L’usage du pass sanitaire se généralise dans le monde. Éric Verhaeghe, énarque et auteur du livre «Le Great Reset: mythes et réalités» (Éd. Culture & Racines), explique au micro de Rachel Marsden que c’est la première étape d’un projet de contrôle étatique mondialiste.
S’agissant d’un sujet en lien avec le Covid-19, Sputnik rappelle que l’OMS a mis à disposition une rubrique Questions-Réponses pour disposer d’informations en lien avec la pandémie : évolution du virus, port du masques, sécurité des vaccins : https://www.who.int/fr/emergencies/di…

Il est devenu évident que nous sommes confrontés
à un projet de contrôle social et politique de grande envergure,
non pas contingent mais systémique,
qui prolonge artificiellement l’urgence parce qu’elle lui est utile et fonctionnelle.

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Le pass sanitaire, temporaire ? Faites moi rire.

Et c’est donc à la surprise générale, complète et totale de tout le monde en France que le gouvernement a décidé (pas du tout autoritairement) de prolonger le pass sanitaire en étendant sa période d’utilisation jusqu’au mois de juillet 2022. Vraiment, quelle stupéfaction ! On ne s’y attendait absolument pas !

En effet, qui aurait pu imaginer que ce gouvernement finirait par imposer ce pass dans les activités quotidiennes alors que le Chef de l’État lui-même nous avait promis le contraire quelques mois avant ? Qui aurait pu imaginer un Olivier Véran faire ainsi volte-face complet après ses discours mielleux nous assurant que ce pass serait limité à la fois dans le temps et dans ses applications à la plus stricte nécessité ?

Vraiment, c’est complètement inouï et totalement inattendu : de la part d’un gouvernement jusqu’ici exemplaire, et de politiciens qui ont toujours su respecter leurs promesses avec une ponctualité et une régularité phénoménales, il est presque choquant de découvrir ainsi la prolongation inopinée de ce pass qui sépare les Français entre lépreux irrationnels et obéissants raisonnables auxquels il convient d’attribuer quelques menus privilèges.

En plus, distribués à la population soumise, ces pass/privilèges sont forts commodes tant ils sont, une fois ainsi numérisés, faciles à révoquer à chaque fois qu’on en aura besoin : l’épidémie repart ? Hop, on empêche en quelques minutes l’accès aux restaurants, aux cafés, aux boîtes de nuit. Il reste de gros stocks de vaccins à écouler ? Hop, on invalide le pass/privilège tant qu’une piqûre supplémentaire n’a pas été faite. Etc.

Et puis ensuite, le pass pourra facilement être relié, sous une forme ou une autre, à tout aspect de la vie sociale ou administrative que l’État et ses politiciens malins auront jugé indispensable d’encadrer fermement : un matin, le pass vous autorisera à dépenser votre argent comme vous l’entendez, un matin suivant, pouf, ce ne sera plus le cas parce que vous n’avez pas fait ce qu’il faut, parce que vous avez fait ce qu’il ne fallait pas ou parce que, collectivement et avec tous les individus de votre sexe, de votre âge ou de votre classe, l’État en aura ainsi décidé.

Ah, que c’est bon de voir ainsi se profiler ce Monde d’À Peu Près qui va devenir de moins en moins flou et de plus en plus dystopique !

Certains trouveront que j’exagère et je leur confirmerai qu’évidemment, tout ceci n’est qu’une simple fiction… Qui anticipe de quelques mois, de quelques années tout au plus ce qui est en train de se mettre en place directement sous le nez des cohortes :

  • de syndicats purement et simplement collaborateurs et complètement à la botte des politiciens, comme d’habitude incapables de protéger les droits fondamentaux de ceux qu’ils mentent représenter,
  • de naïfs qui refusent de croire qu’un gouvernement démocratique puisse imposer ceci à toute une population,
  • d’idiots utiles qui persistent à voir dans ce pass une formidable opportunité de brandir leur téléphone dernier-cri pour montrer à quel point ils savent ramper en ne laissant qu’une petite trace de bave,
  • d’industriels trop heureux de se remplir les poches avec ce capitalisme de connivence sans plus aucun frein ni aucune limite.

