Ceci est la deuxième partie d’un article de mise en garde contre le développement d’une guerre civile religieuse et raciale en Europe, article écrit en 2007. Après les derniers événements en France et en Allemagne, je ne vois aucune raison de douter d’une future guerre. J’écris actuellement un article, bientôt publié ici, sur la guerre civile en France. Les deux articles historiques servent uniquement à fournir les informations d’arrière-plan.

La première partie de cet article présentait une explication sur une possible diminution de la proportion des Européens de souche en rapport à la proportion des musulmans européens en âge de combattre, proportion actuelle de 18:1, qui pourrait chuter à 2:1 en 2025. Ces chiffres sont hors de propos si l’on croit que l’islam peut coexister pacifiquement au sein de l’Occident, mais dans le cas où un tel scénario pacifique s’avérait être un fantasme multiculturel, nous ferions alors face bientôt à une situation sans précédent dans l’histoire de l’humanité.

Les Européens ont été conditionnés dès leur plus jeune âge à la célébration de la diversité et du multiculturalisme, nous entraînant à une réelle capacité de coexister avec de nombreux peuples de cultures différentes. C’est ce que nous voulons, mais est-ce que l’islam veut la même chose ? L’islam est des plus monoculturel. Comment serait-il possible pour eux de vivre dans une société multiculturelle et libérale?

L’islam s’est répandu par l’épée. Après son irruption en quelques décennies dans le désert arabe du 7ème siècle, il a conquis la Palestine, la Perse, l’Egypte, l’Inde, l’Afrique du Nord et l’Espagne, paralysant ses adversaires par sa violence fanatique. Ce ne fut qu’en 732 que Charles Martel bloqua cette expansion islamique frénétique à la bataille de Tours, en France.

Dès le 13ème siècle, l’islam croissait à nouveau. Finalement en 1452, ils conquirent Constantinople, la capitale de l’Empire byzantin, et en moins de 100 ans, ajoutèrent à leur empire la Grèce, la Bulgarie, la Serbie, la Bosnie, l’Albanie, la Roumanie et la Hongrie. Les tentatives de prendre Vienne échouèrent à deux reprises avant que Jean Sobieski ne déroute finalement l’armée islamique de l’Empire ottoman en 1683 aux portes de Vienne. Après cette défaite, l’Empire ottoman s’est progressivement morcelé et la plupart des pays européens occupés exigèrent leur indépendance. L’Europe chrétienne avait vaincu.

Mais aujourd’hui au 21ème siècle, l’islam est de retour et veut ce qu’il a toujours voulu : un califat mondial. Cette fois, contrairement aux tentatives militaires précédentes pour renverser l’Occident, ils sont déjà à l’intérieur de l’Europe, bien financés, radicalisés et en expansion rapide. La violence qu’ils commettent se développe proportionnellement à la croissance de leur nombre – ainsi que nous l’avons vu dans toute l’Europe au cours des dernières années.

Mais pas uniquement en Europe; l’islam est engagé dans un conflit religieux dans le monde entier, de l’Amérique au Nigeria, en passant par la Somalie, le Soudan, la Thaïlande, les Philippines, l’Indonésie, le Cachemire, l’Inde, la Russie, le Liban, la Palestine, etc. etc. Il y a conflit partout où l’islam entre en contact avec le non-islam.

Une réalité flagrante se distingue dans chacun de ces pays. L’islam est toujours l’agresseur, même quand ils sont en minorité. En Thaïlande où ils représentent cinq pour cent de la population, nous observons le glissement inexorable du pays vers la guerre civile.

La prédominance de la violence islamistes est telle que Samuel Huntingdon, auteur du livre Le Choc des civilisations, a inventé l’expression « frontières sanglantes de l’islam ». Cette violence est inventoriée dans le documentaire de Gates of Vienna « Bloody Borders project » dans lequel figure l’activité terroriste islamiste à partir de l’attentat du 11 septembre.

