La première force de l’islam ou plutôt sa plus grande ruse a été de faire croire qu’Allah est Dieu, l’unique et vrai Dieu. Mais Allah ne peut pas être le vrai Dieu, le Dieu judéo-chrétien, pour mille et une raisons, dont celle-ci : Le vrai Dieu ne Se contredit pas ! Or, Allah se contredit en affirmant que les Ecritures juives et chrétiennes – qu’il aurait lui-même envoyées – auraient été falsifiées, ce qui justifierait l’envoi postérieur du Coran (Coran 2.59, 75, 79 ; 3.78 ; 4.46 ; 5. 15, 41…). Mais si les Ecritures juives et chrétiennes avaient été falsifiées, cela signifierait alors qu’Allah n’aurait pas été capable de protéger ses propres révélations de toute falsification… Et si Allah n’a pas été capable de protéger ses propres révélations de toute falsification, cela signifie, d’une part, qu’il a ainsi déjà donné la preuve de son incompétence, mais encore qu’il a menti, puisque dans les Ecritures juives aussi bien que chrétiennes Dieu promet que Ses paroles ne passeront pas « L’herbe se dessèche, la fleur se fane, mais la Parole de notre Dieu demeure à jamais. » (Is 40.  ; « Le ciel et la terre passeront, mais Mes paroles ne passeront pas. » (Lc 21.33 ; Ap 22.19-20)… En d’autres termes, si le Coran apporte lui-même la preuve que l’on ne peut pas se fier à la parole d’Allah, le christianisme apporte par contre la preuve que le vrai Dieu ne Se contredit pas puisque les Ecritures chrétiennes contiennent intégralement les Ecritures juives… Ce que tout le monde peut vérifier ! Et donc, si les Ecritures chrétiennes contiennent intégralement les Ecritures juives, cela signifie que la promesse de Dieu que Sa parole ne passe pas s’accomplit dans le christianisme ! Tandis que le Coran ne contient ni les Ecritures juives ni les Ecritures chrétiennes ! Qu’est-ce qui est le plus raisonnable de penser : que Dieu ment et qu’Il n’a pas été capable de garder sa parole, ou bien que l’islam est une imposture, l’Anti-Christ annoncé par Jésus-Christ (Mt 24.4, 11, 24 ; Ga 1.6-9) ? 

Une autre force de l’islam est l’usage de la terreur ! Terreur de l’Enfer promis à tous ceux qui ne sont pas musulmans, à commencer par les chrétiens (Coran 9.113 ; 98.6) ! Un musulman qui a grandi depuis son enfance dans cette croyance que tous les non-musulmans vont en Enfer ne peut évidemment que se réjouir de n’être pas autre chose que musulman ! Terreur ensuite parce que s’il s’avisait malgré cela de quitter l’islam, il mérite d’être mis à mort, ce qui incombe en premier lieu à la famille devant se laver ainsi d’une telle ignominie ! Terreur enfin parce qu’Allah impose de haïr les non-musulmans (Coran 60.4) et de leur faire la guerre (Coran 4.74 ; 8.12, 16 ; 9.39)… Tandis que le christianisme est venu rassembler dans l’unité de la Vérité révélée les enfants de Dieu dispersés (Jn 11.52), l’islam vient détruire cette unité en divisant l’humanité entre musulmans et non-musulmans… Alors que le christianisme a ouvert à l’ensemble de l’humanité l’Alliance conclue entre Dieu et le peuple juif, l’islam, qui ne saurait apporter quelque chose de plus, ne peut exister, comme Satan, qu’en s’opposant, niant et détruisant l’œuvre de Dieu. Sans le judéo-christianisme, en effet, l’islam n’existe pas. C’est pourquoi le conflit avec l’Occident n’est pas prêt de finir, puisque sans lui l’islam ne peut pas exister…

Une autre force de l’islam est d’exalter l’orgueil des musulmans en leur faisant croire qu’ils appartiennent à la meilleure des communautés (Coran 3.110). Puisque c’est Allah qui le dit, cela doit être vrai… Sûrement que de ne pas manger de cochon, faire le ramadan ou chose semblable suffit pour mériter pareille distinction ! A cause de cela, les juifs, eux, ne sont que des « porcs » et des « singes » (Coran 2.65 ; 5.60 ; 7.166), et les chrétiens, « qu’impureté » (Coran 9.28), les « pires de l’humanité » (Coran 98.6), « plus vils que des bêtes » (Coran 8.54). Quant aux autres hommes, ce n’est pas même la peine d’en parler ! 

Ce mépris souverain de tout ce qui n’est pas musulman non seulement enferme les musulmans dans l’ignorance de tout ce qui leur est étranger, c’est ainsi que lire la Bible est œuvre impie, mais encore leur donne tous les droits sur ce qui n’est pas musulman. Qui pourrait en effet se justifier de respecter ce qui n’est « qu’impureté » et qu’Allah a de toute façon voué à l’Enfer ? C’est cette croyance démoniaque qui commande à des bandes de mettre à feu nos banlieues parce que l’un des leurs, nécessairement irréprochable et supérieur aux habitants d’un pays non-musulman et de ses lois, à eu maille à partir avec la police… 

Une force encore de l’islam est sa légitimation, au nom d’Allah, des actes les plus bas de la nature humaine, tel la fornication, institutionnalisée en polygamie, qui, bien qu’apparemment limitée à quatre femmes, n’a pas véritablement de limite, puisque la répudiation est aussi légitimée, et qu’il est donc possible de changer de femme autant de fois que l’on veut. La pédo-criminalité est elle-même institutionnalisée selon l’exemple que Mahomet en a donné en couchant avec Aisha âgée de 9 ans ! En comparaison, étant donné les exigences de sainteté de l’enseignement et de la vie du Christ n’ayant rien pour flatter la bassesse et les péchés des hommes (non-violence, amour des ennemis, esprit de pauvreté, chasteté…) la survie et l’expansion du christianisme tiennent vraiment du miracle…

Mais la plus grande force de l’islam est sans aucun doute l’apostasie généralisée et en conséquence les divisions des chrétiens. La perte de la Foi les empêche de voir dans l’islam, annoncé par Jésus, l’Anti-Christ « qui ne vient que pour voler, tuer et faire périr » (Jn 10.10) : « Vient un temps, disait Jésus, où ceux qui vous tueront penseront rendre un culte à Dieu. Et cela, ils le feront pour n’avoir reconnu ni le Père ni Moi. » Ce qui est tout à fait le cas de l’islam qui ne reconnaît pas les Personnes divines et croit que tuer au nom de Dieu est un commandement divin. (Jn 16.2-3. Cf. : http://www.postedeveille.ca/2009/07/somalie.html ). Ce qui est tout à fait le cas de l’islam qui refuse sainte Trinité. L’apostasie des chrétiens engendre à son tour les lâchetés et les compromissions face, à l’islam, des élites occidentales, tant religieuses que politiques. 
Que celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende !