Jamais la question du rapport bénéfice-risque n’est posée lorsque l’on évoque la vaccination des mineurs.

Jamais les drames directement liés à la vaccination d’enfants ne sont relayés par les grands médias.

Le journaliste indépendant Armel Joubert des Ouches est parti à la rencontre de proches de victimes et de professionnels de santé.

Ils témoignent face caméra, pour que nous ne puissions pas dire : « Nous ne savions pas ».

Le documentaire Pas nos enfants vous aide à discerner et à faire le bon choix pour vos enfants.

Aller sur son site : https://www.pasnosenfants.fr/

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En faisant produire la protéine Spike par les cellules, vacciner revient à inoculer la maladie

Je ne suis ni médecin ni biologiste, mais je suis scientifique, docteure en physique, professeure universitaire à la retraite. Depuis le début de la pandémie, j’ai consacré tout mon temps libre à lire des articles et visionner des vidéos, pour essayer de comprendre cette “crise”.

Préambule :

Un article récent a été particulièrement éclairant, celui du Dr Jean François Lesgards sur la toxicité de la protéine spike. Cet article est très clair, précis, bien documenté, mais peut-être un peu trop long et détaillé pour le profane. Il exprime des doutes et des réserves par rapport aux vaccins, mais de façon mesurée, ainsi qu’il sied à un article scientifique. Afin de diffuser plus largement les messages très importants qu’il apporte, j’ai éprouvé le besoin de le rendre plus accessible aux non spécialistes et d’en exprimer les conclusions de manière plus directe. Je n’ai donc pas donné de références afin de ne pas surcharger le texte.

Ceux qui le souhaitent, peuvent lire directement l’article et puiser dans la bibliographie très riche sur laquelle il est basé.

Dans le but d’éviter de déformer les données scientifiques, j’ai souvent reproduit des portions de phrases de l’article du Dr Lesgards ; j’espère qu’il ne m’en tiendra pas rigueur.
Remarque préliminaire : le titre de cet article peut sembler, au premier abord, provocant et excessif. Mais, à la fin de l’exposé des faits, le lecteur verra qu’il est simplement réaliste, et qu’il est temps d’ouvrir les yeux…

Introduction

Un peu moins de deux ans après l’apparition de la maladie covid-19 due au coronavirus SARS-Cov-2, et neuf mois après le début de la vaccination de masse contre cette maladie, des chercheurs scientifiques et des médecins ont réalisé un très grand nombre d’études et de recherches sur la maladie, et enregistré d’innombrables témoignages sur les effets indésirables des vaccins anti-covid (incluant des décès).

On peut donc dire que les symptômes de la maladie et les mécanismes d’action du virus sont à présent connus, de même que la mortalité due à la maladie dans la plupart des pays. On commence également à connaître de mieux en mieux les effets indésirables des vaccins et leur importance dans la population vaccinée.

L’évolution des connaissances sur le covid-19 est bien illustrée par cet événement survenu au tout début de la pandémie : un groupe de courageux médecins italiens a osé braver l’interdiction par l’OMS de faire des autopsies sur les morts du covid-19 ; grâce à eux, on a pu se rendre compte que le covid-19, considéré jusque-là comme un syndrome respiratoire, devenait en fait, dans sa forme grave, une pathologie vasculaire. Ce qui a amené les médecins à prescrire corticoïdes et anticoagulants.

Ce qui est frappant actuellement, c’est d’une part, la grande similitude entre les symptômes de la maladie et les effets indésirables des vaccins géniques, et d’autre part, le fait qu’un grand nombre de vaccinés se retrouvent malades du covid-19, parfois sous des formes graves allant jusqu’à la mort.

On peut, dans un premier temps, en conclure que ces vaccins sont inefficaces et dangereux ; mais nous allons essayer d’aller plus loin en étudiant les mécanismes biologiques pouvant expliquer la toxicité des vaccins géniques.

1. Mécanisme de fonctionnement de la protéine spike de surface du virus SARS-Cov-2

Un virus n’est pas autonome ; pour survivre, il doit détourner la machinerie cellulaire des cellules qu’il infecte, pour fabriquer ses protéines et se multiplier. Le SARS-Cov-2 peut s’ancrer sur une cellule humaine grâce à sa protéine de surface spike (de pointe, en anglais), qui se relie à son récepteur ACE2 (Angiotensin-converting enzyme2) situé à la surface de la cellule. Le virus peut alors pénétrer dans la cellule où il va se répliquer avant d’envahir d’autres cellules.

