15 novembre 2016 – Ceux qui déterminent nos prétendues “valeurs”, en l’occurrence le petit mais puissant groupe de chercheurs, les médias de grande diffusion ainsi que les activistes homosexuels le font en essayant d’imposer d’étranges mythes et d’étranges idées qui ne jouissent d’aucune base scientifique. 

Ces mythes comprennent celui selon lequel les homosexuels sont “nés comme ça”, ne peuvent pas changer et doivent être acceptés pour “qui ils sont”. Par ailleurs, ceux qui revendiquent un genre différent de leur genre biologique, c’est-à-dire les transsexuels qui “se sentent” appartenir à un autre genre que leur genre de naissance, doivent être acceptés en l’état. 

Le public devrait faire abstraction de son intelligence,  du bon sens et avec respect, vouer obéissance collectivement à ces avis “d’experts”. Cependant, ces avis ne sont que de la pure foutaise. 

Nous savons instinctivement qu’ils ne sont pas authentiques ou qu’ils ne méritent pas notre confiance. Cependant, les créateurs de mythes essaient par la force de la loi de nous imposer leurs idioties; ils claironnent que c’est de la “discrimination” que de refuser  d’accepter les mythes comme vérité.  Les juridictions qui ne respectent pas leurs règles sont économiquement sanctionnées, on interdit aux parents de protéger leurs enfants d’horribles lois relatives aux “salles de bains” qui permettent aux hommes d’utiliser les douches et les vestiaires réservés aux femmes. Tout cela, c’est de la fraude basée sur une propagande dépourvue de toute légitimité scientifique.

Cependant, ces mythes ont été détruits par l’explosion de deux bombes dont les répercussions n’ont pas encore été circonscrites par les faiseurs d’opinions. 

Les bombes destructrices de Mythes

Une remarquable étude publiée dans le journal The New Atlantis du 23 août 2016 constitue la première bombe. Le journal, célèbre publication consacrée à la science, à la technologie et à l’éthique, est basé à Washington. Cet article a analysé les évidences scientifiques liées aux questions LGBT publiées dans les journaux scientifiques jusqu’à présent.

L’article était signé par deux éminents universitaires. Le Dr Lawrence Mayer, enseignant de psychiatrie, de statistiques et de bio statistiques à l’Université en Arizona, écrit dans la préface de l’étude qu’il a témoigné dans des douzaines de procédures judiciaires tant au niveau fédéral que local; ceci pour défendre fortement l’égalité et dénoncer la discrimination contre la communauté LGBT. Cependant, le Dr Mayer déclare soutenir sans réserve chaque mot que contient cet article puisqu’il s’agit de la science et de la médecine. Il a aussi déclaré s’être alarmé en apprenant lors de l’analyse des 500 articles scientifiques que la communauté LGBT possède un taux de problèmes de santé mentale disproportionné en comparaison avec le reste de la population. 

L’autre signataire, le Dr Paul McHugh, l’un des meilleurs psychiatres dans le monde. Il a été chef de département de psychiatrie de 1975 à 2001 à l’hôpital Johns Hopkins de Baltimore. Ces hommes de science ont analysé des centaines d’études réalisées par des experts relatives à l’orientation sexuelle et à l’identité du genre dans les domaines des sciences biologiques, psychologiques et sociales. Voici leurs conclusions : 

  • La croyance selon laquelle l’orientation sexuelle est un attribut inné de la nature humaine et biologiquement prédéterminé – que les gens sont “nés comme ça” – n’est pas soutenue par une preuve scientifique
  • La croyance selon laquelle l’identité du genre est un attribut inné et immuable de la nature humaine indépendante du sexe biologique – si bien qu’une personne pourrait être un ‘homme’ emprisonné dans un ‘corps’ de femme ou une femme emprisonnée dans un ‘corps’ d’homme – n’est pas soutenue par une preuve scientifique
  • Seul un nombre limité d’enfants qui ont des pensées ou des comportements atypiques sur le genre continueront dans la même lancée à l’adolescence ou à l’âge adulte. Il n’y a pas de preuve que tous ces enfants devraient être encouragés à devenir des transsexuels, encore moins qu’ils devraient être soumis aux traitements hormonaux ou à la chirurgie. 
  • Les personnes transsexuelles et non hétérosexuelles possèdent des taux de problèmes de santé mentale (anxiété, dépression, suicide), des taux de problèmes d’ordre social et comportemental (abus de substances, violences conjugales) plus élevés que la population globale. La discrimination seule ne justifie pas toute cette disproportion

Dr Lisa Diamond, activiste lesbienne et l’un des grands chercheurs de l’Association Américaine de Psychologie (AAP) a fait exploser la deuxième bombe. Elle est co-auteur du ‘Manuel de l’AAP’ sur la sexualité et la psychologie et l’un des membres les plus respectés de l’AAP. Elle a admis que l’orientation sexuelle était sujette à changement et non immuable. Dr Diamond confirme ainsi que le mythe qui consiste à dire que “les homosexuels ne peuvent pas changer” est actuellement une théorie sans fondement.  Elle a résumé les conclusions pertinentes lors d’une conférence à l’Université Cornell, déclarant que des recherches exhaustives ont démontré actuellement que l’orientation sexuelle comprenant l’attraction, le comportement et l’identité personnelle – est sujette à changement pour les adolescents et les adultes des deux genres. 

