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Alors que Jésus voulut être pauvre et prêcha l’esprit de pauvreté (Lc 14.33 ; 16.13 ; 18.24-25), et que la gratuité authentifie une mission divine (Mt 10.8 ; Coran 6.90 ; 12.104 ; 26.109), Allah commande guerres et pillages (Coran 4.74,101), attribuant le 1/5e des butins à Mahomet (Coran 8.1,41 ; 59.6-7). Or, s’il ne faut pas suivre un messager demandant un salaire (36.20-21), pourquoi les musulmans suivent-ils Mahomet ?

Les sources musulmanes présentent Mahomet sous les traits d’un pillard rusé : « Quand l’apôtre d’Allah avait l’intention de conduire une expédition de pillage — ce qui dans le cas du Prophète constituait un aspect du djihad —, il employait une formule équivoque pour faire croire qu’il allait dans une autre direction (Boukhari 52.197) ». Il est à noter que les premières biographies de Mahomet étaient appelées Livre des rezzou (pl. de razzia). Mais comme finalement le 1/5e des butins ne suffisait pas à Mahomet (Coran 8.41), Allah lui en octroya la totalité : « Ils te demandent sur le butin. Dis : “Le butin est à Allah et à son envoyé.’’ (Coran 8.1) » 

Y a-t-il un acte immoral que la révélation de Mahomet ne justifie pas : la manipulation mentale (Coran 5.101), le parjure (Coran 66.2), la misogynie (Coran 2.282, 4.34), la polygamie (Coran 4.3), le viol (Coran 4.24), la pédocriminalité (Coran 4.127 ; 65.4), l’inceste (Coran 33.50), le parjure (Coran 2.225), la haine (Coran 60.4), la torture (Coran 5.33 ; 8.12), les amputations (Coran 5.38), l’esclavage (Coran 16.71), la vengeance (Coran 2.194), le meurtre (Coran 4.89 ; 9.5), le terrorisme (Coran 9.111), le génocide (Coran 9.5,30) … Sa biographie rapporte l’extermination de sa main des neuf cents hommes de la dernière tribu juive de Médine, les Banou Qorayza (Coran 8.67), dont les femmes et les enfants furent vendus, au motif que cette tribu aurait eu l’intention de violer son traité (Coran 8.58). Pour légitimer ce dernier crime, une révélation d’Allah fut envoyée : « Allah a fait descendre de leurs forteresses ces gens du livre […]. Vous en tuiez une partie et réduisiez l’autre en esclavage (Coran 33.26) ».

Allah couvre de son autorité les faits et gestes de son envoyé, l’assiste avec ses anges lors de ses expéditions (Coran 8.9), répond par d’opportunes révélations à toute question gênante le concernant jusqu’à légaliser ses fautes (Coran 50.45 ; 66.1-5 ; 33.3-37), encourage ses bas instincts comme son abjecte brutalité (Coran 33.36-38). Mahomet prit pour onzième épouse la ravissante Safiya le jour même où il massacra son mari, son père, son frère, sa famille et sa tribu des Banu Nadir : « Cette jeune femme juive venait de se marier et son mari venait d’être égorgé comme tous les défenseurs vaincus. Le Messager se l’attribua et l’emmena avec lui. Alors que nous arrivions à la vallée de Sahba, Safiya fut en état de pureté légale [très important !] et le prophète consomma le mariage avec elle. Après quoi il fit préparer de la pâte de dattes au beurre pour repas de mariage (Ibn Hicham, Sira II, 240-241 ; Al-sirât al nabawiyya Éd. Tadmurf, Beyrouth, 1978, Tome III pp.183-184 ; Boukhari, 1.8,367 ; 16.74) ».

