Voici ce que Vincent Peillon, ex ministre de l’Education nationale, a écrit dans La Révolution française n’est pas terminée (le Seuil, 2008) : « La Révolution française est l’irruption dans le temps de quelque chose qui n’appartient pas au temps, c’est un commencement absolu, c’est la présence et l’incarnation d’un sens, d’une régénération et d’une expiation du peuple français. 1789, l’année sans pareille, est celle de l’engendrement par un brusque saut de l’histoire d’un homme nouveau. La Révolution est un événement méta-historique, c’est-à-dire un événement religieux. La Révolution implique l’oubli total de ce qui précède la Révolution. Et donc l’école a un rôle fondamental, puisque l’école doit dépouiller l’enfant de toutes ses attaches pré-républicaines pour l’élever jusqu’à devenir citoyen. Et c’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Eglise avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi.»

Et, le 2 septembre 2012, dans le Journal du dimanche, répondant à la journaliste Adeline Fleury, il affirmait : « Le point de départ de la laïcité c’est le respect absolu de la liberté de conscience. Pour donner la liberté du choix, il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel »

Où l’on voit que la Franc-maçonnerie à laquelle appartient M. Peillon est par essence la contre-Eglise, l’Eglise de Satan, ennemie de l’ordre naturel et donc du bien réel de chacun et de la société toute entière… A quand la Franc-maçonnerie déclarée hors la loi ?

En annonçant une charte de la laïcité dans les écoles, Vincent Peillon ne peut s’empêcher d’ajouter que « la question de la laïcité ne (tourne pas) à l’obsession de l’islam ».

Comment comprendre ce commentaire ? La seule explication, quand on connait les convictions du personnage, parait évidente : c’est un message aux enseignants de ne pas appliquer la loi de la même manière à tous les élèves. Quand il s’agit de l’islam, Vincent Peillon fait preuve de beaucoup de retenue dans l’application de la loi. Comme ses amis de gauche, il n’hésite pas à renier ses principes pour se prosterner et faire allégeance à l’Islam. Ainsi, le ministre avait peur que sa charte de la laïcité soit appliquée à l’Islam avec la même rigueur que les autres religions. 

Pour qu’il n’y ait aucun risque, Vincent Peillon se devait de préciser : «il ne faut pas que la laïcité devienne une « obsession contre l’islam ». Autrement dit : montrez de la retenue quand il s’agit de l’islam.

Pourtant, cette charte ne s’aventure pas sur le sujet des parents accompagnateurs de sorties scolaires. De la même manière, elle ignore les tentatives de contournement qui se font jour, avec les jeunes filles arborant les abayas islamiques en Terminales (Le Figaro du 27/7/2013). Quant à la cantine, elle fait régulièrement l’objet de tensions.

De même cette charte ignore le rappel du Haut Conseil à l’intégration sur la gravité de la situation : (http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/Avis.pdf ) :

« la  montée en fréquence dans les institutions universitaires, de revendications communautaristes, le plus souvent à caractère religieux, qui mettent à mal la pratique de la laïcité et laissent parfois les autorités désemparées quant aux réponses à donner  Les contentieux intervenus sont nombreux et concernent tous les secteurs de la vie universitaire…dérogation pour justifier une absence, port de signes d’appartenance religieuse, actes de prosélytisme, récusation de la mixité tant au niveau des étudiants que des enseignants, contestation du contenu des enseignements, exigence de respect des interdits alimentaires, octroi de lieux de cultes ou de locaux de réunion à usage communautaire… La liste s’enrichit régulièrement de revendications nouvelles … »

Face à cette situation, le ministre fait tout pour minimiser les faits. Pire : il demande de ne pas se focaliser sur l’islam, de ne pas en faire une obsession. Vincent Peillon comme le gouvernement socialiste et l’immense majorité de la gauche continuent de pratiquer leur rôle de supplétifs zélés de l’islamisation de la France.

Pour se rendre compte de l’attitude servile de cette gauche, on peut se référer aux propos de Vincent Peillon où sa férocité contre le catholicisme, n’avait d’égale que sa servilité envers l’islam. Ces propos montrent une soumission devant l’islam, doublée d’une véritable haine du catholicisme et du christianisme en général.

Écoutons ce que disait Vincent Peillon  sur la religion chrétienne lors de la promotion de son livre «La Révolution française n’est pas terminée ». Il affirme : « La Révolution française a échoué parce qu’on ne peut pas faire la Révolution uniquement dans la matière, il faut la faire dans les esprits. Or on a fait la révolution essentiellement politique, mais pas la Révolution morale et spirituelle.»

Et Vincent Peillon précise  : « On a laissé le moral et le spirituel à l’Eglise catholique. Donc il faut remplacer ça : on ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique. Mais comme on ne peut acclimater le Protestantisme en France…, il faut inventer une religion républicaine » !

Vincent Peillon : « On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique »

Ainsi, Vincent Peillon affirme haut et fort son rejet du Christianisme, sans la moindre gêne. Personne n’osera le dénoncer pour christianophobie ou intolérance, encore moins de racisme, puisque  tout est permis quand il s’agit d’attaquer la religion chrétienne.

