• La première vidéo est une remarquable conférence de M. Bruno Riondel, docteur en Histoire. Il a notamment publié “L’effroyable vérité. Communisme, un siècle de tragédies et de complicités”
    “Le tribunal de Nuremberg, en 1946, fut encore fidèle à cette définition en considérant dans l’acte d’accusation dressé à l’encontre des nazis que “les accusés se sont rendus coupables de génocide délibéré et systématique, c’est-à-dire, des groupes nationaux et raciaux, contre les populations civiles de certains territoires occupés, en vue de détruire des races et des classes déterminées, et des groupes nationaux, raciaux ou religieux, plus spécialement des Juifs, des Polonais, des Tziganes et d’autres encore”. Mais, en 1948, la convention sur la répression du génocide élaborée par l’ONU supprima la cause d’appartenance à une classe comme motif d’extermination génocidaire, à la demande des Soviétiques, institutionnalisant dès lors, mondialement, ce déni mémoriel. Le fait que la définition restreinte du génocide donnée par une puissance criminelle soit devenue la norme morale en la matière constitue un scandale éthique inacceptable aux yeux du praticien objectif du travail mémoriel qui ne peut que retenir la première définition donnée par Lemkin, s’il se refuse – sans pour autant écarter les spécificités de chacun des deux drames – à hiérarchiser entre l’Holodomor et la Shoah qui ont en commun de caractériser l’horreur absolue. (Page 683)”

 

  • La deuxième vidéo est l’entretien avec Elise Blaise sur TVLibertés de la généticienne Alexandra Henrion-Caude, généticienne,  spécialiste de l’ARN et ancienne directrice de recherche à l’INSERM, qui a fondé l’Institut Simplissima, entretien aussitôt censuré par YouTube. Elle répond à nombre de questions que nous nous posons : Que sait-on du covid-19 ? Quel est l’état de la situation en France ? Pourquoi les tests PCR ne sont-ils pas fiables ? Pourquoi ne peut-on affirmer que nous sommes dans une « deuxième vague » ? Quels sont les dangers des vaccins ARN ? Elle nous apporte un éclairage édifiant sur la gestion de la crise sanitaire et une compréhension plus large de ce que l’on sait de ce coronavirus.

 

  • La troisième vidéo vous montre sans l’ombre d’un doute possible que le Covid est FRANCHEMENT moins mortel que la grippe, et que nous sommes donc pris pour des c.  qu’on conduits à l’abattoir.

 

Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour le prendre contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez … (Pr Denis Rancourt)

Voici un tableau complet des vaccins signalant par un triangle rouge ceux élaborés à partir de lignées cellulaires issues d’embryons humains avortés …

Il faut lire la publication en 2014 par l’historien Johann Chapoutot du texte « Éradiquer le typhus : imaginaire médical et discours sanitaire nazi dans le gouvernement général de Pologne (1939-1944) » qu’a retrouvée Ariane Bilheran. Elle rappelle que ce qui a justifié la persécution puis l’éradication des Juifs fut ni plus ni moins une idéologie sanitaire … 

Cf. Appel à la désobéissance civile face à la criminelle arnaque du covid !

Le complot en vue d’un nouvel ordre mondial sans le Christ

Le cardinal Sandoval Iñiguez dénonce le nouvel ordre mondial et le vaccin anti-COVID-19   

(traduction par Jeanne Smits)

Très chers amis, ce sera long. Cette pandémie ne sera pas terminée dans un mois ou deux : peut-être toute cette année, peut-être encore trois, quatre, cinq ou six ans… ce que ces messieurs voudront. Ce sera long. C’est une situation dure et difficile, telle qu’on n’en a jamais vu dans l’histoire de l’humanité.

Et celui qui menace est un certain Bill Gates, que vous connaissez tous, car il est prophète et il prédit l’avenir ; et tout comme il a prédit cette pandémie du coronavirus, il a aussi déjà affirmé qu’une attaque de variole pourrait survenir, cette maladie que l’on croyait vaincue, éradiquée.

Mais il s’avère – « par hasard », « normalement » – que dans un laboratoire d’Atlanta, dont Bill Gates est un bienfaiteur et un parrain, il y a une souche de variole. Alors, soyons également préparés à cette nouvelle pandémie, cette nouvelle menace.

La question est de savoir ce que ces messieurs ont l’intention de faire. Ce sont des gens très haut placés quant au pouvoir, dans la finance, ils sont très haut placés et très cachés, même si nous connaissons maintenant le nom de plusieurs d’entre eux : qu’ont-ils donc en tête ?

