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002) : « La menace de commettre un crime ou un délit contre les personnes dont la tentative est punissable est punie de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende lorsqu’elle est, soit réitérée, soit matérialisée par un écrit, une image ou tout autre objet. La peine est portée à trois ans d’emprisonnement et à 45 000 euros d’amende s’il s’agit d’une menace de mort. »

· « Article 222-18 – (Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 – art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002) : « La menace, par quelque moyen que ce soit, de commettre un crime ou un délit contre les personnes, est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende, lorsqu’elle est faite avec l’ordre de remplir une condition. La peine est portée à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 euros d’amende s’il s’agit d’une menace de mort. »

Note : Cette « menace de commettre un crime ou un délit …, soit matérialisée par un écrit … » est bien écrite dans le Coran. Cette « menace, par quelque moyen que ce soit, de commettre un crime ou un délit contre les personnes …, est faite avec l’ordre de remplir une condition ». Cette condition est aussi exprimée dans le Coran : la condition est d’être « non-musulman », soit toutes les autres personnes : infidèles, non croyants, athées, agnostiques, transgresseurs, effaceurs, négateurs, hypocrites, impies, « ceux qui font la guerre à Dieu et à son prophète » S5-v33 ; (« guerre » : armée, orale, écrite – dont caricatures, blasphèmes, critiques -, de comportement ou de nourriture …).

· Article 222-18-1 : « Lorsqu’elles sont commises à raison de l’appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, de la victime à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, les menaces prévues au premier alinéa de l’article 222-17 sont punies de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 Euros d’amende, celles prévues au second alinéa de cet article et au premier alinéa de l’article 222-18 sont punies de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 Euros d’amende, et celles prévues au second alinéa de l’article 222-18 sont punies de sept ans d’emprisonnement et de 100 000 Euros d’amende. Les mêmes peines sont encourues lorsque ces menaces sont proférées à raison de l’orientation sexuelle vraie ou supposée de la victime. »

Note : Ces menaces, dans le Coran, sont commises en raison d’une « non-appartenance … à une  religion déterminée … », ici l’Islam qui revendique ce titre de « religion ».

Pour rappel :