Selon l’anthropologue sénégalais Tidiane N’Diaye, les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption.

Comment les noirs africains et les Amazighens peuvent-ils être si fiers d’afficher leur appartenance à l’islam et qui se veulent de surcroît plus arabes que les arabes eux-mêmes, comme un esclave s’identifiant à son maître tout heureux de porter les chaînes de leur état d’asservissement éternel ?

Ces êtres formatés, lobotomisés, dépouillés de leur âme, endoctrinés et en proie à l’obscurantisme se rendent pas compte qu’en procédant de la sorte ils absolvent de leurs crimes les négriers et génocidaires arabo-musulmans pour lesquels ils ne leur ont jamais demandé pardon et dont eux mêmes portent encore les séquelles et qui sont la cause première des maux qui les gangrènent et les tourmentent et qui sont autant de freins à leur développement humain et économique.

Les noirs ne savent pas que l’islam avait érigé l’esclavagisme en une monstrueuse institution mercantile pendant 14 siècles qui serait toujours en vigueur dans certains pays musulmans ni le Coran qui autorise explicitement la traite négrière et la prise d’esclaves comme butin ou rétribution.

Ce noir tant méprisé et discriminé par les arabes du Golf persique et d’Arabie qu’ils appellent Abid, esclaves. Même le grand Ibn Khaldoun y était aussi de sa tirade anti-noire. L’éminent historien médiéval et philosophe social musulman, écrivait : « Les nations nègres sont en règle générale dociles à l’esclavage, parce qu’ils sont des attributs tout à fait voisins à ceux d’animaux stupides. »

Des dizaines de millions de leurs aïeux vendus comme un vulgaire bétail, castrés, massacrés, humiliés, les traitant comme des animaux sauvages, troqués en Inde comme contre les épices.

Une vérité occultée sur laquelle l’islam a mis une véritable chape de plomb au point qu’il a réussi miraculeusement à apparaître comme le grand ami des noirs contrairement au christianisme auquel l’islam a fait porter le chapeau de la traite négrière.

Et comme le rappelle Sami Aldeeb en rapportant les propos éclairants de vérité de Tidiane N’DIAYE (musulman) dans son livre « Le Génocide voilé ».

Les Arabes ont réussi de façon stupéfiante à tromper, désinformer, déformer et fausser à la fois la réalité et l’histoire sur une période de près de 14 siècles.

Ce qu’il y a de plus particulièrement tragique, c’est que la plupart des descendants d’esclaves, les Noirs des Amériques dans le monde, et les Noirs d’Afrique descendants d’esclaves, ignorent tout de la vérité.

Avant que la concentration de nos auditeurs ne s’émousse, nous voudrons porter l’affirmation suivante et l’étayer ensuite:

La pire, la plus inhumaine, la plus diabolique institution de la traite négrière fut initiée, définie, perpétrée et mise en œuvre par les arabo-musulmans, aidés par la suite par les noirs convertis à l’Islam.

‘Les Arabes ont razzié l’Afrique subsaharienne pendant treize siècles sans interruption. La plupart des millions d’hommes qu’ils ont déportés ont presque tous disparu du fait des traitements inhumains. Cette douloureuse page de l’histoire des peuples noirs n’est apparemment pas définitivement refermée. La traite négrière a commencé lorsque l’émir et général arabe Abdallah ben Saïd a imposé aux Soudanais un ‘Bakht‘ (accord), conclu en 652, les obligeant à livrer annuellement des centaines d’esclaves. La majorité de ces hommes était prélevée sur les populations du Darfour. Et ce fut le point de départ d’une énorme ponction humaine qui devait s’arrêter officiellement au début du XXe siècle. »

A croire que l’islam a l’art d’effacer de la mémoire humaine les traces de ses crimes. Peu de berbères ou Amazighens sont au fait de l’histoire douloureuse du génocide et de la déportation de leurs peuples durant les 4 premiers siècles de l’invasion arabo-musulmane.du massacre massif de leurs aïeux et de leur déportation dont le chiffre varie entre 300 000 à l 500 000 parmi des enfants en bas âge.

Napoléon disait que l’histoire est une succession de mensonges. Au lieu de démystifier l’islam et ses effets néfastes et dévastateurs sur leur culture millénaire, les Amazighens musulmans préfèrent l’affubler du masque de la paix et de la dignité humaine.

Ce n’est pas leur offense en disant q’un juif ne proclame jamais de son bourreau nazi. Le juif n’a pas entretenu une relation pathologique de maître à l’esclave. Le juif est un homme de devoir de mémoire, un homme conscient que la perte de son genre culturel signifie sa propre auto-destruction. Etant instruit de son histoire contrairement à l’africain et l’Amazigh qui sont des êtres sans âme, amnésiques, car incultes et analphabètes, il a pu préserver courageusement son identité contre vents et marées et traverser les houles millénaires des persécutions qui jalonnent sa longue histoire.

En ignorant leur vraie histoire jugée comme un sacrilège par leurs colonisateurs arabo-musulmans, ils bafouent la mémoire de leurs ancêtres. Ils se voilent la face de peur que le monde ne découvre qu’ils sont le vrai visage de l’infamie. Des êtres dépourvus de dignité humaine et de personnalité. Une identité altérée et niée ne peut contribuer à l’essor des populations noires et amazighens et leur permettre de se projeter dans la modernité.

Par Salem Ben Ammar

 

 

Esclaves au Maroc