Ils ont créé ce virus et maintenant celui-ci attaque beaucoup plus de nations sur la terre. Quelles sont leurs intentions ? Ils veulent un gouvernement mondial ; pour arriver à un nouvel ordre qui est vanté depuis quelques années déjà. Le nouvel ordre, c’est-à-dire un gouvernement mondial unique, où il n’y a qu’un seul gouvernement, bien sûr, une armée, une monnaie, une économie et aussi une seule religion, qui ne sera certainement pas la religion chrétienne : ils la combattront. Ce sera la religion de la terre, de la terre mère, la religion de l’homme, de l’humanité, de la fraternité universelle.

Et à quoi servent ces pandémies ? Elles affaiblissent les nations, elles les affaiblissent et les appauvrissent. Elles les endettent beaucoup plus, ce qui fait que l’économie se dégrade. Elles affaiblissent et suppriment l’éducation par les écoles fermées, l’enseignement à distance, les très longues périodes de vacances.

On empêche la pratique religieuse, comme cela s’est vu pendant toute l’année qui vient de s’écouler, on ferme les temples, on réduit le nombre de personnes. On empêche les réunions, etc., etc.

Mais surtout, on suscite la peur, une peur terrible dans la population, et une peur qui est néfaste, car cette peur rend les gens malades. Les médecins le savent, qu’ils le disent : la peur inhibe les défenses, et comme on dit, elle annihile le système immunitaire de l’organisme. Nous ne devons pas vivre dans la peur.

Ils veulent réduire la population, parce qu’ils disent que nous sommes nombreux, qu’il y a sept milliards et demi de personnes sur terre, qu’elles sont nombreuses, que la terre ne peut pas les nourrir, et que nous devons en éliminer quelque 5 ou 6 milliards, pour qu’il ne reste plus qu’eux, bien sûr.

Et la question est de savoir : vont-ils réussir? Réussiront-ils ? Il se peut qu’ils y arrivent temporairement ; il se peut que oui, temporairement.

Par exemple, la lutte des États-Unis en ce moment n’est pas entre Biden et Trump, ce sont deux personnes humaines qui passent ; elles viennent et puis s’en vont. En ce moment, la lutte se déroule entre ceux qui veulent l’ordre mondial, c’est-à-dire les « globocrates », et les nationalistes qui veulent l’indépendance de cette grande nation que sont les États-Unis, et cela ferait beaucoup de bien si elle était indépendante pour influencer les autres nations, afin qu’elles soient elles aussi indépendantes.

Mais il y a sûrement beaucoup de gens aux États-Unis qui soutiennent le nouvel ordre. Et dans d’autres pays du monde, aussi, de nombreux dirigeants sont en faveur du nouvel ordre, et aussi au milieu de la guerre entre les bureaucrates, les dirigeants, les ploutocrates, il doit y avoir des gens en faveur du nouvel ordre qui parfois se cachent et dissimulent leur visage. Que cela se sache.

Il se peut qu’ils parviennent temporairement à mettre en œuvre ce nouvel ordre. Et je dis cela aussi parce que dans la Révélation divine, l’Ancien et le Nouveau Testament, il y a des paroles mystérieuses qui commencent à s’accomplir maintenant. Des mots mystérieux ; par exemple : « entre dans ta chambre ; ferme tes portes sur toi, et cache-toi pour un moment » ; c’est dans Isaïe, chapitre 26, 20.

La puce qu’ils ont l’intention de mettre dans le vaccin pour vous garder sous contrôle est la marque de la bête, comme il est dit dans l’Apocalypse, chapitre 13 : celui qui n’a pas la marque de la bête dans sa main ou sur son front, ne peut ni acheter ni vendre. En d’autres termes, ils le paralyseront.

Notre Jésus-Christ a parlé d’une grande tribulation, d’une période difficile dans laquelle, d’une manière ou d’une autre, Il viendra, et Il se demandait : quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la Terre ? Y aura-t-il encore la foi sur la Terre ? En d’autres termes, c’est comme s’il était question d’une grande défection par rapport à la foi en Jésus-Christ.

Et pourtant, dit le Seigneur, ces jours seront raccourcis, raccourcis à cause des élus, afin que les élus ne soient pas perdus, ne fassent pas défection.

En d’autres termes, il y a des mots mystérieux dans l’Écriture Sainte. Toute la littérature apocalyptique est remplie de ces choses mystérieuses, que l’on ne prend pas au sérieux ou que l’on ne comprend pas jusqu’à ce qu’elles soient advenues, ou qu’elles sont en train de se produire comme c’est le cas actuellement.