Pourquoi les islamistes agissent-ils ainsi ? Parce qu’on le leur ordonne, c’est aussi simple que cela. Être musulman, c’est obéir au Coran où figurent de nombreux ordres de mener le djihad, ou la guerre sainte contre l’infidèle. Certes, il n’y a pas d’ordre explicite unique, mais il est possible d’interpréter de nombreuses exhortations dans ce sens, ce que font précisément les imams radicaux dans l’ensemble de l’Occident. Contrairement à la relation ténue qu’entretien le chrétien moderne avec la Bible, les musulmans adhèrent à chaque décrets du Coran de la même manière servile que celle pratiquée au 7ème siècle. Malheureusement pour nous, le décret principal est de conquérir ou de supprimer tous les non-croyants.

Allant dans ce sens, il y a maintenant près de 2.000 mosquées en Europe occidentale, beaucoup d’entre elles financées directement par l’Arabie saoudite, à hauteur de 90 milliards de dollars. Dans ces mosquées, des imams – formés ou en provenance directe d’Arabie saoudite – pratiquent la prédication du wahhabisme extrême. Ils appellent au renversement de l’Occident et encouragent les attentats suicide et le martyre. Channel Four a récemment envoyé un journaliste pour infiltration dans diverses mosquées au Royaume-Uni permettant de démasquer ces imams et mettre au grand jour leur appel à la guerre sainte contre l’Occident. Le reportage peut être vu sur Youtube (Lien sur le blog). CNN a également diffusé une interview avec Anjem Choudary, du Al-Muhajiroun, à l’occasion de laquelle celui-ci appelle à la charia en Grande-Bretagne. C’est l’homme qui prédisait que le drapeau islamique flotterait sur 10 Downing Street.

Malgré les avertissements clairs, la plupart des Européens n’ont pas encore compris pleinement le concept de la charia. En vertu de ses lois, ils pourraient être tués pour le refus de se convertir à l’islam, ou deuxième possibilité, ils ne pourraient vivre qu’en acceptant le statut de seconde classe connu sous le nom de dhimmitude. Les homosexuels pourraient être tués également, les apostats tués, les femmes adultères lapidées à mort et certaines parties du corps pourraient être amputées après un vol. 40 % des musulmans britanniques souhaitent que ces pratiques soient appliquées.

Quel est le pourcentage de jeunes hommes parmi les personnes désirant l’application de ces pratiques ? Les femmes musulmanes soumises à la loi chariatique ont beaucoup à perdre et les musulmans plus âgés sont beaucoup moins radicalisés que les jeunes. Il est donc très probable que parmi les jeunes hommes, le pourcentage soit encore beaucoup plus élevé.

Ainsi donc, l’islam a une histoire faite de tentatives de conquête de l’Occident et une politique actuelle de domination globale. Dans les pays tels que le Soudan, ils procèdent efficacement au génocide pour atteindre ce but. En Occident, leur rhétorique djihadiste est accompagnée de violence à grande échelle et d’atrocités plus adaptées, afin d’attirer notre attention. Il y a eu de nombreux événements en Occident uniquement depuis 2001 (sans compter la violence en Inde et au Pakistan et les Talibans) :

  • le 11 septembre bien sûr;
  • les attentats du métro de Londres;
  • les attentats de Madrid;
  • les violences à plus petite échelle, comme le meurtre de Theo Van Gogh;
  • la torture indescriptible et l’assassinat d’Ilan Halami;
  • le viol des femmes européennes comme décrit par Fjordman;
  • les troubles civils en France, où la police affirme être au centre d’une guerre civile;
  • et les menaces de mort proférées contre les politiciens qui s’y opposent, comme Gert Wilders.

Quelle est la réponse des élites dirigeantes de l’Europe face à cette vague incessante d’agression islamiste ? La réponse est : une soumission lâche. En France, les politiciens promettent plus d’argent pour les banlieues, dans lesquelles la charia est pourtant appliquée et où aucun Européen blanc n’ose mettre les pieds. En Espagne, ils se sont rassemblés sur les places après l’attentat de Madrid et ont veillés à la chandelle pour la paix, avant de voter pour leur gouvernement et de le remplacer par un autre, plus à l’écoute des demandes islamistes. Aux Pays-Bas, le ministre de la Justice Piet Hein Donner n’a pas d’objection à ce que la charia soit imposée, à condition que ce soit fait démocratiquement, et en Suède, le ministre de l’intégration Jens Orback a déclaré: « Nous devons être ouverts et tolérants envers l’islam et les musulmans parce que lorsque nous serons une minorité, ils seront ouverts et tolérants envers nous”.

