Les élèves musulmans ne pourront jamais être Français, car leur religion le leur interdit. Témoignages:

“Je suis enseignante (prof d’histoire-géo-éducation civique) depuis plus de 20 ans. J’ai exercé dans 5 collèges de banlieue, dont deux Zep et un établissement classé zone violence.

J’ai donc vu passer dans mes classes (de la 6ème à la 3ème) plus de 4000 jeunes de banlieues, que j’ai eu à charge d’instruire, d’encourager et d’accompagner, avec une bienveillance et une abnégation qui ne m’ont jamais fait défaut.

Vous prétendez que les populations des banlieues sont « mises au garage dès le collège et le lycée » ?

Que « le socle d’une société épanouie est l’éducation » et, de ce fait, vous insinuez que les minorités ne reçoivent aucune instruction dans notre pays ?

Quelle vaste blague ! Non : quelle aberration, quelle mauvaise foi, quelle vision erronée et mensongère de la réalité !

Mes élèves des cités reçoivent la même instruction que tous les petits français de souche. Leur instruction est gratuite (sans compter les aides et prestations diverses censées aider ces familles mais qui sont systématiquement dépensées pour tout autre chose que l’école…)

Si, au terme d’un parcours scolaire la plupart du temps désastreux, le corps enseignant se voit contraint de leur proposer une orientation professionnelle en fin de 3ème, c’est qu’on ne peut pas raisonnablement proposer à un adolescent de 15 ans d’envisager de poursuivre des études de médecine alors qu’il n’a toujours pas daigné apprendre à compter (et à parler correctement le français). Ignorez-vous l’importance de la résistance à l’apprentissage du français dans nos écoles ?

Le Français est pour eux une « langue étrangère », la langue des « mécréants » comme ils aiment à me le répéter.

Voici le fruit de ma réflexion, après 20 années d’expérience au contact de votre soi-disant « génération sacrifiée » :

Je suis en première ligne pour témoigner des moyens financiers, humains et techniques mis à dispositions de ces jeunes depuis des décennies (oui, des millions dépensés dans les collèges et lycées pour ces populations).

Je vous signale, à titre d’exemple, que le collège où je travaille actuellement met à leur disposition permanente 14 TNI d’une valeur totale de 100 000 euros -un dans chaque classe-, deux salles informatiques contenant 50 PC avec connexion internet, une bibliothèque magnifique sur deux étages, des dizaines d’heures de soutien hebdomadaires et tutorats en tous genres (qui coûtent beaucoup d’argent à l’Etat car payés en heures supplémentaires), un service de restauration quasi gratuit, des voyages scolaires (musées, voyages en Espagne, en Italie, en Angleterre et en Allemagne, pris en charge par le foyer socio-éducatif) etc, etc, etc… Je continue ?

Les autres enfants de la commune (qui ne vivent pas dans la cité) sont loin d’avoir ce genre de privilèges.

Malgré tout, ces jeunes des banlieues (comme vous les appelez) n’ont que la haine de la France à la bouche. Leur seule référence est « le bled ». Leur seul désir : imposer leur culture en remplacement de notre culture nationale. Ils ne s’en cachent même plus : ils le revendiquent comme une fierté.

Leur communautarisme rend inopérant toute tentative d’instruction et d’intégration.

Quel que soit le sujet que j’aborde, en Histoire, en géographie ou en éducation civique, je ne rencontre de leur part que mépris et hostilité vis-à-vis de notre passé, de nos valeurs, de notre vision de la démocratie. Je n’ose même plus prononcer le mot « laïcité » en classe, de peur de les voir me vomir dessus ou pire, m’insulter.

La plupart des collègues ont abdiqué depuis longtemps.

Hélas, j’ai cru un temps, comme vous, qu’il était possible de leur transmettre connaissances, sagesse et foi en l’avenir de notre communauté nationale.

J’ai renoncé. Je suis tous les jours confrontée aux discours les plus intolérants qui m’aient été donnés d’entendre : propos haineux à l’égard des Français, des Juifs, des femmes, des homosexuels… L’évocation du terrorisme fondamentaliste les fait sourire (dans le meilleur des cas) quand ils ne font pas ouvertement, en classe, l’apologie de l’Etat islamique et de la charia.

Notre Histoire ne les intéresse pas. Ils ne sentent aucun passé, ni aucun point commun avec les « sous-chiens » et les « faces de craie » comme ils nous appellent.

Retournez donc à l’école ne serait-ce que pour un petit stage d’une journée… vous seriez mortifié.”

Source

Que vont devenir ces jeunes, ne sachant rien et n’ayant dans le cœur que la haine que leur commande leur “religion” (Coran 60.4)  ? Mme Najat Valaud-Belkasem a pensé à tout : par l’enseignement de l’arabe, à partir du Coran évidemment, on ne pourra que les aider à se forger une identité musulmane…

Quelle charge et quelle folie pour la société d’entretenir ceux qui veulent la détruire…

Nos responsables politiques sont inexcusables d’avoir conduit la France dans cette situation, car tout cela leur avait été annoncé depuis longtemps :
le Commandeur des croyants, le Roi du Maroc, Hassan II,
le Bienheureux Charles de Foucauld

Vallsaidllerislam

bobigny-11-fevrier-2017-

Les différentes et récurrentes émeutes auxquelles n’importe quoi peut servir de prétexte, servent-elles à autre chose que d’entrainement pour le Grand Soir en testant la résistance de la société à l’avènement de l’ordre nouveau promu de concert par Allah et la Révolution en mal de prolétaires ?

