Je demande aux Musulmanes et aux Musulmans qui ont l’aversion des
humains et qui se prennent pour les maîtres du monde alors qu’ils ne
sont pas encore sortis du monde des ténèbres,que seriez-vous sans nous?

Quand vous faites vos courses dans nos magasins, vous mettez quoi dans
vos paniers, Mahomet, Allah et le Coran ou des produits que vous
n’êtes pas capables de fabriquer vous-mêmes et dont vous êtes
redevables à 100% à ceux que votre satané livre ordonne de massacrer et d’humilier.

Quand vous avez faim et soif, c’est l’islam ou la patrie qui vous nourrit?

Quand vous n’avez pas de travail chez vous et pour échapper à vos
conditions de vie misérables est-ce que vous trouvez refuge dans
l’islam ou dans ces pays que vous êtes en train de détruire au nom de votre religion?

Quand vous êtes malades, vous vous soignez à coups de versets
maléfiques ou vous prenez des médicaments fabriqués par les mécréants?

Quand vous avez froid et plongez dans l’obscurité, vous vous éclairez
avec les hadiths de ce prophète diabolique ou vous utilisez
l’électricité inventée par l’Occident que vous vous haïssez tant?

Quand vous avez besoin de surfer sur l’internet vous utilisez vos
tapis de prière ou des PC produits par les infidèles?

Quand vous avez besoin de vous déplacer vous prenez les mosquées comme
moyen de transport ou des véhicules mobiles fabriqués chez les
non-musulmans, les musulmans ne sont ni des industriels ni des
industrieux, que votre ignominieux et abominable livre prétendument
sacré appelle associateurs dont il vous recommande l’extermination jusqu’au dernier?

Quand vous êtes atteints de myopie vous portez la Ka’aba, cette
météorite sinistre dont vous êtes l’exact reflet et qui témoigne du
caractère fétichiste de votre croyance pour augmenter votre vision ou
une paire de lunettes fabriquée par les mécréants?

Quand vous devez vous faire opérer on vous anesthésie avec l’eau de
zem zem ou avec un anesthésiant importé de l’Occident dont vous terrorisez les habitants?

Quand vous êtes déficients auditifs vous avez recours aux
hauts-parleurs des mosquées qui crachent leur poison de haine sur
l’humanité ou vous utilisez des appareils acoustiques sortis des
laboratoires des pays du dar-al harb, la maison de la guerre?

Quand vous devez monter dans une tour de 30 étages par exemple vous
empilez le Coran pour les grimper ou vous empruntez un ascenseur qui
porte la marque des pays qualifiés d’ignominieux et d’infâmes par votre Mein Kampf?

Quand vous avez besoin de faire des radios de vos poumons vous les
faites dans les salles de prières ou dans des salles de radiologie
nées dans le cerveau des ces femmes et ces hommes que le Coran, ce
livre liberticide et génocidaire, voue aux feux ardents de votre enfer
qui n’est rien d’autre que le vôtre?

Quand vous vous rendez dans ce haut lieu de la barbarie humaine qu’est
la Mecque pour faire votre circumambulation autour d’une météorite
noire symbole de votre culte fétichiste, vous vous envolez sur vos
tapis volants de prière ou à bord de ces oiseaux volants fabriqués
chez les enfants de Satan comme vous les appelez?

Quand vous passez vos appels téléphoniques vous utilisez les puces que
vous ramassez dans les mosquées ou les puces inventées par les mécréants et les égarés?

Quand vous dites que vous êtes la plus belle communauté de croyants
jamais créée par Dieu, je ne sais pas de quel Dieu, parlez-vous de
celui dont la connaissance de la géographie humaine ne dépasse pas les
confins des terres arides et lunaires d’Arabie, pourquoi vous avez
autant peur de la satire et de la critique au point que vous massacrez
tous ceux qui auraient offensé ce faux prophète sanguinaire et cruel
qui excellait dans le meurtre de ses opposants?

Quand vous dites comme le Coran vous le certifie par la voix de vos
muftis charlatanesques et vos imams débiles que la terre est plate et
fixe et que le soleil tourne autour d’elle vous ne croyez pas que vous
avez atteint le degré zéro de la bêtise ?

De Salem Ben Ammar, Docteur en sciences politiques

Cliquez pour agrandir les images ci-dessous de l’excellent article “Hier “Dhimmis”, sous-citoyens aujourd’hui”, de Amar Mardirossian :