La première vidéo présente le Dr Vladimir Zelenko, qui est connu à New York pour avoir trouvé un traitement préventif très efficace contre le covid19, et qui a publié de nombreuses études et a soigné des milliers de personnes avec succès. Il explique ici devant un tribunal rabbinique – Beth din – pourquoi la vaccination actuelle anti covid est une hérésie scientifique beaucoup plus dangereuse pour la santé publique que ce qu’affirme la Doxa !

Il revient dans cette vidéo sur les chiffres de la pharmacovigilance aux Etats-Unis avec une mortalité catastrophique des plus jeunes et une multiplication par 8 des fausses couches chez les femmes enceintes !!! Il explique que même si la planète entière avait le covid, il y aurait au maximum 35 millions de décès ; par contre, si on vaccinait 7 milliards d’individus, comme préconisé par Bill Gates, il y aurait près de 2 milliards de morts ! Il rappelle également que la mortalité a explosé en Israël à partir de fin décembre, date du début de la vaccination.

Selon le Dr Vladimir Zelenko, dès que vous prenez une thérapie, quelle qu’elle soit, vous devez regarder 3 angles, soit:

Est-ce que c’est sans danger?
Est-ce que ça fonctionne?
En ais-je vraiment besoin?

Juste parce que vous avez une possibilité de “thérapie” ne veut pas dire que vous deviez l’utiliser.

Pour visionner cet importante vidéo qui démolit le narratif de la propagande d’État pro-vaccinal, c’est ici:

https://filedn.com/lAbnr520WC4VIqzcB0lF … -covid.mp4

Dans son vidéo, le Dr Zelenko s’attaque à de nombreux sujets sensibles dont les statistiques-COVID qui devraient convaincre de NE PAS se faire “vacciner”, l’amélioration dépendante des anticorps (ou “antibody-dependant enhancement (ADE)”, en anglais, la tentative de génocide via la permission des États pour des essais sur leur population de produits expérimentaux et comment l’expérience israélienne devrait être suffisante pour dénoncer la propagande-politique, dans son ensemble.

Le Dr Zelenko risque sa vie pour nous dire tout ceci, dans ses mots, incluant qu’il n’y a PAS DE BESOIN pour ces “vaccins-COVID”.

Ceux qui ont des anticorps naturels fonctionnels sont infiniment plus efficaces que ceux produits par les produits expérimentaux alors évitez la vaccination.

Réveillez-vous car selon le Dr Zelenko, nous sommes au beau milieu d’une 3e guerre mondiale où des sacrifices sanitaires ont cours, dans notre visage, pendant que les masses alimentent la peur provenant des sociopathes étatiques.

Ne vous prosternez pas devant les marionnettes politiques.

Il explique aussi que les statistiques sont faussées, notamment parce que le nombre de morts “avec la COVID” est mal ou pas détaillé alors il n’y a aucune information à propos des comorbidités ayant (réellement) entrainé la mort.

Le Dr Vladimir Zelenko offre aussi le “protocole Zelenko” qui vise à offrir un traitement-maison contre la COVID-19.

Patients externes covid-19: traitement précoce stratifié par le risque avec du zinc plus de l’hydroxychloroquine et de l’azithromycine à faible dose : une étude rétrospective de série de cas

Merci au Dr Zelenko pour son immense travail d’information pour l’humanité qui comprend l’efficacité d’une immunité naturelle à large spectre qui est bien entretenu par de saines habitudes de vie et une prévention naturelle bien pensée.

