Qu’est-ce que l’islam, au dire même de ses savants ?
Pourquoi les hommes politiques occidentaux ne veulent-ils pas écouter ce que ces derniers disent eux-mêmes de l’islam, et qui va à l’encontre des intérêts évidents des sociétés dont ils ont la charge ?

La deuxième vidéo ci-dessous ayant été interdite sur Youtube, nous lui avons donné le nouveau titre ci-dessus :

Cette vidéo a été interdite sur Youtube… :

Google censure des sites tel Jihad Watch pour promouvoir une vision édulcorée du djihad et de l’islam

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Le djihad pour imposer l’islam à l’humanité

Le djihad est bien ce qu’il est et non pas ce que tentent de nous faire croire les ignorants de l’islam et les adeptes de la Taquiyya: c’est la lutte pour imposer l’islam, par tous les moyens.

Les bien-pensants nous disent que les djihadistes représentent une minorité de gens qui entachent la réputation des musulmans qui seraient, selon leurs dires, épris de justice, d’amour, de paix et de tolérance. Les musulmans, par leurs imams, prétendent que leur religion n’incite pas à la guerre, mais à la paix. Comment savoir si ce qu’ils disent est vrai, ou si c’est une énième tentative de Taquiyya? La solution est encore une fois à chercher dans la littérature islamique, principalement dans les interprétations qui ont été faites du livre qui est la base du dogme, le coran. 

La vocation de l’islam a la suprématie mondiale telle qu’elle est inscrite dans le coran [1] impose aux musulmans une guerre continuelle contre tous les infidèles. Une guerre devenue un acte de foi et un impératif non négociables, comme tout le contenu du coran. Cet ordre fait partie, au même titre que les cinq piliers de l’islam, de ce qui est appelé en arabe le “Fardh kifaya”, l’Ordonnance divine. C’est une obligation qui s’impose à l’ensemble de la Oumma, la communauté des croyants.

Par cette ordonnance, le coran commande aux musulmans de conquérir et d’asservir l’ensemble de l’humanité. En conséquence, le vrai musulman doit contribuer à cette conquête du monde imposée, que ce soit par le djihad “passif” (financer ou aider les djihadistes actifs, leur fournir les supports stratégiques, les refuges, etc) ou par le djihad actif, ou djihad guerrier.

La violence contre les infidèles devient ainsi l’essence-même du culte et, puisqu’elle est justifiée par des dizaines de versets coraniques dans lesquels on retrouve le verbe “qatala” (tuer) appliqué aux kuffar (infidèles), ce djihad s’en trouve ainsi justifié physiquement et surtout moralement. Même et surtout quand ce djihad s’apparente à un acte de pure sauvagerie aux yeux des non-musulmans et de certains musulmans pacifiques. Le musulman y trouvera aussi une justification théologique et un encouragement au “sacrifice”, dont voici les principaux “avantages”, tels qu’ils ont été listés par les ulémas (savants musulmans):

– Le djihad est le chemin le plus court pour aller au paradis d’Allah.
– Aucune action n’équivaut à l’acte de djihad.
– Tout sera pardonné au djihadiste à la première goutte de son sang.
– Il échappe au châtiment de la tombe (il accède directement au paradis d’Allah. Le châtiment de la tombe est pour le musulman une source de grande terreur et de grande frayeur).
– Il échappe à la grande crainte du jugement dernier (autre grande hantise des musulmans).
– Une couronne d’honneur sera placée sur sa tête, une manière de le distinguer au paradis d’Allah comme étant un être supérieur.
– Il intercédera pour 70 membres de sa famille.

A noter que la définition du djihad comme étant d’abord un combat et une guerre à mener, est validée à l’unanimité par les exégètes et qu’en conséquence, ceux qui prétendent que le djihad guerrier est un djihad inférieur nous mentent effrontément. La meilleure preuve qu’on puisse produire à propos du djihad guerrier est de reproduire les définitions qu’en ont donné les quatre écoles du fiqh (jurisprudence) du sunnisme, qui représente 84% de l’ensemble des musulmans du monde (le chiisme en représente 14% et le 1% restant sont ce que le sunnisme désigne comme “sectes”: kharijites, qadarites, alévites, ahmadis, etc (un hadith rapporte qu’il y aura en islam 73 sectes qui finiront en enfer):

