Voici un verset du Coran qui constitue une arme de destruction massive de l’islam : « Allah dit : Ô Issa(Jésus) ! […] Je t’élèverai, toi et ceux qui t’ont suivi, au-dessus des incrédules, jusqu’au jour de la Résurrection. Alors se fera votre retour vers moi et je châtierai d’un châtiment douloureux les incrédules (Coran 3.55) ». Ce verset affirme sans équivoque possible que seront sauvés ceux qui suivent Jésus, non ceux qui suivent Mahomet. Et ce, non jusqu’à l’avènement de l’islam, comme certains musulmans cherchent à s’en persuader, mais « jusqu’au jour de la Résurrection ». Et parce que les chrétiens n’ont jamais cessé de croire et de dire que seul Jésus sauve, ce que ne croient pas les musulmans, ceux-ci ne peuvent donc pas dire qu’ils suivent aussi Jésus. Qu’Allah lui-même compte ici les musulmans au nombre des incrédules et des damnés témoigne de l’origine nazaréenne de l’islam. En effet, les judéo-nazaréens, à la différence des musulmans, ne mettaient pas leur confiance en Mahomet… mais en Jésus, « capable de sauver de façon définitive ceux qui par Lui s’avancent vers Dieu, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur (He 7.25) ». Le Coran primitif reconnaît lui aussi que Jésus est au Ciel (Coran 3.45 ; 4.158), où Il peut donc introduire ceux qui Le suivent, ce que Mahomet, pécheur (Coran 40.55 ; 45.19), et attendant d’être jugé (Coran 46.9), ne peut certes pas faire. Ce verset est un écho déformé de l’Évangile en lequel Jésus annoncé aux Apôtres et par eux à tous les chrétiens : « Je vous le dis en vérité, lorsqu’au Jour de la Résurrection le Fils de l’homme siégera sur Son trône de gloire, vous qui M’avez suivi, vous siégerez aussi sur douze trônes, et vous jugerez les douze tribus d’Israël (Mt 19.28 ; Ap 3.21 ; 12.5) ». Les musulmans en Enfer ne se maudiront-ils pas d’avoir méprisé ce verset du Coran les condamnant de ne pas suivre Jésus (Coran 3.55 ; 56.14) ?

 

Je suis LE chemin, La Vérité et La Vie. Nul ne va au Père QUE par Moi. (Jn 14.6)”