Pour plus d’info sur le Dr Zelenko : https://www.divulgation.fr/manipulations-gouvernance-mondiale/dr-vladimir-zelenko-sur-la-dangerosite-des-vaccins-la-corruption-pharmaceutique-massive-derriere-lepidemie-de-covid-19-et-lhypothese-dune-arme-biologique-genocidaire-vide/

La deuxième vidéo présente le témoignage bouleversant du Dr Laurent Montesino, médecin réanimateur à l’hôpital Bichat. Il sait de quoi il parle. Comme neuf confrères (dont le Pr Montagnier), il fait l’objet d’une plainte du conseil national de l’ordre des médecins parce qu’il dit des vérités sur le covid et la dictature. Et aujourd’hui il n’a plus rien à perdre, car même s’il s’en sort devant l’Ordre des médecins il ne pourra plus exercer le mois prochain (on l’empêchera de réanimer des malades du covid !) parce qu’il ne veut pas être vacciné. “Nous sommes entrés en dictature. Ce qui se passe n’a aucune motivation sanitaire. Le but est d’asservir la population. Pourquoi ? Je ne saurais le dire. Mais le fait est que si nous acceptons de nous plier à ce chantage injustifié tout sera possible ensuite pour ce gouvernement dictatorial. Il n’y aura plus de retour en arrière, plus jamais de retour à la liberté.” Mais aussi (à la façon de Soljenitsyne) : La vérité ne pourra être cachée bien longtemps, et il n’est pas loin, le temps des révélations. On peut cesser de vivre dans la peur, dans le mensonge permanent, on peut retrouver nos libertés et notre joie de vivre : il faut juste le décider, il faut refuser ces manipulations liberticides et reprendre notre vie en main.

Dans la troisième vidéo un avocat explique que le passe sanitaire est illégal au regard du droit international, avec, au passage, un bel exemple de volonté de désinformation de la part des journalistes de #BFMTV… M. Macron bientôt jugé par la CEDH ou la CPI ?

Dans la quatrième vidéo le Dr Ryan Cole explique lui aussi pourquoi il faut cesser immédiatement la vaccination.

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Transcription des propos du Dr. Vladimir Zelenko dans la première vidéo : 

– [Hôte de l’événement] Le Dr. Zelenko est médecin de famille agréé par le conseil d’administration depuis plus de 20 ans. Il a été présenté par ses patients comme un membre de leur famille, de milliers de familles … Il est aussi conseiller médical du Corps d’Ambulances Volontaires de Kiryas Joel à New York. Le Dr. Zelenko a développé son désormais célèbre protocole Zelenko, qui a sauvé d’innombrables vies dans le monde entier. Alors bienvenue au Dr. Zelenko ! Merci de vous joindre à nous. J’aimerais que vous commentiez notre sujet.

– Merci beaucoup de m’avoir invité. Je vais vous faire part rapidement de mon expérience : mon équipe a traité directement plus de 6000 patients. J’ai formé des centaines de médecins qui forment maintenant leurs étudiants. Et ainsi nous avons traité des millions de patients avec succès. Le président Trump a été mon patient. Rudy Giuliani a été mon patient. Rabbi Haïm Kanievsky a été mon patient. Rabbi Litzman, le ministre de la santé d’Israël, l’an dernier, a été mon patient. Je vous nomme seulement quelques personnes qui m’ont contacté pour des soins, y compris le Président Bolsonaro du Brésil.

Mon expérience m’a donné une approche très pertinente du COVID-19 : Elle empêche les gens d’aller à l’hôpital. En ce qui concerne les enfants, la seule raison de les y envoyer est de vouloir leur sacrifice.

 Je vais vous expliquer : Chaque fois que vous évaluez un traitement, il faut l’examiner sous trois angles :

1) Est-ce sans danger ?

2) Est-ce que ça marche ?

3) En avez-vous besoin ?

Ce n’est pas parce que vous avez une capacité que vous devez l’utiliser. Il doit y avoir une réelle nécessité médicale. Il faut en avoir besoin. Vous regardez le CDC, les statistiques pour les enfants de moins de 18 ans qui sont sains. Le taux de survie est de 99,998 %. Le taux de survie sans traitement. Comme l’a dit le Dr Yeadon, le virus de la grippe est plus dangereux pour les enfants que la COVID-19. Et il a fait une estimation que par million, une centaine d’enfants allaient mourir de la vaccination. Je pense que le nombre est beaucoup plus élevé, et je vais vous en expliquer les raisons : Si vous avez un groupe de personnes qui n’ont aucun risque de mourir d’une maladie, pourquoi leur injecter un poison mortel ?