– 1 Jurisprudence hanafite
Le djihad signifie être impliqué dans le combat dans la voie d’Allah avec sa personne, ses richesses et sa parole. Il signifie encore appeler les incroyants vers la vraie religion de l’islam et à lutter contre eux, s’ils sont peu disposés à accepter cette religion véridique. Il n’est pas licite de faire la guerre contre quiconque n’a jamais été appelé à adopter la foi sans préalablement leur enjoindre de le faire, car c’est une instruction donnée par le prophète à ses commandants, leur ordonnant d’appeler les infidèles à adopter la foi et également pour que les gens sachent bien qu’ils sont attaqués au nom de la religion et non pour s’emparer de leurs biens, ou pour faire de leurs enfants des esclaves […]. Si les infidèles, en entendant l’appel, ne consentent ni à l’adopter, ni à payer la djizia [impôt de capitation], il appartient alors aux musulmans de demander l’aide d’Allah et de leur faire la guerre, car Allah assiste ceux qui le servent et détruit leurs ennemis, les infidèles. Il est indispensable d’implorer son aide à chaque occasion. Ce d’autant plus que le prophète nous ordonna de pratiquer de la sorte.

– 2 Jurisprudence hanbalite
Le djhad signifie lutter contre les incroyants. Étant donné que la guerre licite est essentiellement le djihad et que son objectif est de faire en sorte que la religion devienne universellement celle d’Allah et que la parole d’Allah soit ultime, de l’avis de tous les musulmans, ceux qui y font obstacle doivent être combattus. Quant à ceux qui ne peuvent opposer de résistance, tels que les femmes, les enfants, les moines, les vieillards, les aveugles, les handicapés et autres, ils ne seront pas tués à moins qu’ils ne luttent par leur parole et leurs actes.

– 3 Jurisprudence malikite
Les musulmans doivent combattre les kuffar pour faire progresser la religion d’Allah. Le djihad est un ordre, une obligation. Celui qui le nie est un kafir. L’obligation du djihad a été clairement étayée dans le coran et la sunna et par consensus de la Oumma. Le djihad est une institution divine. Sa mise en œuvre par certains peut en dispenser d’autres. Nous affirmons qu’il est préférable de ne pas entamer les hostilités contre l’ennemi avant de l’avoir invité à adopter la religion islamique, excepté lorsque l’ennemi attaque le premier. Il a le choix entre se convertir à l’islam et payer la jizya. Sinon, la guerre lui sera déclarée.

– 4 Jurisprudence shafiite
La signification du djihad donnée par la Charia est de faire le plus grand effort dans le combat dans la voie d’Allah. Les infidèles du domaine de la guerre [dar al-harb, “maison de la guerre”] sont de deux sortes: premièrement, ceux que l’appel de l’Islam a atteint, mais qui l’ont rejeté et ont pris les armes. [Le dirigeant musulman] a la faculté de les combattre […] de la manière qu’il juge la plus profitable pour les musulmans et la plus préjudiciable pour les kuffar […]. Deuxièmement,  ceux que l’appel n’a pas encore atteint: il est interdit de les attaquer avant de les avoir invités à l’Islam[…]. S’ils refusent l’appel, la guerre leur sera déclarée.

Un impératif incontournable: le musulman doit en premier lieu “inviter le kafir à l’islam”. C’est la condition fixée par le coran avant de déclarer la guerre. Mais de nos jours, à part peut-être quelques tribus isolées d’Amazonie, il n’y a pratiquement plus personne sur terre qui n’ai jamais entendu parler de l’islam. Donc pour les musulmans, cet appel à la conversion a été “entendu” par toute l’humanité et ils ne sont plus tenus de le renouveler avant de déclarer le djihad. Cette injonction coranique est devenue l’argument des musulmans pour dire que l’islam ne déclare jamais la guerre. Car pour l’islam, le fait de refuser cet appel équivaut à un acte de déclaration de guerre de la part de l’infidèle. Simple comme bonjour: “En n’étant pas d’accord avec moi et en n’acceptant pas le message d’Allah, tu m’as déclaré la guerre, je suis obligé de me défendre”.

On peut donc raisonnablement conclure qu’il y a dans le monde au moins 1,26 milliard de personnes (je ne parle que des sunnites, qui représentent 85% des musulmans, car j’ignore presque tout des particularités des chiites, environ 14%) à qui le dogme demande de prendre les armes contre tous les autres groupes humains, y compris les autres Gens du Livre: chrétiens et juifs. C’est ce qui doit également justifier la guerre incessante que se livrent le sunnisme et le chiisme, depuis 14 siècles. Ce qui ne veut pas dire que tous les musulmans sont prêts à faire le djihad, mais les prescriptions sont là, bien claires et sans équivoque et répétées des dizaines de fois dans le coran.

