« Moi j’ai considéré que le plus important c’est qu’on élève bien les enfants. Qu’on les aime. »

Qui peut être contre le fait de bien élever des enfants et de les aimer ? Personne. Donc, Macron parle pour ne rien dire. Son « Moi Je » est aussi vain que dangereux, comme la suite de son discours va le montrer.

« Moi, j’ai sept petits enfants. » C’est faux. M. Macron n’ayant aucun enfant ne peut pas non plus avoir des petits enfants. En fait, tel le coucou qui va pondre dans le nid des autres oiseaux, M. Macron ayant séduit et conduit au divorce Mme Trogneux, mère de trois enfants, s’approprie ici la paternité des enfants qu’elle a eus avec M. Trogneux. Si lui, Macron, a les sept petits enfants des trois enfants que Mme Trogneux a faits avec M. Trogneux, de qui M. Trogneux est-il le père et le grand-père ?

« L’idée que l’on est dans la même famille pour toute la vie, c’est pas vrai. » Bien sûr que c’est vrai !  On est dans la même famille pour toute la vie aussi certainement que l’on ne peut pas faire que tel homme ne soit pas mon père et telle femme ne soit pas ma mère. Je n’ai qu’un père et qu’une mère, et aucun coucou n’y pourra rien changer. Le changement d’état civil ne change la réalité que pour ceux dont la vie vaut ce que vaut une feuille de papier, d’état civil ou de monnaie…

Tout le monde comprend que les soi disant familles que Macron énumère ne sont pas de vraies familles, mais des familles par défaut. Une famille dite monoparentale n’est pas une famille, car celle-ci suppose un père et une mère, deux parents, et non pas un seul ! Sans parler du soi disant mariage homosexuel, stérile par nature, donc contre-nature, il en va de même pour les familles dites recomposées, qui gardent à jamais la blessure de l’infidélité au premier mariage, seul valide, ce que M. Macron avoue sans s’en rendre compte en évoquant les demi-frères et demi-sœurs. Pourquoi des demi-frères et des demi-sœurs ? Y aurait-il des demi-personnes ? N’être qu’une moitié dénonce la blessure infligée au mariage monogame et indissoluble, seul vrai fondement de la famille. Pourquoi le mariage monogame et indissoluble en vue de donner la vie est-il le seul fondement légitime de la famille ? Parce que si l’amour est le don de soi, alors on ne peut se donner qu’une fois, et donc qu’à une seule personne. Se donner, ce n’est pas se prêter. Le mariage est ce moment où un homme et une femme sont capables, devant Dieu, devant le monde entier, de se dire l’un à l’autre : « Je t’aime, et la preuve que je t’aime, c’est qu’à partir d’aujourd’hui et jusqu’à ma mort, je consacre ma vie au service de ton bonheur. Mon bonheur, c’est que tu sois heureuse. Si, par exemple, quinze jours après le mariage tu te retrouves paralysée à vie, je te promets d’être là pour t’assister jusqu’à la fin. » Celui qui n’aime pas, peut-il faire une telle promesse ? Non. C’est pourquoi le mariage est la preuve de l’amour. Apparaît ici non seulement la fausseté du mariage républicain, mais encore celle de l’islam, qui prétend rétablir la religion originelle (Coran 5.48 ; 6.90 ; 30.30), alors qu’il légalise la polygamie (Coran 4.3)…

Les animaux, à la période du rut, s’accouplent, et ils n’ont pas le choix, ils ne peuvent pas faire autrement, ils obéissent à leur instinct, et les hommes peuvent faire de même. C’est ce que font les concubins, et tous ceux qui avec eux violent le mariage. Pourquoi Dieu a-t-Il institué le mariage, en sorte que toutes les sociétés l’ont connu, sinon pour que l’homme et la femme fassent passer leur relation de l’ordre de la nécessité à celui de la liberté, et que celle-ci devienne alors véritablement humaine ? On n’est pas obligé de se marier ! Les animaux ne se marient pas, ni les concubins. Pourquoi les concubins ne se marient-ils pas ? Parce qu’ils ne s’aiment pas. En effet, ils ne sont pas capables de se marier, et cela parce qu’ils estiment que si demain, dans six mois ou dans dix ans, ils trouvent chez l’autre un défaut, qu’ils jugeront insupportable, ou s’ils rencontrent quelqu’un de plus aimable, alors ils cesseront cette relation. Ils restent pour le moment dans cette relation que parce qu’ils y trouvent leur compte. Ce n’est pas le bonheur de l’autre qu’ils cherchent, mais le leur propre. Ils restent ensemble tant qu’ils y trouvent leur compte. Mais si demain les choses changent, alors ils changeront aussi. Dans le mariage, c’est tout le contraire, chacun cherche non son propre bonheur, mais celui de son conjoint, et cela en vertu de l’amour qui fait que chacun trouve dans le bonheur de l’autre son propre bonheur… Ta joie est ma joie, comme ta peine est ma peine. Ils ne font qu’un. Rien ne peut donc détruire un vrai mariage. Et voilà aussi pourquoi seules les familles fondées sur le mariage monogame et indissoluble sont de vraies familles. Les familles énumérées par Macron sont soit des morceaux de familles soit des contrefaçons de famille. Si M. Macron et consorts réfléchissaient un instant, ils verraient que leur discours selon lequel il n’existe que des familles et non pas LA famille, est aussi absurde que ce qu’il est impossible de parler des familles sans se référer à LA famille… de laquelle toutes les autres prétendues familles tirent leur nom…

Macron pose la question aux enfants s’il y en aurait parmi eux qui auraient des parents de même sexe. Mais qui peut croire avoir été procréé par une paire d’homosexuels ?! Voilà comment la recherche de la gloire de ce monde conduit à perdre non seulement son âme, mais son bon sens ! Il faut avoir perdu la raison pour confier la plus haute institution qu’est l’État à qui ne respecte pas l’institution de base de la société qu’est la famille. « Qui est fidèle en peu de chose, dit Jésus, est fidèle aussi en beaucoup, mais qui est infidèle en peu de choses est aussi infidèle en beaucoup. (Lc 16.10) » (pour autant que l’on puisse dire ici que, même comparée à l’Etat, la famille soit “peu de chose”). Qui peut faire confiance à qui enseigne la perversion sexuelle, à des enfants, et qui plus est dans le cadre de l’école ? Comment des enfants peuvent-ils se développer harmonieusement s’ils doivent se défier de la société dans laquelle ils grandissent ? Combien les parents sont maintenant appelés à être héroïques pour accomplir dignement leur vocation de premiers éducateurs de leurs enfants ! Nous arrivons dans une société où le vice est devenu la norme, tandis que rappeler des vérités aussi élémentaires et nécessaires que ce que je viens de le faire, devient hors la loi… Pas étonnant que la consommation de drogues, antidépresseurs et autre violence ne cesse d’augmenter ! Comment ne pas être saisi d’une mortelle angoisse à la perspective de vivre dans une société qui se fait un devoir de pervertir l’âme des enfants ? Ou bien les gens reconnaissent qu’ils font fausse route, ou bien ils se préparent à vivre en Enfer, et déjà sur cette terre…

Si les gens savaient qu’ils vont en Enfer, ils donneraient leurs vies au Christ !

Regardez cela. Nous y sommes… : Cf. https://www.youtube.com/embed/I5TgkvGdIYY

http://www.citizengo.org/fr/41457-fermeture-immediate-plateforme-onsexprimefr?tc=fb&tcid=33295604

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