Les Frères musulmans, au Parlement égyptien, en avril 2012, légitimèrent les rapports sexuels du mari avec le cadavre de son épouse jusqu’à six heures après le décès  … Car Mahomet a dit : ‘Je l’ai habillée [Fatima, décédée] de ma chemise afin qu’elle soit revêtue de robes célestes et j’ai couché avec elle dans sa tombe afin qu’elle soit soulagée de la pression de la tombe (Kanz al-Hummal Al Hindi, n°37611).

  • L’ouvrage intitulé “Radd el mouhtar dans la jurisprudence d’Abou Hanifa” (le chef de l’école hanafite, l’une des quatre écoles juridiques) par Ibn Abideen, volume 1 page 166 : “Le coït avec une bête ou avec une femme morte n’invalide pas la prière“.
  • L’ouvrage intitulé “Badaï el sanaeï” par El Sassany, volume 7 page 34 : “Le coït avec le cadavre d’une femme est permis, aucun châtiment n’est prévu dans ce cas, il en est de même pour le coït avec une bête.”
  • L’ouvrage intitulé “Qawateh el adella” par Ibn abd el Gabbar el Samaany, volume 2 page 111 : “Le coït avec le cadavre d’une femme ou avec une bête est halal.

Qui dira encore que l’islam n’est pas une religion d’amour ?

(https://fr.slideshare.net/UnveilingMuhammad/necrophilia-in-islam-f )

http://www.islameyat.com/post_details.php?id=1108&cat=24&scat=42

Tous les hadiths, notamment ceux de Boukhari (2504) et de Mouslim (1453 ; 4.186 ; 8.3425), rapportent l’histoire de Abou Odaïfa dont l’épouse recevait chez eux, en son absence, un ami du nom de Salem, ce qui avait le don d’irriter la jalousie d’Abu Odaïfa. Ce dernier fit alors connaître la situation à Mahomet, qui donna la solution suivante : Que l’épouse d’Abou Odaïfa allaite désormais de ses propres seins l’ami Salem, cet allaitement étant censé empêcher un adultère en créant entre eux une relation de mère à fils … Apparemment, l’inceste ne devait pas poser de problème !

La même problématique se retrouve aujourd’hui pour les disciples de Mahomet lorsque des femmes musulmanes travaillent en présence d’hommes n’appartenant pas à leur famille. Aussi le cas a-t-il été religieusement porté devant la très prestigieuse université islamique d’Al-Azhar au Caire, et l’imam Izzat Attiyah, directeur du Département de recherche du hadith, a alors émis la fatwa suivante : Une femme musulmane devra désormais allaiter son collègue de travail à cinq reprises afin de nouer avec lui une “relation de sein” (sic). Le journal Al-Ayam, édité à Bahreïn, rapporte qu’Izzat Attiyah considère que : “Les liens de lait ainsi établis entre ces deux collègues les empêcheront d’avoir des relations sexuelles prohibées et leur mixité dans le bureau ne posera plus alors de problème (cf. Le Courrier de Casablanca, 25.05.2007)”. Cet exemple, véridique, permet d’apprécier le genre de préoccupations morales dans lequel se débat la conscience morale en islam …

 “La relation de sein, quelle morale en islam ?