“Je n’ai aucun sentiment à l’égard de l’islam. Je m’en fous radicalement. Tant qu’il reste dans “ses” terres.
Mais chez moi, dans ma patrie, dans mon pays, je n’en veux pas.
Un point c’est tout.
Je suis islamo-négatif. Je nie le droit de l’islam à prospérer en France.
Je nie que l’islam soit une religion.
C’est un totalitarisme comme l’indique son nom qui signifie “soumission” et, comme tel, il est du devoir de tout homme libre de s’y opposer de toutes ses forces et par tous les moyens légaux.
Je nie que l’islam ait rien de commun avec la civilisation européenne et encore moins avec la civilisation française.
Il lui est en tout point étranger.
Par son caractère, ses croyances, ses rites, ses observances, ses mœurs.
Je nie que l’islam ait jamais rien apporté à la France. Aucun chef-d’œuvre littéraire, musical, architectural, pictural ou sculptural.
Rien. Pas un écrivain n’a publié “Le génie de l’islam”. Nulle mosquée ne s’élève comparable à Chartres.
On attend encore un Francis Poulenc musulman.
On chercherait en vain, et pour cause, un réel désastre islamiste.
Je nie que l’islam appartienne au patrimoine de la France. Il n’a rien laissé, rien créé, rien fait pour la France.
Aucune œuvre d’art, on l’a vu.
Aucune œuvre de charité non plus. Pas un hôpital, pas un hospice, pas un orphelinat, pas une association caritative.
Où sont les “petits frères des pauvres” qui appliqueraient en France ce “quatrième piller de l’islam”: la zakkat (En français: l’aumône que l’on traduit abusivement par la Charité) ?
Jamais la France n’a été aussi gravement malade.
Infecté par le sida de la “collaboration”, cette maladie auto-immune qui détruit toutes les défenses naturelles de la civilisation française, notre pays est devenu islamo-positif.
Sa survie est désormais entre les seules mains des islamo-résistants.
« En avant ! » 

Maitre COLLARD

 Au cours des trente années à venir, il y aura suffisamment d’électeurs musulmans en notre pays pour installer un gouvernement de leur choix, avec l’application de la charia en guise de loi.

Il m’apparaît que tous les citoyens de ce pays devraient pouvoir prendre connaissance de ces lignes, mais avec le système de justice et de médias libéraux combinés à la mode démente du politiquement correct, il n’y a aucune chance que ce texte soit largement publié.

C’est pourquoi je vous demande de le diffuser à tous les contacts de votre internet.

 Gilbert COLLARD