Voyons si ça marche. Les deux pays qui ont le plus de citoyens vaccinés, c’est Israël (85 % de la population), et une nation insulaire de l’océan Indien : Les Seychelles (plus de 80 %). Ces deux pays connaissent une épidémie du variant Delta. Alors, laissez-moi vous poser une question : Si vous avez vacciné la majorité de votre population, pourquoi avez-vous encore une épidémie ? Première question. Deuxième : Pourquoi donner une troisième dose de la même chose qui n’a pas marché les deux premières fois ?

Parlons de la sécurité. Voilà le vrai problème. Il y a trois niveaux de sécurité ou de décès que nous devons regarder : aigu, subaigu et à long terme.

Aigu, je définirai dès le moment de l’injection jusqu’à trois mois. Le risque numéro un de la piqûre est la formation de caillots sanguins, comme l’a dit le Dr. Yeadon, selon l’Institut Salk. Tout ce que je dis, je peux le prouver avec de la documentation et veuillez ne pas prendre ma parole pour argent comptant. Vous pouvez faire preuve de diligence raisonnable. Je peux vous fournir
une preuve de tout ce que je dis.

Selon l’Institut Salk, lorsqu’une personne reçoit une injection de ces choses, le corps devient une usine productrice de spikes, produisant des trillions de spikes, qui migrent vers l’endothélium, le revêtement intérieur de vos vaisseaux sanguins. Elles sont essentiellement de petites épines à l’intérieur de votre système vasculaire. Comme les cellules sanguines y circulent, elles sont endommagées. Elles causent des caillots sanguins. Si ça arrive dans le cœur, c’est une crise cardiaque. Si ça arrive dans le cerveau. c’est un AVC. La première cause de décès à court terme est donc la formation de caillots sanguins. Et la plupart arrivent dans les trois ou quatre premiers jours. 40% se passe dans les trois premiers jours après l’injection de ce poison mortel. L’autre problème est qu’il provoque une cardite légère ou inflammation du cœur des enfants ou des jeunes adultes.

Et le deuxième problème, qui est le plus inquiétant, est, selon l’article du New England Journal of Medicine, le taux de fausses couches dans le premier trimestre, qui passe au cours du premier trimestre de 10% à 80%. Je veux que vous compreniez ce que je viens de dire. Les taux de fausses couches au cours du premier trimestre des femmes enceintes, lorsqu’elles sont vaccinées, augmentent par un facteur de huit ! Ce sont des données actuelles. Elles peuvent changer avec le temps, mais c’est ainsi aujourd’hui.

Le troisième problème est la mort subaigüe. Les études sur les animaux avec ces vaccins ont montré que tous les animaux ont bien réagi en générant des anticorps quand ils étaient infectés.
Cependant, un grand pourcentage d’entre eux ont décédés. Et quand on a enquêté, on a découvert que leur système immunitaire les avait tués. Ça s’appelle quelque chose comme,
l’amélioration dépendante des anticorps, ou l’amorçage pathogène, ou l’amélioration paradoxale du système immunitaire. Mais le fait est que beaucoup de ces animaux sont morts. Peut-être allez-vous argumenter : les êtres humains sont peut-être différents. Ma réponse est : peut-être. Cependant, ces études n’ont pas été faites. Vous êtes l’étude en ce moment… Le PDG de Pfizer a dit : “Israël est le plus grand laboratoire du monde.” Le docteur Luc Montagnier, lauréat du prix Nobel de médecine pour la découverte du VIH, a dit que c’était le plus grand risque pour l’humanité et le plus grand risque de génocide de l’histoire de l’humanité. Et donc le risque d’une réaction d’ADE chez les êtres humains ne peut être exclu. Ma question est donc la suivante : Pourquoi ferais-je vacciner quelqu’un avec une substance potentiellement destructrice et mortelle ?

