N.B. : Les chiffres placés entre parenthèses (…) désignent une citation coranique, dont le premier chiffre, suivi d’un point, indique le numéro de la sourate, et le suivant, celui du verset. Lorsque le premier chiffre est précédé d’une abréviation lexicale, la citation est tirée de la Bible, et lorsqu’il est précédé d’un seule lettre majuscule, il indique un article d’un des vingt six chapitres de cette série “Réponses aux musulmans”.

— 1 Loin d’être le Dieu aimant toute sa Création, Allah a créé des hommes mauvais (7.179,186, voir E 4,9), pour que d’autres, les musulmans, les exterminent : « Allah a acheté aux croyants leurs personnes et leurs biens en échange du paradis. Ils combattent dans le chemin d’Allah : ils tuent et se font tuer. (9.111) » ; « Allah aime ceux qui vont jusqu’à tuer pour sa cause. (61.4 ; Voir U 13) »1 Or, parce que seul l’amour donne et se donne, il est aussi créateur, et seul le Dieu qui est Amour (1 Jn 4.8), est le vrai Dieu. Le mal ne crée rien, il détruit. Aussi, d’où vient la religion qui transforme les gens en assassins ?

— 2 Après que le Christ ait lavé les hommes de leurs péchés (Ac 10.43), au prix de Son sacrifice (He 9.11-28 ; 10.1-18), les ait rassemblés dans l’unité de la Vérité (Jn 11.52), guidés par Son Esprit (Ac 2.1+ ; 11.15-18 ; 1 Co 12.4 ; Ga 3.27-29), qu’Il leur ait commandé de pardonner (Mc 11.25 ; Lc 6.35) et d’aimer jusqu’à leurs ennemis (Mt 5.44), voilà que l’islam enseigne la vengeance et la haine de tout ce qui n’est pas musulman : « Entre nous et vous, c’est L’INIMITIE ET LÀ HAINE À JAMAIS, jusqu’à ce que vous soyez musulmans ! (60.4) »2À JAMAIS ! … Peut-on raisonnablement penser que Dieu enseigne la haine de ses créatures ? Aussi, pour détourner l’attention des non-musulmans de tels versets monstrueux, les apologètes musulmans avancent qu’il faudrait les contextualiser. Or :

a) Le Coran tout entier est une suite quasi ininterrompue d’imprécations et d’exécrations, de menaces et de malédictions, en sorte que ce verset n’a rien d’exceptionnel.
b) Le Coran est en dehors de toute chronologie et historicité, aussi le contexte y est-il partout le même : intemporel. Quel est le contexte d’un livre incréé ?
c) La suite du verset nous apprend qu’à la différence de Moïse, par exemple (Ex 32.7-14 ; 34.9-10 ; Nb 11.2 ; 12.13-14), l’intercession d’Abraham n’a pu détourner de son père la haine d’Allah, tant elle est inexorable (11.74).
d) Précisément, en 60.4, Allah engage sa vérité et son autorité non pas pour un temps déterminé et passé, mais à jamais, il n’est donc pas légitime de restreindre la portée et le sens de ce verset à un temps passé.
e) Abraham, dans la bouche duquel ce verset est placé, est un modèle donné à tout musulman (2.124,135), donc aussi pour ceux d’aujourd’hui.
f) Si le sens du Coran relève du contexte historique, parce que le Coran était adressé à des gens d’un lieu donné en un temps passé, alors il n’est pas adressé à tous les hommes de tous les temps (voir L 19-23 ; U 2). Pourquoi alors les musulmans d’aujourd’hui en font-ils la norme de leur foi et de leurs comportements ?

3 « Montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme son mandat de diffuser par l’épée la croyance qu’il prêchait. » 3 Si même sous le règne de Mahomet l’islam n’a pas apporté la paix, mais la guerre et toutes sortes de malheurs, et depuis la misère aux peuples islamisés, comment les musulmans peuvent-ils penser faire mieux que Mahomet ?

— 4 « En islam, la guerre contre les non-musulmans est d’obligation divine (Ibn Khaldoun, in A. Fattal, Le Statut légal des non-musulmans en pays d’Islam, Beyrouth, 1958, p.372) » : « Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association [d’Église] et que la religion soit seulement l’islam ! (2.193 ; 3.85 ; 9.5 ; 48.16) » ; « Ceux qui offensent Allah et son messager [i.e. ceux qui refusent l’islam], Allah les maudit ici-bas et dans l’au-delà, et leur prépare un châtiment avilissant ! […] Ce sont des maudits ! Où qu’on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement ! (33.57,61) » Avis donc à tout bon musulman soucieux de plaire à Allah … Parce que l’islam est la vraie religion (61.9), ceux qui n’en font pas partie ne peuvent être que des pervers et des maudits (3.10,82,110 ; 4.48,56,76,91 ; 7.144 ; 9.17,34 ; 11.14 ; 13.15,33 ; 14.30 ; 16.28-9 ; 18.103-6 ; 21.98 ; 22.19-22,55 ; 25.21 ; 33.64 ; 40.63 ; 48.13), que les musulmans doivent combattre sans cesse (2.193 ; 8.39 ; 9.33 ; 48.28 ; 61.4,10-12), à l’exemple d’Allah, par la ruse (3.54 ; 4.142 ; 8.30 ; 27.50 ; 86.16), la terreur (2.190 ; 3.151 ; 8.12,60 ; 33.26 ; 59.2,13), et toutes sortes de tortures (5.33 ; 8.65 ; 9.29,123 ; 25.77), comme la décapitation (8.12 ; 47.4), y compris celle des adolescents (Mouslim 38.4390), ou la crucifixion (5.33), en vue de les éliminer (2.193 ; 8.39 ; 9.5,33,111,123 ; 47.4) et anéantir définitivement (2.191 ; 4.89,91 ; 6.45 ; 9.5,30,36,73 ; 33.60-62 ; 66.9). Faut-il s’étonner que le sheikh Nour Baroud, un des dirigeants du mouvement islamique somalien Koulanka Coulimada, ait déclaré que tous les chrétiens somaliens doivent être tués (17.10.2006) ?

