Sujet de la session de travail : Tolérance et non-discrimination, incluant l’égalité des hommes et des femmes dans tous les aspects de la vie, notamment par la promotion de l’égalité de genre, et la prévention de la violence contre les femmes.

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Sous prétexte d’égalité, l’idéologie du gender fait croire que chacun serait libre de choisir son orientation sexuelle indépendamment de son sexe biologique, ce qui conduit entre autres perturbations psychiques, à un fort taux de suicides, la paix étant le fruit de l’unification de la personnalité et non pas de son éclatement. De même que personne n’a choisi d’exister, personne ne peut choisir sa sexualité. Que si quelqu’un pense pouvoir choisir son orientation sexuelle, qu’il se demande pourquoi il n’a pas choisi d’exister, et pourquoi les femmes produisent un lait différent selon qu’elles sont enceintes d’un garçon ou d’une fille… Et parce qu’être homme ou femme est pareillement merveilleux, il n’y a aucune raison de vouloir être l’un plus que l’autre, et donc de ne pas vouloir assumer l’être reçu, que la physiologie manifeste de façon évidente. La théorie du gender est une révolte de plus contre notre Créateur.

L’éducation nationale représente évidemment un enjeu majeur pour l’enseignement d’une sexualité vraiment humaine, mais aussi pour celui de sa perversion. Or, aujourd’hui l’Organisation Mondiale de la Santé elle-même, dans sa brochure « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe » (https://www.sante-sexuelle.ch/wp-content/uploads/2013/11/Standards-OMS_fr.pdf) préconise « d’informer l’enfant » de 0-à 4 ans sur « la satisfaction lié à la masturbation enfantine précoce (…), les sensations liées à la sexualité (…), les mécanismes de la reproduction ». De 0-à 4 ans ! De 6 à 9 ans, il faudrait informer les enfants sur : « les connaissances de base en matière de contraception » ! De 9 à 12 ans, sur « les symptômes de la grossesse », comme s’il s’agissait d’une maladie ! Dans tous ces textes, aucun lien n’est fait entre amour, famille et sexualité… Malheureusement, le Ministère de l’Éducation nationale française s’est empressé d’intégrer ces préconisations, comme le montre ses sites internet CANOPE (https://www.reseau-canope.fr/mentions-legales.html),[1] et EDUSCOL (http://eduscol.education.fr/cid105371/les-acteurs-de-l-education-a-la-sexualite.html). Ce dernier, par exemple, présente une série webTV intitulée PuceauX, qui présente comme normales les premières relations sexuelles vers 14 ans et les y encourage implicitement. Il fait la promotion de la masturbation et de différentes pratiques sexuelles, vaginales, buccales ou anales à destination de jeunes adolescents. Des conseils surréalistes concernant la fellation sont donnés[2]. Un autre de ses sites onsexprime.fr invite les adolescents à imprimer des figurines reproduisant des positions sexuelles. L’anus y est présenté comme un organe sexuel, qu’il s’agit de dilater avant toute pénétration, notamment avec un sex-toy. On y apprend aux jeunes la sexualité transactionnelle, c’est-à-dire le fait d’échanger des attentions sexuelles contre de l’argent ou autre chose, et aussi la pratique de l’anulingus, défini comme la stimulation de l’anus avec la langue et la bouche.

Je pourrais malheureusement continuer cet inventaire de documents censés être éducatifs, publiés sous l’égide des Ministères français de la Santé et de l’Éducation nationale. Chacun peut se rendre compte que s’ils favorisent l’égalité des genres, c’est à la condition de faire disparaître toute moralité, et donc toute humanité.[3] (http://inpes.santepubliquefrance.fr/CFESBases/catalogue/pdf/1759.pdf, p.18) A l’évidence, ils ne relèvent ni de l’objectif légal d’information, ni de l’apprentissage à la maîtrise de soi que suppose le véritable amour, mais du droit pénal, étant une véritable entreprise de corruption de mineurs, livrés à la possible perversité d’adultes.

L’association Salut et Miséricorde demande que le BIDDH dénonce ces honteuses directives de l’OMS, ainsi que l’Institut Kinsey, l’IPPF et le SIECUS qui promeuvent cette pseudo libération sexuelle. Aucune de ces entités n’a de légitimité éducative pour devoir être prise au sérieux par qui que ce soit ayant encore un peu de sens moral.[4]