Eh non, le pass n’est pas temporaire et absolument tout sera fait pour qu’il perdure bien au-delà de ses enjeux sanitaires : il y a trop d’investissements industriels derrière pour qu’il soit mis au placard aussi vite.

J’en veux pour preuve l’explication directement fournie par certains de ces industriels qui entendent jouer un rôle actif, profond et évidemment très lucratif pour installer enfin ce pistage complet, permanent et universel des Français (et probablement de pas mal d’Occidentaux tant la tendance se met obstinément en place). L’exemple de Thales, groupe spécialisé notamment dans la sécurité et la défense, vient immédiatement à l’esprit d’autant que le groupe français ne se cache même pas de ses ambitions de voir un jour un tel pass multi-usages déployé partout : une traduction de leur marketing, disponible en ligne, donne l’image ci-dessous.

Cliquer pour agrandir. Cela vaut le clic !

Et c’est logique du reste : à partir du moment où le passeport vaccinal numérique européen était déjà dans les tuyaux depuis 2018, que la crise sanitaire du Covid19 n’a fait qu’accélérer (grandement) les efforts envisagés pour le déployer, il était logique que les acteurs qui, à la suite de la Commission en 2018, s’était déjà engagés dans des développements à ce sujet, profitent à présent de l’occasion pour pousser leurs petits projets lucratifs.

Il faut comprendre qu’en réalité, la prolongation du pass sanitaire et son extension à tous les domaines possibles n’a rien de surprenant, tant il s’inscrit dans un projet industriel qui recouvre à la fois le suivi médical complet des individus, leur identité numérique complète (avec un remplacement des passeports et des cartes d’identité par exemple), puis de leur portefeuille voire (ne soyons pas fou) leurs diplômes, leurs feuilles de paie, leurs documents essentiels qui définissent absolument toute leur vie familiale, professionnelle et sanitaire… Puis politique ?

L’avantage pour les industriels est absolument énorme puisque cela leur donnera accès à des marchés publics aussi gigantesques que juteux (on parle d’un demi-milliard d’individus juste pour l’Europe), sans parler même des retombées en termes d’analyse de données que cette numérisation forcenée va amener.

Et si c’est un trésor dodu pour les industriels, il va de soi que c’est une méthode de pistage et de contrôle absolument écrasante, terrifiante et ultime pour les États qui auront absolument toutes les peines du monde à ne pas céder aux sirènes alléchantes que les lobbyistes des industriels précités leur jetteront dans les bras.

Est-ce surprenant alors que l’histoire récente et passée fourmille d’exemple de telles collusions ouvertes et profondes ?

Est-ce inimaginable de voir se mettre en place de tels plans qui vont réduire les libertés des Européens à un vague souvenir sépia alors que la crise a déjà illustré quelques magnifiques exemples de collusions et de corruption profonde ? Par exemple, l’Union européenne ne s’est-elle pas ainsi fendue d’un milliard d’euros pour un remdesivir finalement nocif ?

Plus proche de nous, en France, il faut se souvenir du niveau de collusion entre État et entreprises privées bien introduites lorsqu’il s’est agi d’installer des portiques éco-taxe : le lobbying intense de certains industriels avait permis la mise en place, au frais du contribuable, de portiques qui allaient taxer d’abord les camions puis les voitures sur toutes les grandes routes de France… Les connivences étaient nombreuses et on pourra se reporter à un intéressant résumé ici.

Pour ce pass, nous sommes clairement dans le cas d’un problème créé de toutes pièces par l’État dont seul lui pourra apporter la solution, qui lui aura été soufflée de bout en bout par des industriels à l’éthique globale assez souple puisque la mise en coupe réglée de tout un peuple ne semble pas trop leur poser de souci.