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Après les attentats dans le métro de Londres, la réaction immédiate du gouvernement n’a pas été celui de se soucier des Anglais. Ils se sont souciés de la terrible oppression dont les auteurs avaient dû souffrir pour commettre un tel crime. Mais pour la plus grande perplexité de nos dirigeants, il s’est avéré que les ” fabulous 4″ étaient instruits et de la classe moyenne; leurs actes étaient motivés par l’islam, et non par l’oppression.

Dans certaines écoles britanniques l’Holocauste n’est plus enseigné parce qu’il va à l’encontre des croyances négationnistes musulmanes, alors que dans le même temps, l’historien britannique David Irving a été emprisonné pour avoir présentés les mêmes points de vue que ceux des musulmans. Nos syndicats d’enseignants sont également d’avis que l’idée d’enseigner les valeurs britanniques est raciste, et la BBC est si vicieusement antichrétienne et pro-islamique qu’il n’y a tout simplement pas la place nécessaire ici pour le détailler. La trahison de la BBC exige un article spécifique et long de surcroît (c’est une des plus impondérable pathologie exhibée par la BBC, compte tenu du fait que la corporation a protégé et encouragé un nombre élevé d’ homosexuels et de féministes. Comme vous le savez, les deux groupes sont sur les listes islamiques d’extermination).

Il y a beaucoup d’autres exemples d’agression islamiste et de l’apaisement européen subséquent. Il est évident que jusqu’à présent, nous sommes poussés vers une soumission écrasante. Les politiciens européens sont clairement terrifiés par l’islam. Ils peuvent bien l’être. Alors que faut-il entreprendre ? L’islam peut-il être contenu ou l’Europe est-elle à la dérive inexorable vers une guerre civile ?

 

Il y a cinq options fondamentales.

Première option :

L’islam s’intègre au sein des démocraties libérales de l’Europe et nous vivrons heureux pour toujours. Ce scénario ne tient pas compte de l’égout moral dans lequel l’Europe a été jetée par la politique “libérale” ; une Europe que l’islam considère à juste titre avec répulsion. Il ne tient pas compte du fait que l’islam aujourd’hui est identique à l’islam du 7ème siècle. Pourquoi devraient-ils se réformer maintenant ? Compte tenu de la radicalisation croissante des jeunes musulmans et les chiffres inquiétants du nombre de sympathisants aux activités terroristes, ce scénario n’est possible que dans l’état d’esprit illusionné des libéraux ignorants, dont la naïveté est suicidaire à l’extrême. La première option peut donc être écartée.

Deuxième option :

L’islam prend tranquillement le dessus sur ​​le plan démographique par le poids du nombre, et l’Europe est islamisée en vertu de la charia. Bernard Lewis et Mark Steyn pense que c’est inévitable, Steyn étant d’avis que tout pays capable du type d’appeasement en cours aujourd’hui en Europe est également un pays incapable de monter une défense. Bien que ce soit une possibilité, il est peu probable que nous ne ripostions pas, la deuxième option peut donc également être écartée.

Troisième option :

L’Europe se réveille au danger qui l’entoure et expulse tous ses musulmans. Cela ne va pas se produire; l’Union européenne appuie l’islam, comme mentionné par Bat Ye’or dans son livre Eurabia (voir le très bon résumé de Fjordman). Non seulement l’UE n’a pas l’intention de passer à une telle action, mais ses représentants n’ont même pas l’intention d’interrompre une future immigration islamique. Les 2,2 millions de migrants majoritairement musulmans qu’ils souhaitent faire entrer en Europe chaque année jusqu’en 2050 est une affaire entendue en ce qui les concerne.

En effet, dans l’extrait d’un rapport inquiétant publié par le European policy center, on peut lire que l’UE a pour objectif l’immigration, pas uniquement pour des raisons économiques mais également pour des raisons sociales :

” Cependant, les arguments contre l’immigration restent dominants dans les débats politiques de nombreux pays européens et doivent être pris au sérieux et contestés si l’immigration veut garder sa place dans l’agenda social et économique. “

Tant que cette attitude prévaut, nous pouvons écarter la troisième option.