Mais j’ai dit, oui, j’ai dit que temporairement le nouvel ordre peut gagner – le nouvel ordre peut venir dans le monde, je ne l’exclus pas – mais définitivement, ce ne sont pas eux qui gagneront. Le Christ notre Dieu va gagner définitivement, Il a déjà gagné définitivement.

Il y a une parole très forte quand le Seigneur se réfère à l’Église, une parole très forte du Seigneur, mystérieuse mais forte, où Il dit, en parlant de son Église : les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle, les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle.

Si tout ce complot mondial des partisans du nouvel ordre est anti-chrétien, pensez-vous qu’il triomphera ? Non, il ne va pas triompher – celui qui va triompher est le Christ notre Seigneur, qui est en outre avec nous, car il nous a quittés en disant : « Je serai avec vous pour toujours, jusqu’à la fin du monde. »

C’est le Seigneur ! Il se rend compte de ce qui se passe, Il regarde du haut du ciel et Il se rit des plans des hommes. Il peut les briser d’un seul souffle, Il peut très facilement les briser et changer les choses d’une autre manière.

Chers frères, chers frères, ils nous tiennent enfermés, effrayés, paralysés, afin qu’il soit plus facile de nous gouverner et de faire de la terre entière un immense troupeau, où quelques bergers, depuis des places très élevées, très cachés, très en sécurité, nous dictent ce que nous devons faire et comment nous devons vivre. Mais bien plus haut qu’eux, bien plus puissant qu’eux, se trouve Notre Seigneur Jésus-Christ, Roi immortel des siècles, qui porte sur ses épaules la marque du pouvoir et de la royauté ; Roi des rois, Seigneur des seigneurs.

Ne vivons pas dans la peur, nous qui croyons en Dieu, nous qui croyons en Jésus-Christ. Notre destin, ô Seigneur, est entre vos mains. Et vous nous délivrerez, selon votre immense miséricorde et votre immense bonté.

Que la Sainte Vierge nous protège, en particulier la Vierge de Guadalupe qui s’est engagée auprès de nous lorsqu’elle est venue à l’aube de l’évangélisation : « Tu n’as rien à craindre, ne suis-je pas là, moi, qui suis ta Mère ? N’es-tu pas dans mon giron ? »

Ayons donc confiance, nous qui croyons, et vivons avec Dieu, et sans craindre les hommes.

Et que Dieu Tout-Puissant, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, vous bénisse, amen.

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SANITAS CORPORUM SUPREMA LEX

Considérations sur la promotion du vaccin par le Saint-Siège

Mgr Viganò commente la promotion du vaccin anti-COVID par le pape François

Il y a quelques jours, une interview a été diffusée sur Canale5 dans laquelle Jorge Mario Bergoglio apparaissait dans un rôle inhabituel : celui de « sponsor » des entreprises pharmaceutiques. Nous l’avions déjà vu dans le rôle du politicien, du syndicaliste, du promoteur de l’immigration incontrôlée, du partisan de l’accueil des immigrés clandestins et du philanthrope. A travers toutes ces métamorphoses, ce qui a toujours été mis en évidence, outre sa capacité à se soustraire totalement à son rôle institutionnel, c’est le caractère polyédrique de l’Argentin, qui, nous le découvrons aujourd’hui, est également le promoteur des entreprises pharmaceutiques, un partisan convaincu des vaccins et un zélé supporter de ceux qui, depuis un an désormais, utilisent le COVID comme moyen de contrôler les masses et d’imposer la Grande Réinitialisation – le Great Reset – souhaitée par le Forum économique mondial.

Le fait que le vaccin n’offre aucune garantie d’efficacité, mais qu’il peut au contraire entraîner de graves effets secondaires ; le fait que dans certains cas, il a été produit à partir de cellules provenant de fœtus avortés, et qu’il est donc absolument inconciliable avec la morale catholique ; le fait que les traitements à base de plasma hyperimmune ou les protocoles alternatifs sont boycottés malgré la preuve de leur efficacité – tout cela ne signifie pas grand-chose aux yeux de ce nouvel « expert » qui, sur la base d’une compétence médicale totalement nulle, recommande maintenant le vaccin aux fidèles tout en utilisant son autorité souveraine pour exiger des citoyens du Vatican qu’ils se soumettent à un traitement douteux au nom d’un « devoir éthique » non défini. La morne salle d’audience Paul VI a été choisie de manière emblématique comme temple pour accueillir ce nouveau rite sanitaire, célébré par les ministres de la religion COVID afin d’assurer, non pas le salut des âmes, mais plutôt l’illusoire promesse de la santé pour le corps.