La  démonstration est faite: le premier sens à donner au mot djihad est bien celui de guerre à mener contre tous les non-musulmans, jusqu’à ce que se réalise l’injonction coranique des versets 2:193 et 8:39: “que la religion soit à Allah et à Allah seul”. Une guerre magnifiée par l’acte suprême, celui du sacrifice de soi. L’islam interdit le suicide mais il glorifie le sacrifice pour la cause d’Allah (“fi sabil Allah”, dans le chemin d’Allah) Il transforme en martyr (chahid) celui qui se tue en emportant avec lui des kuffar, hommes, femmes ou enfants. C’est le sens du sermon de Hani Ramadan, frère moins médiatisé de Tariq: “Ce principe, c’est que nous devons aimer la mort comme eux aiment la vie. La mort dans la voie d’Allah est notre désir suprême“. .

Ce qui constitue un véritable appel au djihad, mais qui est presque passé inaperçu.

On peut donc déduire que l’islam a déclaré la guerre au reste de l’humanité et que les musulmans sont prisonniers de cette déclaration de guerre: en tant que croyants, ils sont tenus au djihad s’ils veulent un jour espérer rejoindre le paradis d’Allah. Dans le domaine de la guerre, leurs obligations sont de convertir tous les humains à l’islam ou de les tuer, avec une “variante” pour les chrétiens et les juifs, qui ont la possibilité de ne pas accepter l’islam sans être mis à mort, à condition de signer le pacte de dhimma qui fera d’eux des sous-êtres, des esclaves de l’islam qui devront en outre “payer les taxes de djizia (impôt de capitation) et de kharaj (impôt foncier dû uniquement par les dhimmis) en s’humiliant“.

L’islam est un dogme dont le but final est l’instauration de sa suprématie sur terre. Tout ce qui peut remettre en cause cette suprématie sera immédiatement interprété par les musulmans comme une attaque directe contre leur foi. Les actes djihadistes sont la conséquence inévitable de cette foi qui a pour leitmotiv la haine de tous les non-musulmans et l’incitation à les combattre, à combattre leurs idées, qualifiées péremptoirement de fausses par le coran. Car l’islam est pour le coran le seul détenteur de la Vérité et ses adeptes ont pour devoir de l’imposer au reste de l’humanité, de gré ou de force. Le prix du paradis d’Allah.

La charia en Occident, à petites doses

Il y a plus de 80 versets qui imposent aux musulmans d’imiter Mahomet. Il est donc de leur devoir de conquérir de nouveaux territoires, comme il l’a fait de son vivant et comme l’ont fait ses successeurs, particulièrement les trois premiers califes Abou Bakr, Omar ibn al-Khatab et Othman ibn Affan, tous trois compagnons de Mahomet. Par conséquent, chaque musulman a le devoir d’apporter la charia dans le pays d’accueil et de contribuer à son islamisation.

Bien entendu, même si l’islam incite à la haine et au meurtre, tous les musulmans ne sont haineux et ne sont pas des assassins. Mais qui peut garantir qu’ils ne représentent pas un danger et qu’ils ne sont pas, comme l’a dit Ferhat Mehenni (du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie – MAK), des islamistes au repos: “L’islam c’est l’islamisme au repos et l’islamisme, c’est l’islam en mouvement. C’est une seule et même affaire?

Qui peut être sûr que son voisin, peut-être son ami, n’est pas un futur djihadiste qui ira se faire exploser “pour la gloire d’Allah”, entraînant avec lui des victimes innocentes? C’est la question qui se pose désormais à l’Occident, d’autant qu’il a ouvert ses portes à toutes sortes de prétendus réfugiés, des centaines de milliers de personnes qui déclarent fuir la guerre mais qui sont à 75% des hommes visiblement bien portant et en âge de combattre. Les enquêtes et sondages faits en Europe [2] concernant les musulmans le démontrent, ils ne veulent pas s’intégrer à la société occidentale. En outre, ils utilisent la démocratie pour faire avancer leurs idées [leur “agenda”] par étapes, de manière très progressive, en imposant à petites doses les composantes de la charia. Au détriment de nos libertés.

On peut également douter de la loyauté de la majorité des musulmans envers les Nations occidentales dans lesquelles ils vivent. Par exemple, plusieurs sites sunnites “modérés” occultent totalement ce sujet et relaient le même message: “le devoir des musulmans envers la société dans laquelle ils vivent se limite à “être de sincères prédicateurs de leur religion. Ils se doivent de garder à l’esprit qu’inviter autrui à l’islam n’est pas un devoir exclusivement dévolu aux savants et aux sheikhs“. Point à la ligne

Ce qui a le mérite d’être très clair et raffermit le sentiment selon lequel il n’y a de loyauté pour un musulman qu’envers Allah et envers la Charia. Sentiment au demeurant très logique pour au moins deux raisons complémentaires: la charia et la démocratie sont antagonistes et incompatibles et, pour tout musulman qui se respecte, le coran et la sunna prévalent sur toutes les lois humaines, à fortiori sur les lois des kuffar.

