Loué soit Jésus-Christ, l’amour incarné, Sa paix soit avec vous !

Accorder aux unions homosexuelles la dignité d’union conjugale, est une aberration, pour plusieurs raisons :
la première tient à l’impossibilité objective de faire fructifier le mariage par la transmission de la vie alors que
pourtant apparaît bien être tel le projet de Dieu, puisqu’il est inscrit dans la structure même de notre être.
La deuxième raison tient à l’absence des présupposés physiques et psychologiques complémentaires : absence
qui empêche évidemment une réelle union, laquelle implique une différence, l’altérité.

Si Dieu a créé l’être humain homme ET femme, ce n’est pas par hasard : c’est parce que la différence sexuelle est
la condition même de l’accomplissement de l’amour. Ni l’homme ni la femme ne sont, à eux seuls, l’humanité.
L’homme n’accède à la plénitude de l’humanité qu’en accueillant par l’amour, au point de pouvoir ainsi ne faire qu’un
avec elle, l’autre partie de l’humanité, qui est son épouse. Et de même la femme ne peut jouir de la totalité de
l’humanité, atteindre à cette perfection humaine, qu’en accueillant la part d’humanité qui lui manque, la masculinité
que va lui donner son mari. L’amour conjugal n’est pas la rencontre corporelle de deux êtres, mais une relation
interpersonnelle profonde qui trouve son accomplissement, son couronnement, par le don total de soi, réciproque,
et la participation, la coopération, à l’œuvre de Dieu Créateur, ultime source de toute nouvelle existence humaine.

Plusieurs voudraient donner une justification aux unions homosexuelles en faisant valoir la liberté, prérogative de
l’être humain ; mais la liberté ne doit pas être le voile pour recouvrir notre malice : la liberté n’est pas le pouvoir de
faire n’importe quoi. La liberté est le pouvoir de faire, par un choix personnel, et donc de façon responsable, la
volonté de Dieu. Car la volonté de Dieu est précisément que nous soyons libres, car Il est Lui-même la liberté.
Dieu en effet, ne dépend de personne pour être ce qu’il est, Il ne dépend que de Lui. Il est donc la liberté même,
infinie, absolue. Et Dieu nous a créés pour que, en accomplissant Sa volonté, nous devenions libres de la liberté même
de Dieu.

C’est donc une folie que de s’opposer à la volonté de Dieu, comme le fait l’homosexualité pratiquée, revendiquée,
qui est une insulte à Dieu – comme si je pouvais savoir mieux que Lui, ce qui est bon pour moi. Aussi, en me coupant
de Dieu, en rejetant la volonté de Dieu, qui est de m’accepter tel que je suis, afin de pouvoir en me donnant, me
trouver, dans la plénitude et la perfection de l’humanité, et ainsi jouir du bonheur que Dieu me donne en étant uni à
Sa volonté. En rejetant Dieu, je ne puis pas espérer jouir de Ses bienfaits et de Ses bénédictions : je me perds moi-même,
je me maudis. Et c’est pourquoi dans le chapitre 19 de la Genèse, nous voyons que tel est le sort des habitants de Sodome
et Gomorrhe qui ont été détruits par le feu du Ciel.

L’homosexualité est une révolte contre le Créateur et contre soi-même, que l’on refuse d’être dans sa plénitude, dans
sa perfection, dans sa communion avec Dieu, par la communion avec l’autre qui représente pour moi Dieu. Saint Paul,
dans l’épître aux Romains au chapitre 1, versets 24 à 27, nous parle de cette révolte qui est à la base du péché
d’homosexualité. Aussi, Dieu a-t-Il livré les hommes selon les convoitises de leur coeur, à une impureté où ils avilissent
eux-mêmes leur propre corps, eux qui ont échangé la vérité de Dieu contre le mensonge, adoré et servi la créature de
préférence au Créateur qui est béni éternellement.

Aussi Dieu les a-t-Il livrés à des passions avilissantes ; les hommes ne sont plus des hommes et les femmes ne sont plus
des femmes ; mais que sont-ils alors ? Car leurs femmes ont échangé les rapports naturels pour des rapports contre nature ;
pareillement, les hommes, délaissant l’usage naturel de la femme, ont brûlé de désir les uns pour les autres, perpétrant
l’infamie d’homme à homme et recevant en leur personne l’inévitable salaire de leur égarement.

Qui peut nier la relation que l’on peut établir entre certaine maladie bien connue aujourd’hui et l’homosexualité, ne serait-ce
que au niveau de la transmission de celle-ci ? Ce péché est si grave que Saint-Paul confirme le jugement de la Genèse, en
disant que les homosexuels pratiquants n’hériteront pas du Royaume des Cieux. C’est dans la première épître aux Corinthiens
au chapitre 6, versets 9 à 10 :
“Ne savez-vous pas que les pécheurs n’héritent point du Royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : ni impudique, ni idolâtre,
ni adultère, ni dépravé, ni homosexuel, ni voleur, ni cupide, pas plus qu’ivrogne, insulteur ou avare n’hériteront du Royaume
de Dieu. Et cela, vous l’étiez bien quelques-uns, mais vous êtes lavés, vous avez été sanctifiés, vous avez
été justifiés par le nom du Seigneur Jésus-Christ et par l’Esprit de notre Dieu.”

Oui, Dieu S’est incarné, Il a assumé notre nature humaine afin de la laver dans Son sang et de faire de notre corps le temple de Son Esprit. Accueillons l’autre, accueillons Dieu dans notre vie et alors nous serons vraiment des hommes et
des femmes dignes de ce nom.

Une association pour aider ceux qui le souhaitent à sortir de l’homosexualité : Torrents de vie !

Et une autre pour aider à se défendre contre les attaques LGBT :
le Collectif Catholique de Soutien aux Personnes Victimes du Lobby LGBT !
Contact : [email protected]