Quatrième option :

Les musulmans modérés reprennent leur religion pacifique aux mains des « fondamentalistes », qui comme on nous le répète encore et encore dans nos médias, ne sont pas représentatifs de l’islam. Mais où exactement sont ces musulmans modérés, quel pouvoir exercent-ils sur l’islam dans son ensemble ? Quand avons-nous vu des marches et des manifestations qu’ils auraient organisées, brandissant des banderoles « Pas en mon nom » ou « Pas au nom de l’islam ? ». Ils sont tout aussi intimidés par les radicaux que le sont nos politiciens, ou peut-être qu’ils sont en accord avec les fondamentalistes, tout en étant dégoûtés lorsque le sang coule. Le seul visage de l’islam que nous voyons ou dont nous entendons parler en Occident est celle du djihadiste violent. En tant que telle, la quatrième option peut être écartée.

Cinquième option :

Nous résistons à la prise islamique et contre-attaquons. Je suis en désaccord avec Lewis et Steyn, qui tous deux semblent penser que l’Europe va s’incliner et se soumettre. La transformation raciale et culturelle généralisée et sans précédent d’un continent qui a une histoire faite de guerres violentes ne se produira tout simplement pas sans confrontation.

Les options une, deux, trois et quatre étant écartées, il nous reste une option. La cinquième : se battre. Bien qu’il soit regrettable que nous soyons confrontés à une culture en expansion, jeune, ayant un ensemble de croyances pour lesquelles ils sont prêts à mourir, au moment où nous sommes dans un déclin démographique, vieillissant, et qu’apparemment nous ne croyons qu’aux achats, aux célébrités et à l’alcool, cela ne signifie pas que nous ne combattrons pas. Nous y seront contraints. Non pour la domination, mais pour la survie.

Raymond Hall, professeur de biologie à l’Université du Kansas, est l’auteur de l’ouvrage décisif sur la faune américaine, The Mammals of North America (Les mammifères d’Amérique du Nord). Il énonce la loi biologique que «deux sous-espèces de la même espèce n’apparaissent pas dans la même zone géographique». Les races humaines sont des sous-espèces biologiques et le professeur Hall écrit expressément que cette loi s’applique à l’homme tout comme elle s’applique à d’autres mammifères : «S’imaginer qu’une sous-espèce de l’homme vive sur un pied d’égalité pour longtemps avec une autre sous-espèce n’est qu’un vœu pieux et ne conduit qu’à la catastrophe et à l’oubli de l’une ou de l’autre ».

L’histoire des hommes est essentiellement une histoire de guerres, où le territoire, la tribu ou la religion pousse à la conquête. Le fait qu’aujourd’hui en Occident, nos élites libérales dirigeantes croient que l’histoire, la réalité présente et la loi de la nature ne soient plus applicables en ce qui nous concerne, ne signifie pas pour autant la fin des guerres. Au contraire, leur vœu pieux rend simplement la tâche plus facile à ceux qui sont déterminés à nous mener la guerre. L’idée que les guerres sont une chose du passé est si fantaisiste que seuls les libéraux, incapables de distinguer l’imaginaire idéologique de la réalité historique, peuvent éventuellement croire que la guerre puisse être vaincue un jour.

L’activité terroriste islamiste est constamment déjouée par les services de renseignement européens, mais au cours des dix prochaines années, certains de ces djihadistes vont passer au travers des mailles du filet et mener à bien leur prochaine très grande atrocité. Bien que la plupart des Européens soient toujours dans un profond sommeil en ce qui concerne l’islam, cela ne va pas durer. D’ici 2017, les tensions entre Européens et l’islam auront atteint un pic. Les fonctionnaires impotents utiliseront des contrôles gouvernementaux d’autant plus strictes dans une vaine tentative de préserver la façade de l’ordre social.

Quelque part entre 2017 et 2030, au cours d’une période de tension élevée, des islamistes en France, aux Pays-Bas ou au Royaume-Uni feront sauter une église, un train ou un avion de trop. Des représailles débuteront et, eux, à leur tour y répondront. C’est ainsi que la spirale s’enclenchera.

