Voici quelques jours (09.05.2020), un professeur à l’Institut technique d’Ostende, en Belgique, attire l’attention de la police sur l’un de ses élèves qui posait sur une photo en uniforme et armé d’une mitraillette. La police enquête et trouve dans le portable du jeune homme la vidéo d’un viol collectif datant du mois de novembre: avec cinq autres jeunes gens, il a abusé d’une jeune fille rendue pratiquement inconsciente par l’alcool – et ils se sont filmés en train de le faire, tout en riant, dansant et chantant en arabe.

C’est déjà monstrueux. Mais le pire est qu’appréhendés par les forces de l’ordre, ils tous, sauf un, reconnu le viol, tout en se montrant extrêmement désagréables avec les enquêteurs, considérant, précise La Libre Belgique, “qu’un viol collectif était une chose tout à fait normale par ailleurs dans le monde”. L’un d’eux a même poussé l’abjection jusqu’à déclarer que la victime ne devrait pas se plaindre “parce que les femmes ont seulement besoin d’écouter les hommes”.

Précisons que, sur ces six barbares, deux sont de nationalité belge et cinq sont Irakiens (dont deux sont demandeurs d’asile). Allons-nous enfin comprendre qu’il y a de sérieuses différences, notamment en matière de respect de la femme, entre notre civilisation chrétienne et la civilisation islamique? Le bourgmestre socialiste d’Ostende, Johan Vande Lanotte (photo ci-dessus), commente, avec un sens consommé de l’euphémisme: “Certains nouveaux arrivants ont une image de la femme qui est problématique.” (N’allons tout de même pas jusqu’à dire que cette “image de la femme” vient du coran, tout comme le vrai féminisme occidental vient du christianisme, et notamment de la vénération de la Vierge Marie!) Reste à savoir combien de temps les politiciens vont rester, les bras ballants, devant ce “léger problème”… (Source)

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Kamel Daoud demande que l’accueil des immigrés ne soit pas qu’une procédure administrative, quitte « à partager, à imposer, à défendre, à faire comprendre » des valeurs.

« Le sexe est la plus grande misère dans le “monde d’Allah”. A tel point qu’il a donné naissance à ce porno-islamisme dont font discours les prêcheurs islamistes pour recruter leurs “fidèles” : descriptions d’un paradis plus proche du bordel que de la récompense pour gens pieux, fantasme des vierges pour les kamikazes, chasse aux corps dans les espaces publics, puritanisme des dictatures, voile et burqa. »

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Par la suite, dans le New York Times, Kamel Daoud ajoutait :

« Aujourd’hui, avec les derniers flux d’immigrés du Moyen-Orient et d’Afrique, le rapport pathologique que certains pays du monde arabe entretiennent avec la femme fait irruption en Europe. Ce qui avait été le spectacle dépaysant de terres lointaines prend les allures d’une confrontation culturelle sur le sol même de l’Occident. Une différence autrefois désamorcée par la distance et une impression de supériorité est devenue une menace immédiate. Le grand public en Occident découvre, dans la peur et l’agitation, que dans le monde musulman le sexe est malade. »

Les réactions à ses propos ont été nombreuses. En Algérie, les islamistes ont émis des « fatwas » contre lui, tandis qu’en France, 19 intellectuels ont signé dans « Le Monde » une tribune qui l’accuse de prononcer des discours  » racistes triviaux » et même d’être «islamophobe». Suite à ces pressions, Daoud a décidé d’abandonner le journalisme. Non à cause du harcèlement islamiste mais plutôt de la nouvelle dictature du politiquement correct. « Je ne suis pas islamophobe, je dis que la religion devrait être un choix, non une imposition. Cependant, la France est un pays avec beaucoup de tabous et maintenant j’en subi les conséquences « . Pour conclure, cet intellectuel français-algérien, élu meilleur journaliste de l’année, envoie un message à la nouvelle culture européenne: «Je suis à l’aise parce que je ne suis pas un provocateur, je ne suis qu’un homme libre qui veut exprimer son opinion, et cela n’est plus possible « .

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Suède – Le Conseil suédois pour la prévention du crime (Brå) signale que 7.200 viols ont été déclarés à la police au cours de l’année 2017, soit une moyenne d’environ 20 viols par jour.

Ces chiffres montrent une augmentation substantielle de 10% par rapport à 2016, soit 667 viols supplémentaires de plus qu’en 2016. Dans le même temps, ce sont toutes les formes de délits à caractère sexuel qui sont en augmentation.

La ville de Stockholm, capitale suédoise, est particulièrement touchée par cette recrudescence des viols avec une augmentation de 29% par rapport à l’an dernier. Si on compare à 1996, l’augmentation grimpe à 400%. Mais peu d’observateurs politiques osent faire le lien avec l’entrée croissante d’immigrés en Suède durant cette même période.

 

une suédoise violée

Traduction du texte précédent : “« Voici comment a été retrouvé le corps d’une Suédoise violée et assassinée. Bien que les immigrants soient en général surreprésentés dans les affaires de viols et d’autres crimes, la situation en Suède est encore pire. Ce pays détient le triste record d’être après le Lesotho (Afrique), le pays où ont lieu le plus de viol.
Comme en Norvège, au Danemark, et dans d’autres pays européens, la plupart de ces viols sont commis par des immigrants, des réfugiés, et des demandeurs d’asile.
Mais en Suède [comme ailleurs…], les autorités ont soigneusement occulté l’origine ethnique des auteurs des viols. Dans le cauchemar socialiste, il y est totalement hors de question d’évoquer cette réalité. »

Cette vidéo a été supprimée par Youtube le 03.03.2019