Et le troisième élément, ce sont les conséquences à long terme. Il y a des preuves indéniables que cela affecte la fertilité, endommage la fonction ovarienne, réduit le nombre de spermatozoïdes. Et ce vaccin augmente ensuite certainement le nombre de maladies auto-immunes. Qui sait de combien de temps il va réduire la durée de  vie ? La semaine dernière, un article a été publié montrant qu’il augmente le risque de cancer. Donc sous tous les angles, où que vous regardiez : dans le contexte aigu, il provoque des caillots de sang, l’inflammation du cœur et les fausses couches à mi-parcours ; dans le cas subaigu, il peut entraîner une réaction immunitaire pathologique désastreuse; et à long terme il peut provoquer une augmentation des maladies auto-immunes, le cancer, l’infertilité. C’est un gros problème.

En fait, je vais le dire comme ça : À mon avis, l’actuel gouvernement israélien est un gilgul de Josef Mengele. Ils ont permis, engagé l’expérimentation humaine de leur propre peuple. Et, je vais vous dire, j’espère que la chose soitt un peu différente. Peut-être pas. Si vous voyez une source dans Kol Israël, vous devriez regarder les données en Israël, mais si vous voyez des problèmes
dans le peuple juif, vous devriez regarder la direction rabbinique. Parce que si la tête est malade, qu’attendrez-vous du corps? Alors je supplie cette base de mettre les intérêts de Kol Israël au-dessus de la politique et de tout ce qui peut froisser vos opinions.

Je reçois quotidiennement des menaces de mort. Je risque ma vie, ma carrière, ma vie financière, ma réputation, presque ma famille, tout simplement pour rester assis à vous dire ce que je vous dis.

Je vais résumer : ce vaccin n’est pas nécessaire, personne n’en a besoin : Les enfants, je l’ai déjà dit, ont 99,998% de chances de guérir. Les jeunes adultes de 18 à 45 ans ont 99,95% de chances de guérir Une personne qui a déjà eu la COVID-19 et qui a des anticorps naturellement induits est un milliard de fois plus protégée que l’immunité artificiellement induite par le vaccin. Alors pourquoi me ferais-je vacciner avec un poison mortel qui fait des anticorps dangereux quand j’ai déjà des anticorps sains?

Et puis, si vous regardez la population à haut risque qui a un taux de mortalité de 7,5%;
Donc mes données, qui étaient les premières au monde, que j’ai publiées dans un journal contrôlé par mes pairs, elles sont devenues la base de plus de 200 autres études, qui ont corroboré mes observations. Si vous traitez les gens rapidement, vous réduisez le taux de mortalité de 85%. Donc, sur 600 000 Américains, nous aurions pu empêcher 510 000 d’aller à l’hôpital et de mourir.
Et au fait, j’ai présenté cette information à Bibi Netanyahu, directement, en Australie, avril 2020. Et j’ai informé chaque membre de …

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FDA : La Food and Drugs Administration, l’équivalent de notre Agence nationale du médicament, est l’administration des USA chargée d’autoriser la vente des nouveaux médicaments aux USA
CDC : Center for Diseases Controll
Source : https://www.lifesitenews.com/news/experts-warn-of-covid-vaccine-risks-at-fda-hearing-the-vaccines-kill-more-than-they-save/


« Nous agissons avec des motifs qui ne sont pas certains, provoquons des problèmes importants, avec des preuves insuffisantes de l’efficacité durable des injections et de mauvaises priorités », a déclaré le Dr David

Plusieurs médecins et autres experts médicaux ont critiqué les vaccins contre le COVID-19 et les appels à une vaccination de masse contre le COVID lors d’une réunion de la FDA sur les injections de rappel. Les experts, dont un chercheur de premier plan de Johnson & Johnson, ont averti que les injections “tuent plus de personnes qu’elles n’en sauvent” et sont un “danger clair et présent” de créer des variants du coronavirus.
Vendredi, l’ audience du comité consultatif sur les vaccins de la FDA a comporté des heures de témoignages avant un vote à 16 contre 2 contre le plan de l’administration Biden de déployer des troisièmes doses du vaccin Pfizer pour les Américains « entièrement vaccinés ». Le programme de rappel, qui pourrait être lancé dès cette semaine, malgré le vote de la FDA, a déjà provoqué plusieurs démissions de hauts responsables de la FDA.