Il est troublant de constater qu’après avoir démoli sans scrupule un grand nombre de vérités catholiques au nom du dialogue avec les hérétiques et les idolâtres, le seul dogme auquel Bergoglio n’est pas prêt à renoncer est celui de la vaccination obligatoire – un dogme, qui plus est, défini par lui unilatéralement sans aucun processus synodal ! – un dogme devant lequel on s’attendrait au moins à un minimum de prudence, dictée sinon par la cohérence morale, du moins par le scrupule utilitaire. Car tôt ou tard, quand on verra les effets du vaccin sur la population, quand on commencera à compter les décès qu’il aura causés et combien de personnes auront été mutilées à vie par un médicament encore en cours d’expérimentation, on pourra demander des comptes à ceux qui ont été les partisans convaincus du vaccin.

Le moment venu, on dressera tout naturellement une liste de ceux qui, en vertu de l’autorité qui leur est reconnue, auront décidé leurs sujets sans méfiance à se présenter pour être inoculés par le prétendu vaccin : les experts autoproclamés, les virologues et immunologues en conflit d’intérêts, les moustiquologues à la solde de Big Pharma, les vétérinaires aux ambitions scientifiques, les journalistes et les faiseurs d’opinion financés par le gouvernement, les stars de cinéma et les chanteurs populaires en disgrâce – liste à laquelle il faut désormais ajouter Bergoglio en tant que soutien d’exception, tout comme les prélats de son entourage. Et si aujourd’hui l’absence de compétence spécifique ne semble pas être un argument suffisant pour les amener à garder au moins un silence prudent, à ce moment-là leurs protestations du type « Je ne savais pas… » ; « Je ne me suis jamais imaginé… » ; « Ce n’était pas mon domaine de connaissance… » seront jugées uniquement comme un facteur aggravant de leur délit, comme il se doit. Stultum est dicere putabam [Il est insensé de dire « je pensais »].

Bien sûr, dans l’église bergoglienne, le concubinage de facto peut être légitimé par Amoris Lætitia, au point qu’Avvenire parle aujourd’hui de la « parentalité LGBT » avec l’aisance d’un pamphlet de propagande sur le genre ; un rite idolâtre d’adoration de la Terre Mère peut être célébré dans Saint-Pierre, clin d’œil à l’environnementalisme malthusien ; la matière du sacrement des Ordres sacrés peut être modifiée, en conférant des ministères aux femmes ; la peine de mort peut être déclarée immorale tout en gardant le silence sur l’avortement ; la communion peut être administrée aux pécheurs publics, tout en la refusant à ceux qui souhaitent la recevoir sur la langue afin de ne pas commettre de sacrilège ; et l’accès aux salles de classe peut être refusé aux élèves des écoles catholiques qui ne sont pas vaccinés, comme cela s’est déjà produit en Irlande. Et pourtant, ces falsifications flagrantes de la doctrine catholique – en parfaite continuité idéologique avec la révolution conciliaire – s’accompagnent de la profession de foi ferme et inébranlable en une « science » qui frise l’ésotérisme et la superstition. Cela dit, quand on cesse de croire en Dieu, on peut croire n’importe quoi.

Ainsi, si pour Bergoglio l’appartenance à l’unique Église du Christ par le baptême est en définitive superflue quant au salut éternel d’une âme, le rite initiatique du vaccin est proclamé ex cathedra comme indispensable à la santé physique de l’individu, et à ce titre il est présenté comme étant inéluctable et nécessaire. S’il est possible de mettre de côté la vérité révélée au nom de l’œcuménisme et du dialogue inter-religieux, il n’est pas non plus licite de remettre en cause les dogmes du COVID, la révélation faite par les médias à propos de la pandémie, et le sacrement salvateur du vaccin. Et si avec Fratelli Tutti on peut promouvoir la fraternité universelle en dehors de la foi dans le Dieu unique, vivant et vrai, aucun contact n’est permis avec les prétendus « négateurs » – une nouvelle catégorie de pécheurs à éviter – qui doivent être punis comme hérétiques par l’inquisition sanitaire et l’excommunication médiatique, afin de servir d’exemple au troupeau. « Si quelqu’un vient à vous et n’apporte pas cette doctrine, ne le recevez pas dans votre maison, et ne le saluez pas », prévient saint Jean (2 Jn 10). Bergoglio a dû mal comprendre, et c’est pourquoi il salue et embrasse les avorteurs et les criminels, mais il ne se laisse pas contaminer en s’approchant des « anti-vax ».

