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Il n’y a rien à ajouter à ce qu’a dit JC, la Vérité en personne (Jn 14.6). Après l’Ascension de Notre Seigneur on ne peut qu’expliciter, approfondir le contenu de la Révélation qu’Il a portée à son achèvement parfait et donc définitif. Mais l’Evangile est d’une telle richesse et les hommes sont si superficiels, distraits, que Dieu, en Sa grande bonté, daigne susciter aujourd’hui encore des prophètes, comme Il le faisait dans l’Ancienne Alliance avec le peuple juif, pour raviver la foi et l’espérance de son peuple, et nous rappeler l’Evangile.

Sr Josepha Ménendez, qui vécut au début du siècle dernier à Poitiers doit certainement être comptée au nombre d’eux… Elle reçut la mission de faire entendre à nouveau l’appel du Cœur de Jésus à accueillir Son amour.
Cf. : Œuvre du Sacré-Cœur, 9 rue des Feuillants 86035 POITIERS Cedex ;
www.oeuvre-du-sacre-coeur.be

« Je suis l’Amour ! Mon cœur ne peut plus contenir la Flamme qui Le dévore ! J’aime à tel point les âmes que J’ai donné Ma vie pour elles.

Pour leur amour, J’ai voulu resté emprisonné dans le tabernacle. Depuis vingt siècles, Je demeure là, nuit et jour, voilé sous les apparences du pain et caché dans l’Hostie, supportant, par amour, l’oubli, la solitude, les mépris, les blasphèmes, les outrages, les sacrilèges…

Pour l’amour des âmes, J’ai voulu leur laisser le Sacrement de Pénitence, afin de leur pardonner, non pas une fois ou deux, mais aussi souvent qu’elles auront besoin de recouvrer la grâce. Là, Je les attends… là, Je désire qu’elles viennent se laver de leurs fautes, non avec de l’eau, mais dans Mon propre sang.

Au cours des siècles, J’ai révélé, de différentes façons Mon amour pour les hommes : Je leur ai montré combien le désir de leur salut Me consume. Je leur ai fait connaître mon Cœur. Je veux maintenant quelque chose de plus, car si Je demande l’amour pour répondre à celui qui Me consume, ce n’est pas le seul retour que Je désire des âmes : Je désire qu’elles croient à Ma miséricorde, qu’elles attendent tout de Ma bonté, qu’elles ne doutent jamais de Mon pardon.

Je suis Dieu, mais Dieu d’Amour ! Je suis Père, mais un Père qui aime avec tendresse et non avec sévérité. Mon cœur est infiniment saint, mais aussi infiniment sage et, connaissant la misère et la fragilité humaines, Il s’incline vers les pauvres pécheurs avec une miséricorde infinie.

J’aime les âmes après qu’elles ont commis leur premier péché, si elles viennent Me demander humblement pardon… Je les aime encore, quand elles ont pleuré leur second péché et, si cela se répète, Je ne dis pas un milliard de fois, mais des millions de milliards de fois, Je les aime et leur pardonne toujours, et Je lave, dans le même Sang, le dernier comme le premier péché !

Je ne Me lasse pas des âmes et Mon cœur attend sans cesse qu’elles viennent se réfugier en Lui, et cela d’autant plus qu’elles sont plus misérables ! Un père n’a t-il pas plus de soin de l’enfant malade que de ceux qui se portent bien ?

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Le texte du livre “Un appel à l’amour” (Cliquez sur les liens ci-dessous)

1-_L’Election divine_1890-1920
2-_A l’ombre des Vieux Feuillants
3-_A_l’Ecole_du Coeur de Jesus
4-_Les Entreprises de l’Amour
5-_La grande épreuve
6-_Le triomphe de l’Amour
7-_LIVRE 2- La préface du Message
8-_Le carême de 1923
9-_Marmoutier-2
10-_L’Appel au monde
11-_L’ombre de la Croix
12-_Rome 13- In finem dilexit

Le site de “Un appel à l’amour”

 

Neuvaine pour la France

 

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