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Loué soit Jésus-Christ qui nous aime et nous a lavé de tous nos péchés dans Son sang, Sa paix soit avec vous !
Le suicide est en France la première cause de décès pour les 25-34 ans et la deuxième causes de décès pour
les 15-24 ans. On enregistre chaque année en France par ailleurs, 180 000 tentatives de suicides,
notamment de la part de femmes. Et parmi elles, celles qui ont avortées, certainement veulent-elles ainsi
se punir elles-mêmes. Ceux qui pensent au suicide s’imaginent que leur situation sera forcément moins mauvaise
de l’autre côté de la mort. Mais si elles réfléchissaient, il leur faudrait bien reconnaître qu’ils
n’en savent rien. Et de fait, c’est tout le contraire… qui est vrai. Car le suicide est en soi,
rien d’autre qu’une trappe qui donne tout droit sur l’enfer.. l’enfer éternelle… un abîme de malheurs
infinis, de souffrances sans fin, de haine totale, et à jamais…
Pourquoi? Parce que le suicide est un acte de révolte contre Dieu, source de l’être et de la vie.
C’est comme si on disait à Dieu: “Ce don fabuleux de la vie n’est pas un bien pour moi,
toi qui me le donnes, tu ne sais pas ce que tu fais. C’est une injure à Dieu. C’est une acte de
désespérance en Sa providence, c’est comme si on disait à Dieu: “Tu ne m’aimes pas, tu ne t’occupes pas
 de moi, tu m’as abandonné.” Or, il n’y a pas de plus grand péché que de douter de l’amour de Dieu.
C’est aussi un acte d’injustice vis à vis d’autrui. Car nous ne sommes pas sur la terre pour rien,
 nous avons une mission à accomplir qui est celle d’aimer en vérité et de nous rendre ainsi digne
de partager le bonheur éternelle de Dieu, qui est l’amour, source de la vie. Mes proches, mes parents,
mes voisins, mes amis, ont besoin de moi. Je peux les aider. Telle est ma mission ici-bas.
Et par le suicide, alors on renonce à cette mission, on est injuste vis à vis d’eux, car Dieu
comptait sur moi pour leur manifester Son amour. C’est un acte d’injustice aussi vis à vis de soi-même,
 car le temps qui ne reviendra jamais… nous est donné pour faire notre salut. Il est précieux.
Chaque seconde qui passe me permet de grandir dans la connaissance et l’amour de Dieu,
qui feront mon bonheur éternel ou mon malheur éternel si j’ai utilisé ce temps à faire autres choses
qu’à acquérir cette connaissance et cet amour de Dieu. En me suicidant, je me prive moi-même de
ce bien que Dieu me donnait. Je parle évidemment du suicide et non pas des suicidés.
On connaît l’histoire de cette femme et pleurait, venant trouver le saint Curé d’Ars
pour lui dire que son mari s’était suicidé, et pleurait par qu’elle savait elle que le suicide
 est bien un péché mortel. Et le Curé d’Ars lui annonce cette bonne nouvelle;
son mari finalement est sauvé. Et pourquoi ? Parce que dit-il, il a eu le temps entre le haut
 du pont duquel il s’est jeté et le moment où il est mort dans les flots de la rivière, de se repentir.
De se repentir… car il faut se repentir pour être sauvé. Mais je ne sais pas trop de quoi a le temps
celui qui presse sur la gâchette du revolver posé sur sa tempe avant qu’il ne meure.
 On ne peut donc pas utiliser cette exemple bien connue dans l’Église pour laisser entendre que
le suicide n’est pas aussi grave que cela. Le suicide doit être dénoncé avec la dernière énergie
comme étant un malheur absolu, un péché mortel qui voue comme tous les péchés mortels,
à l’enfer éternelle. Pourquoi? Parce que si on ne fait cela, les personnes psychologiquement
fragiles, alors peuvent se laisser aller à penser que le suicide est une solution possible
à leurs problèmes. Et de fait, on se rend compte statistiquement, que le suicide est contagieux.
Face à l’esprit du monde, à cette culture de la mort qui se répand de plus en plus et notamment
 par le biais des lobby pro-euthanasie, il faut poser cette confiance en Dieu, qui ne nous
 abandonne jamais et qui est asser puissant pour faire tourner toute chose au bien de ceux
qui l’aiment. (Rm 8.28) En effet, dit encore saint Paul, en 1 Corinthien 10.13:
“Il n’y a aucune épreuve qui ne nous survienne sans que Dieu ne nous donne en même temps,
 la force de la porter et le moyen de la tourner à notre plus grand bien.”
En fait, toute épreuve, tout échec, toute humiliation, toute souffrance ici-bas,
n’est permise par Dieu que pour nous donner l’occasion de manifester qui nous sommes,
ce que nous voulons, ce que nous aimons. À nous, de faire tourner l’épreuve en une preuve
 de notre amour pour Dieu. Tu vois Seigneur, j’ai tout pour désespérer mais je crois
que Toi qui a connu aussi le désespoir, Tu en es sorti vainqueur pour que moi si je reste
 uni à Toi dans cette épreuve, je sois moi-aussi vainqueur. Jésus en effet, a connu Lui-aussi
le désespoir. Sur la croix, Il dit: “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi M’as-tu abandonné?”
 Mais Il ne dit pas, Dieu m’a abandonné. Il continue à s’adresser à Dieu pour chercher
la solution à Son problème. “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi M’as-tu abandonné?”
 Au-delà de ce qu’Il pense, de ce qu’Il éprouve, de ce qu’Il vit, Il continue envers et
contre tout, à faire confiance à Dieu. Eh bien, vous qui êtes dans l’épreuve, vous qui êtes
 tentés de désespérer, appelez Dieu, faites-Lui confiance et Il agira. Il prendra votre fardeau
 sur Lui, Il est venu pour ça, Il a porté votre croix afin que vous puissiez par amour pour Lui,
porter la vôtre en raison de Son amour pour vous. Faites-lui confiance. Donnez-Lui votre fardeau.
Si les gens savaient qu’ils vont en enfer… ils changeraient de vie. Il se repentiraient,
ils demanderaient pardon à Dieu de leurs péchés et ils recevraient de Lui la grâce de pouvoir
 comme Lui être victorieux de toute épreuve, de toute souffrance et de la mort elle-même
pour entrer avec Lui glorieux dans l’éternité bienheureuse pour laquelle Dieu nous a fait.
Sa grâce et Sa paix soient avec vous!