 

Il ne nous échappe pas que ce dogmatisme scientifique – qui scandaliserait les plus ardents défenseurs de la primauté de la science par rapport à la religion – est propagé par ceux qui ne sont pas des scientifiques, depuis les « influenceurs » jusqu’à Bergoglio, depuis les athlètes jusqu’à Biden, depuis les « experts » jusqu’aux politiciens : tous impatients de tendre leur bras au vaccin devant les caméras de télévision, mais pour qu’on découvre ensuite à travers les vidéos que dans de nombreux cas, l’aiguille de la seringue est encore recouverte par le capuchon, ou que le liquide d’inoculation est clair alors que le sérum vaccinant devrait en fait être opaque. Ce sont évidemment des objections que les grands prêtres du COVID rejettent avec dédain : le mysterium fait partie de la ritualisation de l’acte sacré, tout comme le sacramentum accomplit ce qu’il signifie ; administrer le vaccin avec une aiguille rétractable ou sans pousser le piston de la seringue sert à dramatiser le message qui doit être transmis à la masse des croyants. Et les victimes du rite, celles qui pour le bien de tous s’offrent avec docilité au mirage d’une immunité que même Pfizer, Moderna ou Astra Zeneca n’osent garantir, représentent le sacrificium, qui fait aussi partie de la nouvelle religion de la santé. A y regarder de plus près, les bébés innocents avortés au troisième mois de la grossesse pour produire des vaccins semblent vraiment former une sorte de sacrifice humain pour la propitiation des puissances infernales, dans une parodie terrifiante que seuls les méchants peuvent faire semblant de ne pas voir.

Dans ce grotesque délire cérémoniel, il ne manque pas même la Note de la Sacrée Congrégation pour le Culte divin, qui, au mépris total de l’absurde, promulgue au moyen d’un latin boiteux des instructions sur la façon d’imposer les Cendres Sacrées (il n’est pas surprenant que le latin lui aussi soit parti en fumée) : « Deinde sacerdos abstergit manus ac personam ad protegendas nares et os induit » [Ensuite, le prêtre se lave les mains et met le masque pour protéger son nez et sa bouche]. La purification des mains avec du détergent et l’utilisation d’un masque sont scientifiquement inutiles mais symboliquement nécessaires pour la transmission de la foi exprimée par le rite. Et c’est précisément en cela que nous comprenons combien est vrai et valable l’ancien adage de Prosper d’Aquitaine : « Lex orandi, lex credendi », selon lequel la manière de prier reflète ce que l’on croit.

Il se trouvera bien quelqu’un pour objecter, dans une pieuse tentative d’éviter l’effondrement total du pontificat exercé par Bergoglio, que les opinions exprimées par celui-ci sont et restent précisément des opinions, et qu’il n’y a donc aucune obligation pour le catholique de se soumettre à un vaccin dont l’immoralité est attestée par sa conscience et par la morale naturelle. Mais le nouveau « magistère papal » a été rendu explicite sur Canale5, tout comme il l’a été dans l’avion où le dogme LGBT « Qui suis-je pour juger » a été défini, et tout comme il l’a été dans une note de bas de page d’Amoris Lætitia où l’indissolubilité du mariage a été niée au nom de la pratique pastorale. Les hommes politiques diffusent des tweets sur les réseaux sociaux, les soi-disant experts pontifient dans les studios de télévision et les prélats prêchent dans les interviews : ne soyez pas surpris si un jour Bergoglio apparaît dans un spot publicitaire pour vanter les mérites des scooters électriques.

Les catholiques, éclairés par le sensus fidei qui leur signale instinctivement ce qui heurte la Foi et la Morale, ont déjà compris que le rôle de vendeur de fournitures médicales n’est qu’un des nombreux rôles joués par le polyédrique Bergoglio. Le seul rôle qu’il s’obstine à ne pas vouloir remplir – en raison de son incapacité flagrante, de son impatience naturelle, ou même par son choix délibéré dès le début – est celui de Vicaire du Christ. Ce qui, à tout le moins, révèle quels sont les points de repère de l’Argentin, l’idéologie qui l’inspire, les objectifs qu’il se fixe et les moyens qu’il entend utiliser pour les atteindre.

+ Carlo Maria Viganò, archevêque
14 janvier 2021
S. Hilarii Episcopi, Confessoris Ecclesiæ Doctoris

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