Du livre de SVT pour les classes de 2e publié par Nathan (2020), p.235 : l’enfant est invité à oublier la distinction homme/femme pour inventer de nouvelles identités. L’Education nationale détruit l’unité psychologique et morale des enfants.

Un théoricien du genre avoue : « J’ai tout inventé »

Voilà un témoigne qui entame sérieusement la crédibilité des études de genre… L’historien canadien Christopher Dummitt a avoué dans le journal en ligne australien « Quillette » avoir falsifié les conclusions de ses recherches, au service de la théorie du genre.

« Je passais de nombreuses soirées à débattre du genre et de l’identité avec d’autres étudiants – voire avec n’importe qui avait la malchance de se trouver en ma compagnie. Je ne cessais de le répéter : « Le sexe n’existe pas. » Je le savais, un point c’est tout. Parce que j’étais historien du genre », rappelle-t-il en guise de préambule à ses aveux.

« À l’époque, pas mal de gens n’étaient pas de mon avis. Toute personne – c’est-à-dire pratiquement tout le monde – n’ayant pas été exposée à ces théories à l’université avait bien du mal à croire que le sexe n’était globalement qu’une construction sociale, tant cela allait à l’encontre du sens commun. Mais, aujourd’hui, ma grande idée est partout », poursuit-il.

« Aujourd’hui, j’aimerais faire mon mea culpa », annonce-t-il. « Mais je ne me contenterai pas d’être désolé pour le rôle que j’ai pu jouer dans ce mouvement. Je veux détailler les raisons qui me faisaient faire fausse route à l’époque, et celles qui expliquent les errements des socio-constructionnistes radicaux contemporains. J’ai avancé les mêmes arguments qu’eux et je sais qu’ils sont faux. »

Après avoir détaillé ses travaux universitaires et ses méthodes, M. Dummitt reconnaît que son travail était celui d’un militant, et non d’un historien : « J’avais tort. Ou, pour être un peu plus précis : j’avais partiellement raison. Et pour le reste, j’ai globalement tout inventé de A à Z. Je n’étais pas le seul. »

Sa conclusion est une bombe pour ces collègues : « Les erreurs de mon propre raisonnement n’ont jamais été dénoncées – et n’ont en réalité qu’été confirmées par mes pairs. »

Antoine Béllion (Source)