Ce refus de se conformer aux lois humaines se manifeste dans beaucoup de domaines, notamment dans l’attitude de la majorité des musulmans sur les problèmes liés à la laïcité et à l’égalité entre hommes et femmes. Les États occidentaux ont déjà beaucoup trop cédé sur le sujet, par exemple en fermant les yeux sur la polygamie et sur l’excision des gamines (phénomène encore assez rare, mais bien présent dans de nombreux pays d’Europe, dont l’Angleterre, la France, la Belgique, l’Allemagne, …), des pratiques moyenâgeuses intolérables en Occident comme ailleurs.

Un refus des lois européennes qui instaure un climat nocif peu propice à la paix sociale et qui prend des tournures symboliques et conflictuelles par exemple en France, avec la loi sur le voile. D’une part, de l’aveu des policiers, il est quasiment impossible de faire appliquer cette loi et d’autre part, certains musulmans ont saisi l’opportunité d’affirmer d’une certaine manière la supériorité de l’islam sur les lois républicaines et se servent de ce symbole pour défier l’État français et appeler à la désobéissance civique.

Un sondage effectué en février 2015 par un organisme allemand début 2015 révèle que 73,2% des musulmans de France, 73,1% des musulmans d’Autriche, 70% des musulmans des Pays-Bas et 69,6% des musulmans de Belgique considèrent “les règles islamiques plus importantes que les lois” Source Le Soir La moitié des musulmans belges fondamentalistes? (infographie) .

Les lois d’Allah prévalent donc bien sur les lois des hommes. C’est ce qui est répété dans toute la littérature islamique, c’est la base du fiqh, la jurisprudence islamique. C’est ce qui est enseigné dans les mosquées, pas seulement dans les mosquées cataloguées “salafistes”. Des mosquées qui exposent aussi à la vente les oeuvres des grands ulémas (savants musulmans) tels Tabari, ibn Ishaq, al-Qurtubi, ibn Hichem, Bukhari ou encore Youssef al-Qaradawi. Ces livres sont, avec le coran, la base de l’enseignement qu’on dispense aux enfants, en Orient comme en Occident. Ils sont donc bien la référence de tous les musulmans sunnites, absolument tous, qu’ils vivent dans les pays musulmans ou en Occident. Ce sont aussi ces livres qui me servent dans la rédaction de mes posts. Dans certains pays comme l’Indonésie, le Qatar, le Maroc ou la Turquie “laïque”, on les retrouve en tête de gondole des librairies aux côtés de Mein Kampf: il y a bien des signes qui ne trompent pas.

La charia et la démocratie sont antagonistes et incompatibles, mais on fait semblant de croire le contraire, de croire que l’illusoire “islam à la française” ou “islam à l’occidentale” est possible.

Vidéo de Brother Rachid: FIN DES TEMPS Mensonge & Verité ISLAM Terrorisme

[1] Les versets du “suprémacisme”:

– verset 2:193 Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes.

– verset 8:39 Et combattez-les jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’association, et que la religion soit entièrement à Allah. Puis, s’ils cessent (ils seront pardonnés car) Allah observe bien ce qu’ils œuvrent.

– verset 9:33 C’est Lui qui a envoyé Son messager avec la bonne direction et la religion de la vérité, afin qu’elle triomphe sur toute autre religion,  quelque répulsion qu’en aient les associateurs.

Voici la définition de suprémacisme selon Wikipédia: “Le suprémacisme est une idéologie qui affirme qu’une race, un sexe, une classe, une civilisation, une culture, une langue, une religion ou autre système de croyance, etc. est supérieure aux autres et doit dominer, ou est en droit de le faire. C’est ainsi une notion qui réunit toutes les formes particulières de croyances en la domination d’une catégorie d’êtres sur les autres, simplement parce que l’on appartient, ou est censé appartenir, à cette catégorie, réelle ou supposée. Le suprémacisme se traduit ainsi dans la pratique par une classe privilégiée et à d’autres qui sont discriminées”.
Définition qui colle parfaitement à l’islam.

[2] Nombreux articles sur le sujet. Une petite sélection:

– Assimilation musulmane – Statistiques- octobre 2014 

– 80% des musulmans de Londres soutiennent l’État islamique – novembre 2014

– France: 82% des gens qui se disent musulmans ne montrent aucun condamnation du terrorisme en France – janvier 2015

– L’intégration des Musulmans dans nos sociétés occidentales est impossible” – février 2015 

Lire aussi mon post “Statistiques concernant les musulmans – Muslim Statistics