« Je vais concentrer mes remarques sur l’éléphant qui est dans la pièce et dont personne n’aime parler : que les vaccins tuent plus de gens qu’ils n ‘épargnent de vies, » selon Steve Kirsch, (directeur exécutif du Covid-19 – Fonds de traitement précoce), a dit la FDA Vaccine and Related Biological Products Advisory Committee (VRBPAC) dans son témoignage.
“Aujourd’hui, nous nous concentrons presque exclusivement sur les décès évités dus au Covid et l’efficacité des vaccins, parce que nous avons été amenés à croire que les vaccins sont parfaitement sûrs, mais ce n’est tout simplement pas vrai”, a déclaré Kirsch.
Il a cité les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), un système de suivi des accidents vaccinaux géré conjointement par la FDA et le CDC, qui a documenté plus de 6 000 cas signalés de crises cardiaques peu après la vaccination COVID. Le VAERS est connu pour sous- estimer jusqu’à 99 % les effets indésirables des vaccins.
“Le VAERS montre que les crises cardiaques se sont produites 71 fois plus souvent après ces vaccins qu’ avec tout autre vaccin”, a déclaré Kirsch. Il a ajouté qu’« il y avait quatre fois plus de crises cardiaques dans le groupe de traitement dans le rapport d’essai de six mois de Pfizer. Ce n’est pas dû à de la malchance.
“Si la mortalité nette, toutes causes confondues, due aux vaccins est négative, les rappels et les obligations vaccinales sont tous absurdes”, a poursuivi Kirsch. « C’est le cas aujourd’hui.
Il a montré une diapositive présentant trois calculs du rapport décès/vie pour les vaccins COVID-19, tirés du VAERS, du rapport d’essai de six mois de Pfizer et des données de rappel pour les patients des maisons de soins infirmiers en Israël. Tous trois ont estimé que les vaccins provoquent plus de mortalité qu’ils n’en préviennent.
« Seuls les chiffres du VAERS sont statistiquement significatifs, mais les autres chiffres sont troublants. Même si les vaccins avaient une protection à 100%, cela signifie toujours que nous avons tué deux personnes pour sauver une vie », a déclaré Kirsch.
«Quatre experts ont effectué des analyses en utilisant des sources de données non américaines complètement différentes et tous sont parvenus à environ le même excédent de décès liés au vaccin : environ 411 décès par million de doses. Cela se traduit par 150 000 personnes décédées. »
Plus tôt cette année, le célèbre cardiologue et interne du Texas, le Dr Peter McCullough, a également évalué le nombre de décès probables liés au vaccin COVID à des dizaines de milliers, bien plus que le nombre officiel de décès VAERS actuel de 7 899. “Nous pensons que nous avons 50 000 morts américains”, a déclaré McCullough en juin. “C’est fondamental, dans un sens, c’est du bioterrorisme propagé par injection.”
“Maintenant, les vrais chiffres confirment que nous tuons plus de vie que nous n’en épargnons”, a poursuivi Kirsch. “Et j’aimerais que tout le monde regarde les données du ministère israélien de la Santé sur les plus de 90 ans, où nous sommes passés d’un groupe vacciné de 94,4% à 82,9% au cours des quatre derniers mois.”
« Dans le scénario le plus optimiste, cela signifie que 50 % des personnes vaccinées sont décédées et 0 % des personnes non vaccinées sont décédées », a-t-il déclaré. « À moins que vous ne puissiez expliquer cela au public américain, vous ne pouvez pas approuver les injections. »
Kirsch a décrit les protocoles de traitement précoces comme une « bien meilleure alternative aux injections». « La preuve est qu’en Israël, les cas sont à un niveau record. En Inde , l’Uttar Pradesh est désormais exempt de COVID-19, à compter d’aujourd’hui. Presque personne n’y est vacciné.
Les risques du vaccin “l’emportent sur tout avantage potentiel”