Allah justifie la cruauté de son envoyé : « Ô Prophète ! Combats les mécréants et les hypocrites et sois dur avec eux ! (Coran 66.9) ». Mahomet ne supporte pas la critique : « Puis la poétesse Asma Bint Marwan, mère de cinq petits-enfants, écrivit une poésie critiquant les Arabes pour avoir laissé Mahomet assassiner un vieil homme. Apprenant ses dires, Mahomet demanda : N’y aura-t-il personne pour me débarrasser de la fille de Marwan ? Umayr ibn Adi se porta volontaire et la poignarda dans son lit, alors qu’elle donnait la tétée à son plus jeune enfant. Lorsque, pris de remords, Umayr exprima ses craintes d’être puni de ce meurtre par Allah, Mahomet le rassura : Même deux chèvres ne se disputeraient pas pour cela ! Le jour après l’assassinat de Bint Marwan, les Banu Khatma devinrent musulmans, parce qu’ils avaient vu la puissance de l’islam (Abu Daoud, Livre 38, 4348) ». La sourate 111 est tout entière consacrée à la torture jusqu’à ce que mort s’en suive d’Abu Lahab, l’un de ses opposants, qui, après avoir été spolié de ses biens, eut les mains tranchées, tandis que sa femme était réduite en esclavage. Voici quelques hadiths, parmi tant d’autres du même tonneau : « Les musulmans d’Oukl, ayant tué le berger de Mahomet et volé ses chamelles, furent par lui condamnés à avoir les mains et les pieds tranchés, les yeux crevés, et à être jetés au soleil, où, durant leur agonie, ils suppliaient qu’on leur donnât de l’eau, ce qu’on leur refusa. Ils mordirent la terre. (Moussa ‘Abdallah-Yaacoub, op. cit., p.434) » ; « Quand l’apôtre d’Allah eut coupé les pieds et les mains de ceux qui avaient volé ses chameaux et qu’il leur eut enlevé les yeux avec des clous chauffés à blanc, Allah le gronda et lui révéla : La punition de ceux qui font la guerre à Allah et à son apôtre et qui les affrontent pour semer la discorde sera l’exécution [par décapitation] ou la crucifixion. (Récit d’Abu Zinad, Daoud XXXVIII 4357. Cf. Coran 5.33) » ; « L’apôtre d’Allah a lapidé à mort une personne de la tribu des Banou Aslam, un Juif et sa femme. (Mouslim XVII 4216) » ; « L’envoyé d’Allah m’envoie chez un homme qui a épousé la femme de son père. Il m’a ordonné de lui couper la tête et de prendre ses biens. (Daoud XXXVIII 4442) ». Etc.

Selon Ibn Taymiya (1263-1328), juriste favori des salafistes, Mahomet a dit : « Je suis le prophète du carnage. Je suis un rieur sanglant. (Traité de droit, 8-9 ; J.-P. Charnay, Principes de stratégie arabe, Paris, l’Herne, 1984, p.510) », et selon Boukhari : « J’ai reçu l’ordre de combattre les gens tant qu’ils ne diraient pas : Il n’y a pas d’autre divinité qu’Allah. (Les Traditions islamiques, titre 96, chap.28, t.4, p.577) ». Les sources musulmanes elles-mêmes présentent Mahomet non seulement comme un chef de gang, mais comme le pire chef de gang qui puisse être, tant il s’est rendu coupable des pires crimes : parjures, viols, esclavagisme, pédo-criminalité, meurtres, vols … Est-il vraiment le libérateur auquel aspire l’humanité ?

(Extraits de Abbé Guy Pagès, Interroger l’islam, DMM éditions)

Bien que l’on ne trouve pas en islam l’équivalent de la sainteté du Christ, de Son évangile, de nos Saints, ou de nos immémoriales œuvres de charité, certains avancent le mal fait par certains chrétiens pour faire accroire à l’équivalence du christianisme et de l’islam. À ceux-là il faut faire remarquer que lorsqu’un chrétien fait le mal, il ne peut s’autoriser ni de l’exemple ni de l’enseignement de Jésus, tandis que lorsqu’un musulman fait la même chose, ou pire, il peut toujours s’autoriser et de l’exemple de Mahomet et de l’enseignement d’Allah. Si donc le monde est malheureux, c’est parce qu’il rejette le Christ, et si l’islam ne porte pas de bons fruits, c’est parce qu’il est pratiqué. Le mythe musulman garde cependant ses soumis culpabilisés et ainsi manipulables : n’est-ce pas qu’ils ne pratiquent pas assez bien l’islam ?