Par Salem Ben Ammar

 

Viendra le jour où nous allons rigoler jaune avec les revendications des musulmans de France : « Nous constituons près du tiers de la population française. En toute logique nous devons prétendre au tiers des sièges dans les différentes institutions nationales et locales représentatives du peuple ».

Or, nous sommes mis sur la touche alors que vous êtes élus grâce à nos voix. Soit vous nous faites de la place sur vos listes soit nous créons nos propres partis politiques, ce qu’ils ont déjà commencé à faire, et nous présenterons nos candidats partout en France. 

Un autre péril qui menace la France où ils pourraient un jour ou l’autre mettre la main sur l’Assemblée Nationale et adopter les lois favorables à l’islam. Ils sont des électeurs, aucune loi en France ne saurait étouffer leurs velléités politiques.

Le vrai péril pour la France est quand les musulmans seront 10 millions à voter.
Quand ils seront 10 millions à voter ce qui ne saurait tarder quand on sait qu’un jeune sur 5 au moins est de parents nord-africains, les urnes de la démocratie pourraient se transformer en urnes de ses cendres. Une conquête tranquille de pouvoir sans heurts ni effusion de sang.

En naturalisant les musulmans à tour de bras, la France n’a peut-être pas imaginé le scénario qu’un jour ils seront des électeurs et des éligibles et qu’ils pourraient ainsi l’achever. 

Un musulman est, par définition, un soldat au service de la cause de sa religion; il n’a que faire de l’intérêt général d’un pays censé être de surcroît un dar al harb, une ère à conquérir, qui naïvement lui offre lui-même les armes de ses lois trop généreuses pour faire triompher la cause de l’islam.

La France peut toujours fermer ses frontières et durcir les conditions d’accès à sa nationalité mais elle ne peut plus faire grand-chose contre la forte poussée démographique et le poids électoral grandissant de ses musulmans.

Quelle que soit la force politique qui sera amenée à diriger les affaires du pays aux lendemains des prochaines échéances électorales présidentielles et législatives elle n’aura pas toute la marge politique nécessaire pour les traiter en simple vivier électoral où l’on vient puiser ses voix tous les 5 ans.

C’est fini le temps où ils font figure de simples figurants sur la scène politique française. Ils savent parfaitement que le temps joue pour eux et que statistiquement ils constituent le premier groupe politique en France avec au moins 10 millions de militants déterminés et mus par le même idéal islamiser la France. 

Pour l’heure ils sont capables de se fondre dans le creuset républicain pour ne pas continuer à nourrir les sentiments de rejet et de défiance dont ils font l’objet au sein de la majorité des Français. Ils préfèrent temporiser et poursuivre subrepticement leur stratégie d’araignée qui tisse inlassablement sa toile à l’ombre des tours en béton et s’étendre dans les cœurs des villes comme à Marseille, Paris, Lille et Toulouse où des quartiers entiers sont totalement islamisés. 

Pourquoi vont-ils relever le défi d’une guerre civile qui pourrait leur être fatale alors qu’ils ont tout intérêt à avancer à visage couvert et renforcer leur assise démographique et électorale sans que personne n’y prenne garde ?

 

La France islamisée est pour bientôt et les musulmans s’en frottent les mains comme si leur victoire est acquise à 100%. Et ce n’est pas des gesticulations verbales enfiévrées et hystériques que les Français soumis aux flux migratoires incessants à forte dominante musulmane vont pouvoir éviter à la France de finir sous les griffes de l’hydre musulmane.

Tant que le peuple continue à banaliser le danger de l’islam la France n’échappera pas à son destin musulman. 

 

 

Salem Ben Ammar, Docteur en sciences politiques, français d’origine Tunisienne,
engagé dans le combat contre l’Islam,
18 mars 2017 

Voir : “L’islamisation de l’Europe, châtiment de son apostasie