On peut ainsi imaginer que les prochaines étapes, après cette prolongation du pass, incluront la découverte – ô surprise – que le pass est parfois contrefait, ou inefficace puisqu’on ne lui a pas adjoint l’identité réelle du porteur, et qu’il conviendra donc de rendre tout ceci biométrique (par exemple). La numérisation de l’identité sera une formalité.

Comme un cheptel de vaches et de moutons, nous sommes progressivement numérotés et pucés, avant la tonte et l’abattoir. Cependant, rappelez-vous : le projet des portiques « écotax » a finalement été abandonné et cet abandon n’a pas été demandé poliment.

Si l’on veut que le pass et ses avatars suivants disparaissent, il ne saura en être différemment.

Source

—————— Deuxième vidéo  : Who earns the world ? A voir ! ————————————

This brilliant documentary by Tim Gielen reveals how a small group of super rich criminals have been buying virtually everything on earth, until they own it all. From media, health care, travel, food industry, governments… That allows them to control the whole world. Because of this they are trying to impose the New World Order.

Bill Gates, Klaus Schwab, George Soros, …

Learn more here:
Https://www.stopworldcontrol.com

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Réflexion d’Alexandra Henrion Caude :

Généticienne de renommée internationale et ancienne directrice de recherche à l’Inserm, le docteur Alexandra Henrion-Caude est connue pour être à l’origine de la découverte de l’implication d’ARN non-codant dans certaines maladies génétiques. Elle appelle l’Église à regarder le transhumanisme non comme une réalité philosophique éloignée mais bien comme une évolution discrète en cours tant au niveau des lois dites de bioéthique que de la récente loi de gestion sanitaire, qui constituent les deux faces d’une même logique. Elle a bien voulu nous accorder un entretien sur la politique de gestion de la COVID-19 qu’elle insère dans le fil de relecture de sept passages de la Bible.

« Aucun prophète n’est bien reçu dans sa patrie. » (Luc 4, 24)

Si depuis de nombreuses années, nous avons pu jouir d’une grande liberté dans nos travaux de recherche et dans nos publications, nous sommes des dizaines de milliers de scientifiques et de médecins à subir une censure d’une ampleur inédite, sans que le grand public n’en ait du tout conscience. A titre d’exemple, une pétition qui, à ma connaissance, a su réunir le plus grand nombre de scientifiques/médecins de l’histoire de la médecine moderne, la Déclaration de « Great Barrington » du 4 octobre 2020, signée par plusieurs dizaines de milliers de scientifiques – issus des prestigieuses universités : Oxford, Stanford et Harvard, dont je suis une ancienne étudiante – est passée totalement inaperçue. Nous y dénoncions très tôt les mesures de gestion de la COVID prises par les pouvoirs publics comme étant de nature politique et non scientifique en recommandant une approche alternative à la gestion de la crise de la COVID-19. Depuis, chacun est affublé de divers qualificatifs les discréditant en dépit d’une carrière souvent bien longue : Michael Levitt, Satoshi Ōmura et Luc Montagnier, pour ne citer que trois prix Nobel respectivement israëlien, japonais et français.

La guérison du sourd-muet par Jésus (Marc 7, 31-37)

Soigner une maladie que l’on ne connaissait pas jusque-là est compliqué, nul ne le conteste, et ce n’est pas nouveau. Or, pour la première fois, des mesures inédites ont été prises – gestes barrières, emploi des masques, vaccination de populations entières – qui non seulement introduisent un nouveau rituel mais bouleversent également notre rapport au corps. Les mesures actuelles persistent à ne trouver aucun fondement consensuel sur le plan scientifique tout en contribuant à former les contours d’une télé-charité. Dans l’Evangile, des lépreux à la femme hémorroïsse, en passant par l’épisode de guérison du sourd-muet, dont Jésus va jusqu’à toucher la langue avec sa propre salive, n’avons-nous pas l’exemple touchant de soins répétés inscrits dans une incarnation très physique ?