La police est incapable de faire face maintenant; elle le sera encore moins alors. L’armée sera mobilisée, et les membres de l’armée, même ceux prêts à exécuter les ordres contre leurs voisins, vont se retrouver massivement en infériorité numérique et débordés. Les civils seront massacrés. Ainsi commence la guerre civile.

Lorsque la violence atteindra un point de bascule, chaque personne – qu’elle soit modérée ou extrémiste dans ses points de vue – sera obligée de prendre parti dans cette guerre. Il n’y aura pas de spectateurs, et pas de civils. Les musulmans modérés seront selon toute vraisemblance du côté des extrémistes. Cette guerre ne ressemblera à aucun des conflits précédents en Europe lorsque ses armées étaient massées le long de lignes clairement définies. Dans la conflagration à venir, ce seront d’abord des civils, armés non de chars et de mitrailleuses, mais de couteaux, de bombes et du terrorisme, qui déchaîneront les fureurs de la guerre.

Je dis « d’abord » parce que même si l’armée sera de peu d’utilité au départ, elle sera certainement capable de former une ligne inexpugnable derrière laquelle les Européens de souche, non familiarisés avec le combat au couteau vont fuir et se regrouper.

Et les USA, comme toujours, arriveront en sauveur. Pendant que les flottes européennes assureront un blocus des ports, les USA livreront l’armement aux Européens organisés, des armes contre lesquelles l’islam ne pourra pas riposter. Alors que les ennemis seront annihilés en réponse à la boucherie des débuts de la guerre, les pays musulmans comme le Pakistan et l’Iran menaceront de répliquer au nucléaire. Si cette menace a lieu, elle leur serait fatale.

C’est le futur provoqué par les “liberals” multiculturels. Non seulement seront-ils responsables de massacres jamais connus jusqu’alors, même au siècle dernier, mais ils seront également responsables de l’extinction de l’islam. En 1907, personne n’était en mesure de voir venir le carnage, alors qu’en 2007, toutes les personnes instruites avec un peu de connaissance en histoire peuvent voir l’inévitable. Il est bien sûr impossible de prédire quelle sera l’ampleur de cette guerre. Mais elle ne sera pas limitée à un conflit européen. Notre guerre civile pourrait bien devenir une guerre nucléaire globale contre l’islam. Une guerre que les islamistes n’ont aucune chance de gagner.

Un tel scénario est inimaginable pour les multiculturalistes mièvres, mais ce sont leurs actions, passées et présentes, qui produiront ce cauchemar. On peut difficilement blâmer l’islam de vouloir dominer le monde, mais on peut certainement blâmer les “liberals” qui leur donnent les moyens environnementaux et la confiance idéologique les confortant dans l’idée que c’est effectivement possible. Passeront-ils à ce scénario ? Ils s’y essaient maintenant déjà sur une petite échelle, au rapport de 18:1, Comment pensez-vous qu’ils vont se comporter avec une proportion de 5:1, à fortiori de 2:1 ?

La réponse des “liberals” à un essai comme celui-ci repose sur des accusations d’hystérie et de paranoïa. A ces personnes, je ne dirai qu’une seule chose : plutôt que de laisser un commentaire sarcastique d’une seule ligne, donnez-nous un article raisonné et appuyé en mille mots expliquant pourquoi le scénario décrit ci-dessus est peu probable. Utilisez des arguments basés sur la réalité plutôt que de reprendre simplement l’idéologie dépassée.

Autant je voudrais que vous puissiez présenter un tel cas contre mon scénario, autant je crois que la guerre est inévitable, et ce sera une tragédie pour l’Occident, pour l’islam, et pour toute l’humanité.

Je vous prie de réfuter ceci. Je voudrais vraiment un autre avenir que celui que je viens d’exposer.

Paul Weston « European Civil War inevitable by 2015 ? Part 2 »

J’ajoute une sixième et pourtant générale option

Qui est la prière. Tout au long de l’histoire des rapports de l’Eglise et de l’islam, l’Eglise a appelé à la prière pour la conversion des musulmans (cf. l’Angélus, le Rosaire…) et a confié à Notre Dame des victoires le succès des guerres engageant le salut de l’Eglise et des peuples chrétiens.