An image grab taken from an AFP video shows a van of French radio station RTL burning during clashes on the edge of a rally to denounce police brutality after a black man was allegedly sodomised with a baton during an arrest while in their custody in Paris on February 11, 2017 in Bobigny, outside Paris. A 22-year-old black youth worker named as Theo, a talented footballer with no criminal record, required surgery after his arrest on February 2, 2017 when he claims a police officer sodomized him with his baton. One officer has been charged with rape and three others with assault over the incident in the tough northeastern suburb of Aulnay-sous-Bois which has revived past controversies over alleged police brutality. / AFP PHOTO / Gregoire HOZAN

Bobigny, 11.02.17.

A police car burns during a demonstration against police violence and against French labour law reform in Paris, France, May 18, 2016. REUTERS/Charles Platiau

Et pendant ce temps :

img58258ac35b962

Campagne3

15723374_363037760739470_7296839112013083018_o

Le témoignage de Lucie, 23 ans, qui a été marin-pompier à Marseille pendant 2 ans. Aider la population, secourir les personnes en détresse, c’était sa vocation. Mais à Marseille, la population diverse n’hésite pas à insulter, caillasser, humilier, menacer et tenter de tuer les pompiers. Lucie a fini par jeter l’éponge au bout de deux ans et accepté de nous livrer quelques uns de ses souvenirs personnels.

DEVENIR POMPIER EN TERRITOIRE MULTICULTUREL

En choisissant le métier de marin-pompier, j’ai décidé d’être au service des autres, de la population. C’est par passion que je suis donc allée poser ma candidature au CIRFA et que j’ai fait comme tout militaire mes classes, puis une école de spécialisation.

Les marins-pompiers sont spécifiques a la ville de Marseille ( hormis les marins-pompiers des ports embarqués sur des bateaux ), cette ville où règne le multiculturalisme. A dire vrai, je n’y pensais pas. Pourquoi aurais-je dû ? A l’école de Saint Mandrier, on nous a appris qu’il fallait agir de la même façon envers tous les êtres humains, sans distinction de couleur, de religion, de mœurs. Et pourquoi cela aurait-il posé problème ? Nous étions là pour les aider, leur porter secours, en tant qu’êtres humains.

« UN GRAND FRACAS S’EST FAIT ENTENDRE : UN FRIGO AVAIT ÉTÉ JETÉ SUR NOTRE AMBULANCE »

La pratique fut néanmoins une autre affaire. Dans certains quartiers de cette ville nous n’étions pas les bienvenus. Lors d’une intervention pour porter secours à un homme âgé, tombé dans son appartement, un grand fracas s’est fait entendre. Un frigo avait été jeté sur notre ambulance depuis un balcon de l’immeuble où nous étions. Le toit complètement enfoncé, des vitres explosées, le brancard bloqué à l’intérieur et du matériel cassé et inutilisable… Nous avons dû appeler des collègues pour prendre le blessé en charge puis d’autres pour nous ramener. Quand une équipe est revenue chercher le VSAV (Véhicule de Secours et d’Assistance aux Victimes), celui-ci venait d’être enflammé par des habitants du quartier.

Quand nous passions vendre les calendriers, chaque année, les insultes fusaient, certains n’ouvraient pas la porte. Le plus souvent des femmes voilées à qui leurs maris interdisaient d’ouvrir. Des bouteilles voir des sceaux d’eau balancés depuis des fenêtres très courageusement…

« NOUS ÉTIONS LÀ POUR LEUR BIEN ET MÊME LÀ IL FALLAIT SE SOUMETTRE »

On peut se dire que c’est propre à certains quartiers. Un autre exemple me vient a l’esprit. Nous partons pour porter secours a une femme, qui saigne abondamment suite à une césarienne. Arrivés à l’appartement, le mari refuse que mes collègues entrent dans l’appartement. Il finit par accepter mais ne veut pas que mes collègues touchent sa femme. Celle ci ne veut pas retirer son niqab, ni rien. Impuissants, nous décidons de la transporter sans attendre. Dans l’ambulance, elle refuse que mes collègues masculins prennent ses constantes. Je suis au volant. Il faudrait que je me gare, descende, laisse ma place de conducteur et prenne celle du secouriste ? Elle refuse même de donner son nom et des informations médicales… Devant mon agacement son mari menace de porter plainte pour non assistance à personne en danger si je n’obtempère pas. Je le fais… En deux ans passés au bataillon, j’ai pu constater l’échec du multiculturalisme, jusque dans l’intervention des secours. Nous étions là pour leur bien et même là il fallait se soumettre. J’ai quitté au bout de 2 ans seulement.

« A LA MOINDRE PROTESTATION, VOUS ÊTES RACISTE »

Ce ne sont là que quelques exemples mais le résultat est frappant et sans appel. Là où nous avons eu de tels soucis ce n’était pas avec les Européens. Je passe sur les dégradations de véhicules, les incendies volontaires dans les quartiers ou la police ne vient plus, le vol de matériel parfois… Et à la moindre protestation, vous êtes raciste bien-sûr… De quoi démotiver les corps d’armée.

Lucie
Source