Monsieur Gilles Pennelle dénonce la dépense par l’Union européenne de 9 842 534 euros. pour financer un projet intitulé « Le Coran européen », ayant pour objectif de montrer que le Coran aurait façonné l’identité religieuse et culturelle de l’Europe entre 1150 et 1850, et qu’il continuerait de le faire aujourd’hui.
Une falsification historique grossière, soutenue par des fonds publics européens, pour réécrire l’histoire de notre continent. L’UE ne veut financer qu’une approche “phénoménologique” du Coran (et de l’islam en général) qui invite à l’apologétique, au détriment de l’approche “archéologique”, historico-critique. Pourquoi est-il impossible d’étudier ce qui a trait à l’islam autrement que dans sa perception, et non pour ce qu’il est dans son développement historique ?
Ces “phénoménologues” comme John Tolan chargé de cette sale besogne iront ensuite présenter leurs résultats aux Frères musulmans, sachant très bien ce qu’ils vont en faire ! Et s’ils ne le savent pas, c’est aussi grave ! (Cf. Florence Bergeaud-Blackler)
Cette entreprise idéologique vise à déconstruire les racines chrétiennes de l’Europe au profit d’une vision multiculturaliste imposée par Bruxelles.
Pendant que nos peuples souffrent, que nos frontières cèdent et que nos traditions sont méprisées, l’Union européenne finance la subversion culturelle.
Notre argent doit servir la vérité, pas l’idéologie.
Qui peut venir APRÈS le Christ, sinon l’Antichrist ?
Dix millions d’euros, c’est la somme que la Commission européenne va affecter à un programme de recherche scientifique de l’Union européenne baptisé ” Coran européen “.
De quoi s’agit-il ? Eh bien, si je prends le texte exact, il s’agit, avec la collaboration d’une trentaine de professeurs d’université, de découvrir, je cite : ” Comment le Coran a influencé la culture et la religion en Europe entre 1150 et 1850. ” On ajoute même : ” Notre projet, – dix millions d’euros – repose sur la conviction que le Coran a joué un rôle important dans la formation de la diversité et de l’identité religieuse de l’Europe au Moyen-Âge et au début des temps modernes. De qui se moque-t-on ? Il faut bien évidemment quelques rappels historiques. L’identité européenne s’est forgée au long des siècles, tout d’abord par l’extraordinaire berceau gréco-romain. Nous devons à l’antiquité gréco-romaine la philosophie, la construction de l’État, la citoyenneté, la démocratie, l’architecture, les arts… Et indiscutablement, ce berceau gréco-romain est à la base de l’identité de notre continent. Et puis, bien évidemment, l’identité européenne a été forgée par le christianisme : L’Europe des monastères, L’Europe des églises, des calvaires, des fêtes religieuses, de nos calendriers. Aujourd’hui, nos paysages montrent partout en Europe cette présence du christianisme qui a littéralement forgée l’identité européenne.
Mais il y a aussi, pour en arriver à notre sujet, un autre aspect dans la formation de l’identité européenne. Au Moyen-Âge et au début des temps modernes, l’Europe a forgé son identité contre la menace musulmane, bien évidemment contre les invasions arabes au début du Moyen Âge, qui, on le sait, ont été très loin puisqu’elles ont envahi toute la péninsule ibérique. D’ailleurs, il faut balayer d’un revers de main, les historiens aujourd’hui sérieux le démontrent, l’idée d’une Espagne musulmane qui aurait été un idéal de prospérité et de tolérance. D’ailleurs, les chevalier chrétiens de toute l’Europe, pendant près de cinq siècles, de l’an mille au quinzième siècle, ont entamé la reconquista, c’est-à-dire la reconquête des terres chrétiennes. Et puis l’Europe a dû faire face, et elle s’est construite aussi, face aux invasions ottomanes, bien évidemment, de la prise de Constantinople en 1453, au siège de Vienne en 1683, car les Ottomans font le siège de Vienne en 1683, face à ces invasions ottomanes, l’Europe se construit, se forge.
Alors que veut l’Union européenne ? L’Union européenne veut déconstruire notre histoire.
Et l’Union européenne veut construire une autre histoire, et pourquoi ? Parce qu’elle veut légitimer l’invasion migratoire que nous subissons aujourd’hui. Finalement, nous allons démontrer scientifiquement, grâce à l’argent des contribuables européens, qu’ils sont ici, chez eux. Eh bien non, l’identité de l’Europe ce n’est pas cela. Bien évidemment, le groupe des Patriotes combat avec la plus grande force ces subventions absolument scandaleuses, cet argent qui est dépensé pour déconstruire notre histoire et pour construire une histoire qui n’a jamais existé. Nous sommes face à un projet de l’Union européenne. Nous le combattons pour l’avenir de nos enfants.
abbepages: Pourquoi l’Assomption est-elle un evenement si important que l’Eglise en a fait un jour d’obligation?
Certainement pour souligner le rôle unique de Marie, la Mère de Dieu, dans l’histoire du salut et sa proximité avec son fils, Jésus-Christ, mais encore parce que l’Assomption illustre la destinée ultime des chrétiens : la résurrection et la glorification promises à tous les fidèles. C’est un signe d’espérance pour l’Église, montrant que la victoire sur le péché et la mort est possible par la grâce de Dieu.
De plus, l’Assomption renforce le statut d’intercesseur privilégié de Marie auprès de Dieu pour l’humanité. Cette fête célèbre son union parfaite avec son fils et son rôle dans le plan divin.
L’Église a fait de l’Assomption une fête d’obligation pour inviter les fidèles à méditer sur ces vérités fondamentales dans le cadre de la liturgie où s’accomplit par excellence LE mystère de la Foi. Cette obligation reflète l’importance de rendre grâce pour la vie et le rôle de Marie, modèle de foi et d’obéissance.
Sans oublier que cette célébration de l’Assomption remonte aux premiers siècles du christianisme. Son universalisation et son statut de jour férié dans de nombreux pays renforcent son caractère solennel.
Bonjur Mon Père. Bonjour Josh.
Je me permets de faire une parenthèse à propos de la Vierge.
Il est impossible d’imaginer ou de mesurer lerôle déterminant que Sainte Marie à jouer dans l’édification de l’Eglise.
Je ne suis pas assez savant pour en parler avec justesse. Néanmoins, il paraît évident que nous lui devons tout ou presque quant à la rédaction des Evangiles, puisque Marie était là depuis le début. Si quelqu’un pouvait raconter la vie du Christ, sa naissance, les rois-mages, sa divinité, c’était bien elle !
Marie est la Mère incontestée de l’Eglise parce qu’elle a été la première témoin, et certainement la mieux placée ! C’était son fils ! Sa chair !
On n’imagine pas le lien qui pouvait exiter entre elle et son Fils.
Je ne suis d’ailleurs pas certain qu’elle pleurait tant que cela lors de sa crucifiction, parce qu’elle devait bien savoir qu’il récussiterait ! Jésus le lui avait certainement dit.
Gloire à notre très Sainte Mère ! Sans elle, nous n’en serions pas là !
“La glorification et la résurrection de TOUS les fidèles” ???
C’est dangereux de dire cela ,sur la croix ,Jésus n’a promis le paradis qu’au bon larron qui regrettait ses péchés et non à l’autre qui se moquait de LUI sans rien regretter de ses méfaits.
Fêter Maie ,Joseph et tous les saints c’est très très bien ,mais les IMITER ,ne pensez vous pas que ce serait encore MIEUX ?