Dans le but d’éradiquer la foi et la spiritualité chrétienne, qu’il considéré comme incompatible avec un pays de liberté, il veut « inventer une religion républicaine ». Il le dit dans son livre (http://christroi.over-blog.com/article-vincent-peillon-la-revolution-n-est-pas-terminee-118006356.html ) :

«Ce qui manque au socialisme pour s’accomplir comme la pensée des temps nouveaux, c’est une religion nouvelle : donc un nouveau dogme, un nouveau régime, un nouveau culte doivent surgir, afin qu’une nouvelle société prenne la place de l’ancienne. »

Et il continue : « toute l’opération consiste bien, avec la foi laïque, à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ, et à terrasser définitivement l’Église. Non pas seulement l’Église catholique, mais toute Église et toute orthodoxie.» 

Pour lui : « Cette nouvelle religion est nécessaire pour  conquérir l’espace laissé par la Révolution française à l’Eglise, dans le domaine de la foi et de la spiritualité, pour assurer « la victoire finale» de la Révolution. Et cette révolution spirituelle, qui doit accompagner la révolution matérielle, c’est la laïcité. C’est pour cela qu’on a pu parler de foi laïque, de religion laïque … »

Vincent Peillon considère qu’il faut continuer le combat contre l’Eglise jusqu’à la victoire totale, la séparation de la Religion et de l’Etat n’est qu’une étape dans la guerre totale que la Révolution française a engagée contre l’Eglise. Et cette victoire finale se concrétisera par l’instaurer d’une nouvelle religion, avec sa foi et sa spiritualité « républicaine » !!!

Enfin, pour rester cohérent avec lui-même, il définit cette religion nouvelle sur des bases de sectarisme et d’intolérance dignes de la Terreur de Robespierre : pas de liberté pour ces ennemis de la liberté que sont les chrétiens !!! L’Eglise doit disparaître, parce que la nouvelle inquisition de Peillon l’a déclarée coupable du crime d’« incompatibilité avec un pays de liberté »!!!!

Après avoir exprimé son désir d’instaurer en France sa nouvelle religion, Vincent Peillon nous étonnera par un désir contraire, mais  tout aussi fort : la protection de l’Islam de toute critique qui, par définition, ne peut être que raciste, nauséabonde et antirépublicaine.

Vincent Peillon : « le débat sur l’identité national est antimusulman, donc raciste et antirépublicain» !

Dans l’émission de Laurent Ruquier (http://www.youtube.com/watch?v=MizdXGXEb-w), on découvre un tout autre Vincent Peillon parlant du débat : identité nationale et immigration.

Vincent Peillon s’insurge contre ce débat : «C’est contre nos valeurs… On stigmatisait des millions de compatriotes musulmans !!! »

Et il continue en nous donnant une toute autre conception de la laïcité : «La laïcité est la valeur la plus défendue par ceux dont l’immigration est la plus récente, parce qu’ils savent que c’est une protection de la liberté de conscience, même de la liberté de la foi, cette séparation du publique et du privé ».

Et il continue par une dénonciation violente contre ceux qui montrent l’incompatibilité de la laïcité avec l’islam : «l’obsession que vous connaissez bien : l’Islam, l’Islam, l’Islam, les musulmans, les musulmans, les musulmans !!!! … Ce n’est pas un débat sur la laïcité : c’est un débat contre l’islam une fois de plus. On n’est plus dans le cercle républicain, on sort du cercle républicain. Et la laïcité, c’était le cache-sexe d’une attitude raciste !!!!» 

On voit l’immense changement dans le discours de Vincent Peillon, selon qu’il s’agisse de l’islam ou du christianisme. Il ne recule devant aucune contradiction.

Concernant la religion chrétienne, il déclarait que la séparation de l’Eglise et de l’Etat n’était qu’une étape et que la Révolution française avait fait l’erreur de laisser le domaine de la foi à l’Eglise. Pour Vincent Peillon, la victoire ne serait totale qu’en éradiquant la foi chrétienne et en la remplaçant par une nouvelle religion : la laïcité !

Et voilà que pour ce même Vincent Peillon, cette même laïcité devient par un coup de baguette magique islamique, la protectrice de la foi musulmane. Elle n’est plus appelée à se substituer à la religion, puisqu’il s’agit dans ce cas de l’Islam. Bien au contraire, la laïcité n’est plus une nouvelle foi, mais une loi républicaine protectrice de la foi musulmane.

Ainsi, Vincent Peillon qui expliquait qu’il ne peut y avoir un pays de liberté avec le catholicisme, change radicalement de position. Pour lui, l’islam est compatible avec la liberté.

En conséquence, tout débat sur l’Islam est raciste, antirépublicain et n’a pas sa place en France ! Sans doute, parce que Peillon considère que contrairement au catholicisme, on peut construire un pays de liberté avec l’islam, comme nous le montre quotidiennement le monde arabo-musulman !