Oser soigner le jour du Sabbat (Marc 3, 1-6)

Israël demeure très observant du respect du jour du Sabbat. Encore aujourd’hui, tout est arrêté ce jour-là. J’ai donc été très surprise que la campagne de vaccination s’y soit poursuivie y compris les jours de Sabbat. Tout comme en France, je reste étonnée et choquée de l’avoir vu lancé via le tournage de l’absence du consentement éclairé d’une femme âgée, un dimanche, le 27 décembre 2020 – soit le jour de la Sainte Famille.

« On sera divisé, père contre fils et fils contre père, etc. » (Luc 12, 53)

Le mensonge a envahi toute notre vie avec cette crise. On entend tout et son contraire. Ce virus est dangereux, et nous sommes tous d’accord sur le fait qu’il faille isoler les malades, les traiter, appliquer des gestes d’hygiène élémentaire comme se laver les mains avant de préparer les repas ou quand on sort des toilettes, comme cela s’est toujours fait. Mais la division porte sur le fait que la solution à la crise ne serait que « vaccinale » avec des injections qui restent pourtant en cours d’expérimentation. La fin des essais cliniques de Pfizer et de Moderna est prévue fin 2022-début 2023.

Ne bénéficiant d’aucun consensus scientifique, cette division s’est ainsi immiscée dans nos familles, dans l’Eglise, dans nos milieux professionnels. Là encore, je ne peux que m’étonner que ni la survenue de myocardites chez les jeunes, et notamment les enfants entre 12 et 15 ans, ni celle des troubles menstruels chez les jeunes filles actuellement étudiés du fait de leur ampleur par le NIH américain, ni celles de polyarthrite rhumatoïde, d’hypertension artérielle, voire de zonas, de réactivations de cancer, ou des rares cas mais répétés de syndromes de Guillain Barré, qui auraient habituellement conduit à suspendre les essais cliniques, n’interrompe pas la poursuite de la campagne de vaccination. En lieu et place du « tant pis, on continue », je pose donc la question : quel serait le chiffre suffisant d’accidents pour susciter une réaction ? La tolérance semble être sans limite… même celle de la femme enceinte, qui n’a pourtant bénéficié d’aucune étude clinique préalable par les laboratoires. En effet, il convient de rappeler que des populations entières ont été exclues des essais cliniques : femmes enceintes, personnes immunodéprimées, personnes très âgées… Le principe de précaution qui s’est donc appliqué à ce stade d’essais cliniques, a cessé d’être appliqué à la campagne de vaccination. L’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé) a d’ailleurs rapporté des effets indésirables tout à fait inédits conduisant parfois au décès de la femme enceinte ou des foetus, dès trois heures après l’injection, souvent une journée après. Normalement, en pareille circonstance, on arrête tout de suite la campagne de vaccination, s’agissant d’une thérapie dont on ignore les effets à long terme.
Les règlementations ont été extrêmement allégées, ce qui a permis de raccourcir de 24 à 6 mois le temps de remontée des effets indésirables graves. Ainsi, nous, scientifiques et médecins de neuf pays, avons interpellé l’Agence européenne du médicament pour recommander la conduite d’une étude de cancérogénicité comme cela se fait en général. Elle nous a répondu que cela retarderait trop la mise sur le marché des vaccins, et qu’ils comptaient sur l’injection de seulement 2 doses pour limiter la toxicité du ALC0159. Pourtant, on injecte aujourd’hui la troisième dose et on parle déjà de la quatrième.
La division dans nos familles entre ceux qui s’alarment de l’absence de consentement éclairé et s’offusquent de l’obligation vaccinale ou du chantage fait sur certaines catégories professionnelles, ne devrait surprendre personne.

« Dieu dit : ‘’Que la terre produise des êtres vivants selon leur espèce : bestiaux, bestioles, bêtes sauvages selon leur espèce’’ et Il en fut ainsi. » (Genèse, 1 -24)

Il existe actuellement deux catégories de vaccins proposés en France contre la COVID 19.