Les inquiétudes soulevées par Kirsch faisaient écho à celles du Dr Jessica Rose , une immunologiste spécialiste des virus et des statistiques biologiques qui a témoigné lors de l’audience de rappel de la FDA que les risques des injections de COVID-19 “l’emportent sur tout avantage potentiel”.
Rose a également fait référence aux rapports du VAERS, notant une augmentation « très anormale » des taux de déclaration des événements indésirables liés au vaccin en raison des injections COVID. “Il y a une augmentation de plus de 1 000 pour cent du nombre total d’événements indésirables pour 2021, et nous n’en avons même pas fini avec 2021”, a-t-elle déclaré, ajoutant que la hausse des réactions survient malgré l’absence d’augmentation des taux de vaccination.
« Il incombe aux responsables de la santé publique, à la FDA, au CDC et aux décideurs politiques de répondre à ces anomalies et de reconnaître les signes de risque clairs qui ressortent de leurs données et de faire face au problème des risques liés à l’utilisation des produits injectables COVID qui, à mon avis, l’emportent sur tout avantage potentiel associé à ces produits, en particulier pour les enfants », a déclaré Rose.
Le taux exorbitant d’événements indésirables sur le plan immunologique signalés après les injections de COVID-19 peut affecter jusqu’à une personne sur 660, a-t-elle déclaré, citant à nouveau les données du VAERS.
« Lorsque les nombres absolus cumulés sont normalisés par rapport au nombre total d’individus entièrement vaccinés aux États-Unis, nous pouvons voir qu’un individu sur 660 succombe et signale des effets secondaires immunologiques associés aux produits COVID », a déclaré le Dr Rose. “Le facteur de sous-déclaration n’est pas pris en compte ici.”
L’immunologiste et virologue a en outre averti que les injections de vaccins pourraient conduire à de nouveaux variants de COVID-19 – une théorie exprimée par d’autres experts de premier plan , comme le Dr Robert Malone, l’inventeur des vaccins à ARNm et à ADN. Ainsi que le professeur Montagnier .
L’émergence des variants alpha et delta du coronavirus « est survenue peu de temps après le déploiement des produits COVID en Israël », a observé Rose.
« Israël est l’un des pays les plus vaccinés, et il ressort de ces données que cela représente un échec évident de ces produits à fournir une immunité protectrice contre les variants émergents et à prévenir la transmission, quel que soit le nombre d’injections supplémentaires administrées, et cela soulève la question de savoir si ces campagnes d’injections sont à l’origine de l’émergence de nouveaux variants. »
“Il y a un danger clair et présent qu’une inquiétude se fasse jour si continuez avec ces prétendues injections de rappel”, a déclaré Rose.
“Nous avons un besoin incertain avec une motivation incertaine, des problèmes de sécurité importants, des preuves insuffisantes sur l’ efficacité des injections préconisées et de mauvaises priorités” , a également déclaré vendredi le Dr David Wiseman , qui a dirigé les essais sur l’innocuité du vaccin COVID-19 de Johnson & Johnson. . « Si la FDA ne peut pas nous garantir la sécurité de deux doses, comment peut-elle le faire pour trois ? Nous voyons des signaux forts de décès – infarctus du myocarde et coagulopathie – qui nécessitent une enquête transparente. »
Wiseman a noté qu'”aucune étude sur le cancer n’a été réalisée” pour les vaccins à ARNm développés par Pfizer et Moderna, un problème mis en évidence par le médecin de l’Idaho Ryan Cole, qui a signalé plus tôt cette année une ” multiplication par 20 des cancers de l’endomètre” chez les patientes vaccinées. “Moderna a déclaré que son vaccin était un produit de thérapie génique”, a déclaré Wiseman. « Pourquoi la FDA n’exige-t-elle pas des études sur le cancer et autres sur cinq à 15 ans conformément à ses directives sur la thérapie génique ? »
L’expérience de vaccination ratée d’Israël