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[1] Plusieurs sites figurent dans la sitographie du ministère de l’Education nationale comme autant d’outils d’éducation à la sexualité : « Agence nationale de santé publique : inpes.santepubliquefrance.fr ; www.onsexprime.fr ; Association de lutte contre le sida (AIDES) : www.aides.org ; Association pour l’éducation sanitaire et le don solidaire à l’Éducation nationale (ADOSEN – Prévention santé MGEN) : adosen-sante.com ; Centre régional d’information et de prévention du sida (CRIPS) : www.lecrips.net
Centre francilien Hubertine Auclert pour l’égalité Femmes-Hommes : www.centre-hubertine-auclert.fr/
Le planning familial : www.planning-familial.org ; Sida Info Service: www.sida-info-service.org
Sidaction : www.sidaction.org ; Stop-violences-femmes.gouv.fr
http://eduscol.education.fr/cid46863/bibliographie-et-sitographie.html
Pièce n° 3 EDUSCOL sitographie : L’IREPS Bretagne ; L’Institut National de la Jeunesse et de l’Education Populaire (Injep) ; Le Centre Universitaire de Recherches sur l’Action Publique et le Politique, Epistémologie et Sciences Sociales ; L Pièce n° 4 onsexprime.fr La Chaire santé sexuelle et droits humains de l’Unesco ; http://www.onsexprime.fr/Pages-satellites/Qui-sommes-nous ;
[2] Plusieurs pétitions et articles sur internet ont fait état de ce que ce site décrivait « des pratiques marginales comme le tribadisme avec force détails ». Le site wikipedia définit le tribadisme comme « une pratique sexuelle lesbienne qui consiste :  « à se frotter mutuellement la vulve, le clitoris, afin d’obtenir, par le frottement, du plaisir, voire l’orgasme ; à obtenir le plaisir et l’orgasme par le frottement contre une cuisse, contre un sein, contre l’os pubien, contre un pied, etc. ». Si cette entrée n’existe plus, elle n’en a pas moins existé sur ce site promu par le Ministère de l’Education nationale et le ministère de la Santé.
[3] Le ministère de l’Education nationale promeut également comme outil d’éducation à la sexualité le site du CRIPS, Centre régional d’information et de prévention du sida. (http://eduscol.education.fr/cid46863/bibliographie-et-sitographie.html) Le CRIPS est associé au Conseil Régional d’Ile-de-France et a pour mission d’informer les lycéens sur la sexualité. Une bande dessinée destinée aux 13-18 ans, on ne peut plus explicite, y présente des sexes masculins en érection, des rapports sexuels explicites, y encourage la masturbation seul ou à plusieurs, encourage tout simplement les adolescents à avoir des relations sexuelles selon leurs envies, sans aucune autre forme d’éducation morale ou sentimentale. En page 42, il est précisé que « dans la vie il est important de faire ce qu’on veut quand on veut. Dans la sexualité c’est pareil ; alors laissez libre court à votre imagination ».  Le nomadisme sexuel y est présenté comme absolument normal. En page 35, il est précisé, s’agissant de la sexualité : « A quoi ça sert ? C’est avant tout du plaisir (surligné en rouge) ; ça sert aussi à faire des enfants mais on en parlera plus tard (sic) ». http://ecoleetsexe.fr/wp-content/uploads/2017/01/4357la-sexualite-et-nous_reduit.pdf La-sexualite-et-nous est une bande dessinée tellement choquante, qu’elle a été récemment supprimée du site du CRIPS après avoir cependant été proposée comme support pédagogique.
[4] Des pétitions ont été lancées, regroupant des dizaines de milliers de signatures. http://www.citizengo.org/fr/41457-fermeture-immediate-plateforme-onsexprimefr Pièce n° 10 pétition éducation sexuelle CitizenGO.  https://www.nouvelobs.com/societe/20180824.OBS1279/baby-loup-la-france-condamnee-a-l-onu-pour-discrimination-envers-les-femmes-musulmanes.html
http://www.medias-presse.info/virginie-vota-met-en-garde-leducation-sexuelle-a-lecole-va-t-elle-conduire-a-legaliser-la-pedophilie/97100/ ; https://www.youtube.com/watch?v=NjAunurjtvw

The OSCE english translation 

Plus d’info : http://ecoleetsexe.fr/

Appel à la résistance

Farida Belghoul propose que les parents se rendent présents lors des cours “d’éducation sexuelle” imposés à leurs enfants par la prétendue Education nationale. https://www.youtube.com/watch?v=b5llbMWx2hc&t=882s

Le lien vers la vidéo originale

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Voici un document disponible sur le site de l’académie de Grenoble et dont l’objectif est d’« aider à aborder le thème de la sexualité aux niveaux grande section et CP ». Il ne figure pas au programme officiel, mais est conseillé aux instituteurs comme « prioritaire » parmi les « ressources pédagogiques ».

Un théoricien du genre avoue : « J’ai tout inventé »

Voilà un témoigne qui entame sérieusement la crédibilité des études de genre… L’historien canadien Christopher Dummitt a avoué dans le journal en ligne australien « Quillette » avoir falsifié les conclusions de ses recherches, au service de la théorie du genre.

« Je passais de nombreuses soirées à débattre du genre et de l’identité avec d’autres étudiants – voire avec n’importe qui avait la malchance de se trouver en ma compagnie. Je ne cessais de le répéter : « Le sexe n’existe pas. » Je le savais, un point c’est tout. Parce que j’étais historien du genre », rappelle-t-il en guise de préambule à ses aveux.

« À l’époque, pas mal de gens n’étaient pas de mon avis. Toute personne – c’est-à-dire pratiquement tout le monde – n’ayant pas été exposée à ces théories à l’université avait bien du mal à croire que le sexe n’était globalement qu’une construction sociale, tant cela allait à l’encontre du sens commun. Mais, aujourd’hui, ma grande idée est partout », poursuit-il.

« Aujourd’hui, j’aimerais faire mon mea culpa », annonce-t-il. « Mais je ne me contenterai pas d’être désolé pour le rôle que j’ai pu jouer dans ce mouvement. Je veux détailler les raisons qui me faisaient faire fausse route à l’époque, et celles qui expliquent les errements des socio-constructionnistes radicaux contemporains. J’ai avancé les mêmes arguments qu’eux et je sais qu’ils sont faux. »

Après avoir détaillé ses travaux universitaires et ses méthodes, M. Dummitt reconnaît que son travail était celui d’un militant, et non d’un historien : « J’avais tort. Ou, pour être un peu plus précis : j’avais partiellement raison. Et pour le reste, j’ai globalement tout inventé de A à Z. Je n’étais pas le seul. »

Sa conclusion est une bombe pour ces collègues : « Les erreurs de mon propre raisonnement n’ont jamais été dénoncées – et n’ont en réalité qu’été confirmées par mes pairs. »

Antoine Béllion (Source)