Et si on s’amusait à soulever le problème du rejet de la laïcité par l’Islam, alors le ministre de l’éducation national s’insurgerait contre cette même laïcité, en la considérant comme le « cache-sexe d’une attitude raciste !»  On reste stupéfait par autant de mauvaise foi et de contradictions.

La suite du débat chez Ruquier, est consternante. Quand Eric Zemmour demandait à Vincent Peillon d’expliquer son attitude plus que conciliante avec l’islam aujourd’hui, alors qu’il soutient les violences de la Révolution française contre l’Eglise, c’est Naulleau qui est venu à son secours. Toute honte bue, il expliquait que contrairement à l’Eglise qui menaçait la République, l’Islam ne représente aucun danger pour la France aujourd’hui !!!

Conclusions : la collabosphère se définit par sa détestation du christianisme et son soutien inconditionnel de l’islam.

En fait, la gauche dans son immense majorité, se caractérise par cette attitude de soumission à l’Islam, doublée d’une haine à peine cachée contre la religion chrétienne.

Comme le montre Vincent Peillon, ces supplétifs de l’islam, ne se limitent pas à attaquer l’Eglise en tant qu’institution. Ce qui serait leur droit le plus absolu, tant les dérives de cette Eglise pendant des siècles, ont choqué et ont été dénoncées par les chrétiens eux-mêmes.

En fait, Vincent Peillon et ses amis s’attaquent à la foi et à la spiritualité chrétiennes. Et c’est en cela que leur attitude devient sectaire et intolérante. En faisant l’amalgame entre les dérives de l’Eglise et la foi chrétienne, ils s’attaquent en fait à ceux qui ont la foi en Jésus Christ et son message.

Agissent-ils ainsi par ignorance ou par volonté délibérée de s’attaquer à la foi chrétienne ? Que peuvent-ils reprocher au message de l’Evangile et au christianisme des origines.

Pendant plus de 300 ans, ce christianisme des origines était totalement séparé de la politique et rejetait toute forme de violence. Les chrétiens s’interdisaient le métier des armes et à l’image de Jésus, ils n’ont jamais eu l’intention de conquérir le pouvoir politique.

Ceux qui visent la foi chrétienne, ne trouveront aucun verset de l’Evangile qui incite à la haine, à la violence, à la guerre ou à la conquête par les armes du pouvoir politique. Bien au contraire, le message du Christ était d’ordre spirituel comme le montre cette prière du Jésus, la veille de son supplice sur la croix :

« Or, ce n’est pas pour (les Apôtres) seulement que Je prie, mais aussi pour ceux qui croient en Moi par leur parole ; afin que tous soient un, comme Toi, Père, Tu es en Moi et Moi en Toi, qu’eux aussi soient un en Nous… Et la gloire que Tu M’as donnée, Je la leur ai donnée, afin qu’ils soient un comme Nous sommes un, Moi en eux, et Toi en Moi, afin qu’ils soient parfaitement un, afin que le monde connaisse que c’est Toi qui M’as envoyé et que Tu les as aimés comme Tu M’as aimé… Et Je leur ai fait connaître Ton nom… afin que l’Amour dont Tu M’as aimé soit en eux, et que Moi Je sois en eux. » (Jean, 17 : 20-26)

Et ces commandements de Jésus :

«Vous avez appris qu’il a été dit: Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi.Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux.» (Mathieu 5 : 43-48) 

Enfin, celle-ci alors qu’Il était en croix :

« Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font. » (Luc 23,34)

Comment comprendre que la foi en Jésus semble inacceptable pour Vincent Peillon et ses amis ?

Et comment comprendre que ces mêmes personnes protègent la foi en Mahomet ? Quand leur aveuglement les empêche de voir les incitations à la haine et à la violence qui sont légions dans le Coran comme dans les Hadiths, allant jusqu’à attaquer avec férocité ceux qui dénoncent la barbarie de ce genre de versets coraniques :

(S9, V14) : «Combattez-les. Allah, par vos mains, les châtiera, les couvrira d’ignominie.»

(S9, V123) : «Combattez les mécréants qui sont près de vous; et qu’ils trouvent de la dureté en vous.»

(S9, V5) : «Tuez-les où que vous les trouviez…»

(S8, V17) : «Ce n’est pas vous qui les avez tués : mais c’est Allah qui les a tués.»

Les idéologues comme Vincent Peillon, nous donnent l’impression de se sentir beaucoup plus proche d’un Mahomet que d’un Jésus, dont le « Royaume n’est pas de ce monde ». Comme Mahomet, ces idéologues ne visent que la conquête du pouvoir politique. Pour Peillon comme pour Mahomet, la religion n’est  qu’un instrument politique de conquête du pouvoir pour dominer et soumettre. Et c’est en cela qu’ils semblent se rejoindre.

On voit que Vincent Peillon comme ses amis, ne visent qu’à remplacer la culture millénaire de la France, dont le christianisme constitue une composante fondamentale, par une autre culture basée sur l’intolérance, le sectarisme et la haine.

Zohra Nedaa-Amal , apostate de l’islam

Source

Voir ci-dessous la vidéo de M. Henri Guillemin révélant la supercherie de la démocratie républicaine.