Or, ce récepteur ACE2 a des fonctions très importantes pour la santé : il aide à réguler la pression sanguine et surtout à lutter contre l’inflammation. Dans une cellule infectée par le virus, l’ACE2 est mobilisé par la protéine spike et ne peut plus jouer son rôle anti-inflammatoire qui, en situation normale, compense l’effet inflammatoire d’un autre récepteur de la cellule, l’ACE. Ce déséquilibre ACE/ACE2 induit une hyper-inflammation qui peut conduire au fameux « orage de cytokines », à la pneumonie et au syndrome de détresse respiratoire aiguë potentiel (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.

La toxicité de cette interaction spike/ACE2 est décuplée par le fait que ces récepteurs ACE2 sont présents un peu partout dans l’organisme : pharynx, trachée, poumons, sang, cœur, vaisseaux, intestins, cerveau, organes génitaux, reins, et aussi dans les liquides organiques (mucus, salive, urine, liquide céphalo-rachidien, sperme et lait maternel). L’inflammation qui caractérise la maladie peut donc atteindre de nombreux organes, ce qui explique la grande diversité des symptômes du covid-19 : en plus des troubles respiratoires, les patients peuvent présenter des dysfonctionnements neurologiques, cardiovasculaires, hépatiques, intestinaux et rénaux.

2. Toxicité de la protéine spike seule

Des études ont montré que la protéine spike seule, non associée au reste du génome viral, est suffisante pour provoquer les dommages cardiovasculaires associés au covid-19 (péricardites, myocardites, etc.) et pour induire une perte d’intégrité de la barrière hémato-encéphalique, d’où la possibilité d’inflammation dans le cerveau et dans ses vaisseaux.
La protéine spike est aussi exprimée sur les cellules endothéliales, elle peut activer les plaquettes sanguines et activer la coagulation, ce qui conduit à des thromboses (en libérant du facteur plaquettaire 4 ou PF4).

Cette toxicité de la protéine spike seule était déjà connue pour le SARS-Cov-1, il y a plus de dix ans !

En conclusion, deux propriétés très importantes de la protéine spike s’imposent :

• Les effets pathogènes du virus SARS-Cov-2 sont dus essentiellement à l’activité de sa protéine spike de surface.
• Cette protéine garde la même affinité pour le récepteur ACE2, qu’elle soit associée au virus SARS-Cov-2 ou seule, ce qui la rend capable de déclencher, seule, les mêmes processus inflammatoires, et ce dans tous les organes et les tissus où existent ces récepteurs.

Et c’est justement cette même protéine spike que les vaccins géniques (à ARNm et à ADN) font produire en grande quantité (incontrôlée) dans l’organisme du vacciné !

3. Vaccins anti-covid-19

Dans les vaccins classiques, on injecte directement l’antigène qui est, soit le virus entier inactivé (Sinovac, Valneva), soit la protéine spike inactivée (Novavax). Le corps va alors produire des anticorps contre le virus et, ensuite, les protéines, injectées en quantité définie, sont éliminées.

Dans les nouveaux vaccins “géniques”, on injecte soit directement (Pfizer, Moderna), soit par l’intermédiaire d’un autre virus à ADN (Sputnik, Astrazeneca, Johnson & Johnson), la partie de l’ARN du SARS-Cov-2 qui va amener les cellules humaines à fabriquer la protéine spike.

Remarquons qu’on ne sait pas précisément quelles cellules vont le faire, et que produire la protéine spike n’est pas leur fonction normale ! De nombreux risques sont liés à ces injections géniques :

• Risque d’insertion de l’ADN, que l’on injecte dans les cellules humaines, dans les chromosomes de ces cellules, ce qui peut provoquer des événements graves (réveils de cancers, ou d’autres maladies).
• Risque de recombinaison virale entre le matériel génétique vaccinal et le matériel génétique d’un autre virus présent dans les mêmes cellules, générant ainsi de nouveaux virus qui peuvent se révéler plus virulents que le premier.
• Risque de facilitation par les anticorps (ADE en anglais).
• Risque de production de nouveaux variants, parce que l’on vaccine en pleine épidémie.
• Risques liés aux adjuvants : nanolipides utilisés par Pfizer et Moderna pour encapsuler l’ARNm, qui n’ont jamais été utilisés auparavant, ni en injection, ni par voie orale ; adjuvants allergisants comme le PEG ou le P80. Remarquons que ces naonolipides sont aussi connus pour entraîner des problèmes de coagulation.

Mais nous allons nous intéresser plus particulièrement aux risques liés aux protéines spike produites par les cellules des personnes vaccinées.

4. Rôle de la protéine spike dans les effets indésirables des vaccins

Des études sur l’infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 avaient montré que les vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes, et en particulier dans le poumon et le foie. D’autres études ont montré qu’il était très difficile de vacciner contre les coronavirus.

Ces résultats n’ont pas découragé les concepteurs et les fabricants de vaccins contre le covid-19, qui se sont lancés dans la fabrication “à la va vite” de ces produits, jamais encore utilisés sur les humains, pour ensuite les expérimenter à grande échelle sur les populations.

Les fabricants des vaccins actuels contre le covid-19 avaient émis l’hypothèse que la protéine spike produite resterait principalement dans le site de l’injection vaccinale, au niveau du muscle de l’épaule. Mais une étude japonaise sur la biodistribution a montré que la protéine spike pénètre dans le sang où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, pour s’accumuler ensuite dans les organes et les tissus (cerveau, foie, ovaires, etc.)

On injecte donc, sous le nom rassurant de “vaccin”, un produit dangereux qui va faire fabriquer par les cellules du corps, une protéine hautement toxique, ayant exactement les mêmes effets inflammatoires que dans le covid-19. Cette production se fait de façon incontrôlée et on ne sait pas pendant combien de temps cette protéine toxique est produite et demeure présente dans la circulation sanguine et dans les cellules des organes.

Il n’est donc pas étonnant que l’on provoque les mêmes symptômes que ceux du covid-19, mais aussi potentiellement toutes les maladies inflammatoires à moyen et long terme (cardiovasculaires, neurologiques, cancers, auto-immunes, neurodégénératives), en particulier chez les sujets qui ont déjà un terrain inflammatoire (diabète par exemple) ou des antécédents.

On assiste, en ce moment, à une flambée de cas covid-19, souvent graves, et d’effets indésirables extrêmement diversifiés et parfois inattendus (AVC, péricardites, myocardites, microthromboses généralisées, avec des taux élevés de D-dimères, maladies de peau, zonas, cécité, recrudescence de cancers, etc.) La liste de ces effets est très longue ! Et c’est dans les pays à plus fort taux de vaccination (Israël, Singapour, Seychelles) que les nombres de cas graves et de décès sont les plus élevés.

De plus, avec la deuxième, la troisième, la Nième injection, c’est à chaque fois un nouveau boost de protéine spike qui est produit alors même que les anticorps et l’organisme sont en train de travailler à l’élimination de cette protéine. Cela revient à jeter de l’huile sur le feu !

Les nouveaux vaccins géniques contre le covid-19 ont réussi l’exploit de faire fabriquer par les cellules des personnes vaccinées la protéine responsable des effets pathogènes dans la maladie ; ce qui revient à dire, en quelque sorte, que les vaccins inoculent le vecteur de la maladie ! Et, à chaque nouvelle dose injectée, on relance le processus ! Il est donc évident que ces injections ne sont en rien des vaccins !

Rappelons la définition légale d’un vaccin : “toute substance destinée à être administrée à un être humain pour la prévention d’une ou plusieurs maladies”. Un vaccin est destiné à protéger contre une maladie à forte mortalité, pour laquelle il n’existe aucun traitement efficace. Mais il ne peut être mis sur le marché que si l’on a prouvé son efficacité et son innocuité. Dans le cas du covid-19, aucune de ces trois conditions n’est remplie !

Concluons par ces mots du professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine : “Au nom du principe de précaution, il faut arrêter immédiatement toutes les vaccinations anti-covid-19 utilisant la protéine spike.”

Et de Robert Malone, pionnier des vaccins ARNm: “Je déclare que la protéine native spike est toxique”.

Annexe : Le libre consentement, obstacle à l’obligation vaccinale

Légalement, une obligation vaccinale ne peut s’appliquer qu’à une vaccination réalisée avec un vaccin ayant reçu une AMM définitive. Dans le cas du covid-19, les vaccins géniques utilisent des procédés inédits qui ont reçu une AMM conditionnelle ; le fabricant s’est engagé à fournir au client les résultats de l’essai principal qui se poursuit pendant deux ans. Il s’agit donc bien d’un essai. En d’autres termes, les autorités sanitaires ont autorisé une expérimentation vaccinale à grande échelle, inédite dans l’histoire de l’humanité. Les modalités en sont résumées dans le calendrier des rapports européens publics d’évaluation.

Or, le droit interne et le droit international ont construit la notion de consentement du sujet comme garde-fou pour empêcher toute dérive. Ce qui constitue un obstacle à l’obligation vaccinale !

Pacte international sur les droits civils et politiques, adopté par l’assemblée générale des Nations Unies en décembre 1966 : “Il est interdit de soumettre une personne sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique”.

Déclaration d’Helsinki en juin 1964 : “La participation de personnes capables à une recherche médicale doit être un acte volontaire”.

Jamila Buret, pour FranceSoir