Les présentateurs à la réunion de la FDA la semaine dernière ont souligné à plusieurs reprises les problèmes entourant la campagne israélienne de rappels COVID-19, que Pfizer a utilisée pour justifier le déploiement d’injections de rappel aux États-Unis.
L’expert israélien en soins de santé, le Dr Retsef Levi, professeur à la MIT Sloan School of Management, a décomposé les échecs de la politique israélienne des injections de rappel, affirmant que le programme était « tout sauf une étude soigneusement conçue ».
« En moins de six semaines, Israël est passé de son intention initiale de vacciner la population de plus de 60 ans à celle de vacciner toute personne de plus de 12 ans, et il est maintenant sur le point de rendre obligatoire la vaccination de rappel pour que quiconque veut conserver le statut de passeport vert . Il a dit. « Cela ne permet aucun apprentissage fiable – certainement pas en si peu de temps. »
« Israël continue d’avoir l’un des taux d’infection par habitant les plus élevés au monde », a ajouté Levi, qui a précédemment identifié une augmentation « préoccupante » des crises cardiaques chez les jeunes israéliens à la suite de la campagne de vaccination de masse du pays. « Les décès dus au COVID-19 en Israël, malgré tous les rappels, sont en augmentation, alors que dans d’autres pays, y compris de nombreux états des États-Unis, ils semblent avoir tendance à baisser pour le moment. »
Les données d’Israël le mois dernier ont révélé que 31% des personnes ayant reçu des injections de rappel de Pfizer ont signalé des effets indésirables, avec 1% nécessitant une hospitalisation. Les « sujets entièrement vaccinés » ont représenté la plupart des cas de COVID-19 et des hospitalisations en Israël lors de la propagation de la variante delta moins mortelle.
Les non vaccinés « plus familiers » avec la science des vaccins
Au milieu de graves lacunes dans les données scientifiques sur les vaccins COVID, un expert, le Dr Joseph Fraiman, a déclaré vendredi que les hésitants au vaccin sont souvent «plus conscients» de leurs risques.
“Je sais que beaucoup pensent que les hésitants au vaccin sont stupides ou simplement mal informés”, a déclaré Fraiman, un médecin urgentiste de la Nouvelle-Orléans. « Ce n’est pas du tout ce que j’ai vu. En fait, généralement, indépendamment du niveau d’éducation, les hésitants vis-à-vis des vaccins que j’ai rencontrés aux urgences sont plus familiers avec les études sur les vaccins et plus conscients de leur propre risque de COVID que les vaccinés. »
« Par exemple, beaucoup de mes infirmières ont refusé le vaccin malgré le fait qu’elles ont vu le COVID-19 causer plus de décès et de dévastations que la plupart des gens. Je leur ai demandé : « Pourquoi refuser le vaccin ? Elles m’ont dit alors qu’elles ont vu de première main les dangers du COVID chez les personnes âgées, les obèses, les diabétiques, et pensent que leur risque est faible. Elles n’ont pas tort.
Une infirmière, a-t-il dit, « m’a demandé si je peux lui assurer que les études ont révélé que son risque de dommages graves dus au vaccin est inférieur à son risque d’hospitalisation ? La vérité est que je ne peux pas », a déclaré Fraiman. « Nos tests n’étaient pas effectués sur une assez grande échelle. Ils n’étaient pas encore assez importants pour confirmer que les vaccins sont à l’ origine de la myocardite . Maintenant, nous savons qu’ils le sont.
Il a ajouté que sans tests sur les rappels (de vaccins) suffisamment importants pour prouver un taux d’hospitalisation réduit, “l’établissement médical ne peut pas désavouer en toute certitude les militants contre le vaccin anti-COVID qui prétendent publiquement que les vaccins nuisent plus qu’ils ne sauvent, en particulier chez les jeunes et en bonne santé”.
« Le fait que nous n’ayons pas les preuves cliniques pour dire que ces militants ont tort devrait tous nous terrifier»

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