Publié sur YouTube ce mardi 2 novembre 2021, un reportage de CNN a révélé la vente d’une enfant afghane de 9 ans à un homme de 55 ans. On y voit Abdul Malik en train de négocier le prix de sa fille de 9 ans, Parwana. L’accord est finalement conclu à 200.000 afghanis, soit environ 1900 euros. De quoi permettre au reste de la famille de quoi vivre pendant plusieurs mois, car depuis le retour des Talibans au pouvoir, il ne reçoit plus l’aide humanitaire journalière de 2,60 euros qui les faisait tous subsister.

Il faut dire que dans la religion d’Allah, la pédocriminalité n’est pas un péché puisque le comportement de Mahomet l’a légalisée : 

“Dans la religion d’Allah, le mâle n’a tout de même pas tous les droits : « S’il a une petite épouse et qu’elle tète encore sa fille, sa mère ou sa sœur, ou la femme de son frère, son mariage est invalidé et elle devient illicite pour lui. Parce que par cet allaitement, elle est devenue sa fille, sa sœur, sa nièce. Et s’il a deux épouses – une petite et une adulte – et que l’adulte allaite la petite, alors l’adulte devient illicite pour lui parce qu’elle est devenue la mère de sa femme. (Ayatollah Khomeini, Tahrir al-Wassiila, Vol.2, p.248, ISBN 978-1496120663) » … Un musulman peut non seulement épouser sa propre fille née en dehors de son foyer, mais aussi des fillettes, comme Allah l’établit lorsqu’il traite de la répudiation, stipulant que les épouses qui ne sont pas encore pubères sont soumises aux mêmes dispositions que celles qui sont enceintes ou ménopausées (Coran 4.127 ; 65.4). Ce qui s’appelle en pratique « imiter le Prophète », qui épousa Aïcha bint Abou Bakr âgée de six ans, et qu’il déflora âgée de neuf ans. « J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa et neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations sexuelles avec moi. (Boukhari 2.216 ; 5.58,234,236 ; 7.62,64,65,88 ; 41.4915 58.236 ; Mouslim 2547) » Mahomet avait alors 54 ans. Il n’est malheureusement pas rare que pour tenter d’innocenter leur prophète de pédocriminalité, et justifier leur mariage avec des fillettes, des musulmans avancent qu’une fillette peut avoir ses règles dès l’âge de huit ans … comme si cela suffisait à la rendre mature et libre d’engager sa vie !

C’est ainsi qu’au Yémen où la loi autorise le mariage des fillettes dès l’âge de neuf ans, en septembre 2013, Rawan, âgée de huit ans, mourut par hémorragie vaginale la nuit de ses noces avec un homme de quarante ans son aîné. Le père de Rawan avait empoché sa dote, presque 2000 €. Le grand Mufti d’Arabie saoudite déclarait le 24 avril 2012 : « Nos mères et nos grands-mères se sont mariées quand elles avaient à peine 12 ans. Avec une bonne éducation une fille est prête à remplir toutes les tâches conjugales à cet âge. » Ce vice immonde, légalement pratiqué dans nombre de pays musulmans, était interdit par les Romains mille deux cents ans avant la venue de l’islam … Certains musulmans doutent de l’âge réel d’Aïcha lors de son viol, mais rien que ce doute, ne suffit-il pas à disqualifier le modèle des musulmans (Coran 33.21) ? (Extrait de Abbé Guy Pagès, Interroger l’islam, DMM, T 21)”

Voir : Un fillette fait la leçon à Mahomet et aux musulmans

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– (Père de Parwana): Je n’ai pas de travail, pas d’argent, pas de quoi manger. Merci Allah ! Merci aux talibans, ses fidèles serviteurs qui dont régner son ordre. Je n’ai pas le choix, il faut que je vende ma fille. Merci à Allah qui par son prophète a légalisé une telle chose.
– Parwana vit ses derniers instants d’insouciance avec ses frères et sœurs : Maquillage, un jeu de petite fille qui serait anodin si elle n’était pas à quelques minutes d’être vendu à un homme de la cinquantaine.
– (Parwana): Mon père doit me vendre car nous n’avons pas de pain, ni de riz ou de farine. Il doit me vendre à un vieux monsieur.
– (Narratrice): La transaction va se faire ouvertement car c’est une pratique ancestrale en Afghanistan, qui connait aujourd’hui un regain de popularité avec la crise économique. 200 000 afghanis, soi 1900 euros,
une dot pour sauver 7 personnes.
– (père de Parwana): Voilà ton épouse, prends-en bien soin.
(le musulman ‘acheteur’): – Bien sûr que je prendrai soin d’elle.
– (Narratrice): Et la vie d’une petite fille qui rêvait d’aller à l’école est détruite, elle le sait. Mais sa mère accompagne bien fermement Parwana. Dans toutes les régions rurales d’Afghanistan, les exemples se multiplient. Cet autre père va vendre deux filles à 1000 euros chacune.

– (Un autre père Abdul Malik): Ma grande fille ne veut pas y aller, elle pleure tout le temps, j’ai tellement honte
– (Narratrice): Trop de jeunes filles dont la crise humanitaire fait à nouveau de simples valeurs marchandes. Merci à Allah !