  • D’une part des vaccins OGM à adénovirus recombinés, souvent produits dans des lignées de fœtus ou d’embryons avortés comme chez Astrazeneca et Johnson & Johnson ;
  • D’autre part des injections géniques à ARN messager, comme Pfizer et Moderna, qui constituent le premier traitement transhumaniste de toute l’histoire et posent eux aussi un vrai problème éthique.

Les injections d’ARN messager sont contre-nature :

  • par leur codage génétique synthétique inédit (AYGC en lieu du AUGC, parfois AYUGC utilisés par le vivant)
  • et par leur insertion étrangère introduite -comme si c’était du soi- dans notre espèce, dans nos cellules. Contrairement à tous les vaccins, elles reposent donc sur un principe mensonger. L’organisme lui-même est trompé, n’étant pas capable de reconnaître un « vaccin » c’est-à-dire un corps étranger reconnu comme tel par nos cellules, où chacun reste selon son espèce. Au contraire, il conduit nos cellules à devenir chimériques au point de produire des protéines « Spike » (protéine du virus SARS-CoV2). A ce jour, personne n’a documenté l’impact que cela peut avoir sur notre santé à court, moyen et long terme puisque la durée de dégradation de ces ARN messagers synthétiques injectés reste non documentée, et la toxicité pour le foie des nanoparticules lipidiques peu partagée.

Dans le passage sur l’expulsion des marchands du Temple, nous voyons la colère de Notre-Seigneur (Jean 2, 14-16) du fait de l’introduction d’animaux (bœufs et brebis) dans le Temple, puis de la commercialisation qui y est faite. L’augmentation dans notre propre corps conférée par la production d’une protéine qui n’est pas de notre espèce répond parfaitement à la philosophie transhumaniste.

« J’en prends aujourd’hui à témoin contre vous le ciel et la terre : je te propose la vie ou la mort, la bénédiction ou la malédiction. Choisis donc la vie, pour que toi et ta postérité vous viviez. » (Dt 30, 19).

Les cellules rencontrées par les injections d’ARN messager ne sont pas seulement des cellules musculaires. On retrouve par exemple l’ARN « vaccinal » dans les cellules du cerveau, des ovaires et des testicules. Les troubles menstruels nous alertent tandis que les cas de remaniements testiculaires ou de raréfaction des spermatozoïdes post-COVID19, sans présence de virus, et donc probablement induits pas « Spike » devraient nous inquiéter. N’en ayant pas le recul suffisant, nous n’avons en effet aucune étude documentant l’absence d’effets sur la fertilité des jeunes gens injectés. Là encore, il ne faudrait pas que ces injections, si elles compromettaient la fertilité de certains, contribuent à l’essor d’un des axes du transhumanisme qui concerne l’externalisation de la reproduction.

Au fond, il me semble que la question principale, qui peut nous servir de boussole, demeure : « Que ferait le Christ s’il était humainement parmi nous ? ». Se serait-il camouflé le visage avec un masque dans le Temple ? Se serait-il tenu à distance des personnes malades ou saines ? Éloignerait-il les foules qui affluent tout près de lui ? Aurait-il fait en sorte que la femme qui perdait son sang ne puisse toucher son manteau ? N’aurait-il plus embrassé sa mère, de peur de la contaminer ? Aurait-il laissé des malades mourir seuls sans se révolter ? Ne se serait-il plus laissé baiser les pieds par la femme adultère ? N’aurait-il plus guéri ni le muet ni l’aveugle avec sa salive ? Se serait-il fait injecter avec des lignées dérivées de fœtus avortés ? Aurait-il accepté la logique transhumaniste qui augmente l’homme au niveau génétique en le mélangeant à une espèce virale ?

Oui, la véritable question ne serait-elle pas « Qu’aurait fait le Christ aujourd’hui ? »