Sa déclaration va à l’encontre de la législation en vigueur dans plusieurs états aux États-Unis et en Ontario au Canada où on interdit “la thérapie de conversion” qui cherche à aider les patients expérimentant l’attraction homosexuelle.

Cela détruit également l’argument des activistes homosexuels selon lequel l’orientation sexuelle est “le mouvement des droits civils des temps modernes”. Rien que des balivernes. Le désir sexuel est basé sur des choses différentes de la génétique comprenant principalement les relations personnelles, la culture combinée à d’autres expériences excluant la génétique ou des hormones prénatales. 

De nos jours, la seule chose que nous dit la science c’est que nous sommes nés soit mâle soit femelle

Des idéologies et des mensonges erronés et dangereux, surtout ceux qui amoindrissent et mettent en danger la vie des enfants, devraient être condamnés sans délai. 

Les lois sur l’orientation sexuelle doivent être manifestement réévaluées à la lumière de la vérité procédant des nouvelles découvertes. Nous ne pouvons pas perdre plus de temps sur de telles absurdités. 

Réaction des Activistes homosexuels et des Médias

Les médias mainstream ont ignoré ces bombes. Cependant, la Campagne des Droits des Homosexuels (CDH) ne pouvait pas les laisser porter atteinte à leur présence continue, au montant approximatif annuel de 49 millions de dollars; fruit des contributions qui entretient leur luxueux siège basé à Washington D.C. Plus important encore, elle ne pouvait pas abandonner l’énorme pouvoir et la grande influence qu’elle dispose sur la société – surtout sur les législateurs et les médias. 

La CDH a réagi comme d’habitude lorsque le fondement de leur pouvoir est menacé. C’est-à-dire attaquer, attaquer et attaquer. Dans le cas d’espèce, elle a pris à la gorge le journal The New Atlantis qui les a défiée en exposant les faits réels concernant l’homosexualité. La CDH a publié une critique contre l’étude du journal qualifiant les docteurs Mayer et McHugh d’anti transsexuels notoires et “d’anti LGBTQ”, de promoteurs cherchant à “marginaliser” et à se moquer des gens. Ils les ont accusés  de “déclarations mensongères” couplées “d’interprétations tendancieuses” intentionnelles. 

Cependant, les éditeurs du journal The New Atlantis ne pouvaient pas tolérer les absurdités de la CDH : rien que des mensonges et des distorsions. Dans une publication spéciale intitulée “Mensonges et intimidations de la CDH”, le journal démontre comment la CDH a déformé la récente publication du journal sur l’homosexualité déclarant dans l’introduction que “La plupart des arguments de la CDH est un exercice de distorsion.” Ensuite il aborde ces distorsions de manière détaillée. 

Nous pouvons aussi être certains que la CDH se bat dans les coulisses pour trouver des chercheurs compétents et idéologiquement en phase avec elle pour lancer une étude financée soit par la CDH directement, ou plus probablement par l’un des groupes de fanatiques qu’elle tient en laisse. Ceci afin de remettre en cause l’étude du journal The New Atlantis et celle de l’AAP. Lorsque cette étude sera publiée, probablement dans un an, ce sera avec beaucoup de publicité et une grande couverture médiatique. Elle sera présentée comme “La Vérité.” Cependant, ce sera de la fraude et du mensonge basé sur une méthodologie défectueuse. Comment cela peut-il en être autrement lorsque ces conclusions sont prédéterminées? L’étude sera entreprise uniquement en vue de la propagande et elle ne sera qu’un château de cartes fragile. Les personnes intelligentes et sensées ne devraient pas prendre cette étude au sérieux, car il faut savoir qu’elle ne sera qu’une tentative de pérenniser leur emprise sur la société de la part des activistes homosexuels convaincus.

Source

Une association pour aider à sortir de l’homosexualité : Torrents de vie !

Ci dessous, une proposition pour le recensement en Ecosse de 2021 indiquant 21 choix possibles d’orientations sexuelles, en attendant mieux :