— 5 Alors que « les chrétiens ont le cœur rempli de compassion et de mansuétude (57.27) », Allah n’arrachera la haine du cœur des musulmans qu’une fois ceux-ci arrivés en son paradis (15.47 ; voir À 30). Outre qu’Allah désigne donc les musulmans comme des êtres haineux, pourquoi ceux-ci devraient-ils croire qu’il fera alors ce qu’il ne réussit pas à faire maintenant ? Car c’est maintenant qu’un cœur bon doit mériter la miséricorde de Dieu. Et puisqu’il arrive à Allah de ne pas tenir parole (2.106 ; 13.39 ; 16.101 ; 87.6-7), qu’est-ce qui garantit aux musulmans que le verset annonçant la libération de leur cœur n’est pas ou ne sera pas abrogé, en sorte que continuant à haïr, ils se retrouveront en enfer, le royaume de la haine qu’ils n’auront donc pas cessé de servir ?

— 6 L’islam ne donne au musulman aucune garantie qu’il évitera l’enfer (2.284 ; 3.129 ; 22.77), car tout dépend du bon plaisir, inconnu, d’Allah (voir À 5), en sorte que sa vie sur terre est déjà un enfer … Allah promet toutefois le paradis au musulman qui meurt au djihad (2.154 ; 3.157-158,169. Voir note 163) : « Qu’ils combattent donc dans la voie d’Allah ceux qui troquent la vie ici-bas contre la [vie] dernière. Quiconque combat dans la voie d’Allah, qu’il soit tué ou vainqueur, nous lui donnerons un très grand salaire. (4.74) » ; « Celui qui abandonnera son pays pour la cause d’Allah trouvera sur la terre d’autres hommes forcés d’en faire autant (sic) ; il trouvera des biens en abondance [le butin]. Pour celui qui aura quitté son pays pour embrasser la cause d’Allah et que la mort viendra surprendre, son salaire sera à la charge d’Allah. (4.100) » ; « Ceux qui seront tués dans la voie d’Allah, il n’égarera pas leurs œuvres. Il les dirigera et améliorera leur condition et les fera entrer dans le jardin qu’il leur aura fait connaître. Ô vous qui avez cru ! Si vous secourez Allah, il vous secourra et raffermira vos pieds ! (47.4-7 ; 9.111) » Ceux qui tuent au nom d’Allah n’obéissent pas tant à des considérations d’ordre politique que religieux : ils veulent aller au paradis ! (Voir U 21) Les auteurs du carnage qui fit 58 morts et soixante-dix blessés le 31 octobre 2010 lors de l’office dominical à la cathédrale catholique syriaque de Bagdad criaient à leurs victimes : « Vous irez tous en enfer, alors que nous, nous irons au paradis ! Allah est le plus grand ! » C’est pourquoi un État islamique n’a pas de mal à recruter. Même les enfants sont élevés dans ce désir de mourir en tuant, au point d’être utilisés comme bombes humaines ou instruments de déminage, la clé (en plastique) du paradis suspendue autour de leur cou … « Je serai votre égorgeur, ô mécréants ! » disait Rayan, un enfant de douze ans, originaire de Toulouse, venant d’assassiner de sang-froid des mécréants dans l’une des vidéos diffusées par l’État islamique. « Ceux qui ont cru, émigré et combattu dans la voie d’Allah, ainsi que ceux qui les ont abrités et secourus, ceux-là sont les vrais croyants. Ils auront un pardon et une attribution honorable. (8.74 ; cf. 3.157-163) » ; « Le Prophète d’Allah a dit : ‘‘Allah garantit qu’il admettra le moujahid au paradis s’il est tué, sinon, il retournera en sécurité chez lui avec des récompenses et une part du butin.’’ (Boukhari 4.52.46) » Le Dieu des musulmans qui envoie vos enfants tuer pour lui, peut-il être le même (2.139) que le Dieu des chrétiens qui envoie Son Fils donner Sa vie pour vous sauver ?

— 7 Le djihad est si bien un devoir que ceux qui n’y participent pas sont voués à l’Enfer : « Si vous ne marchez pas au combat, Allah vous châtiera d’un châtiment douloureux ! (9.39) » ; « Quiconque ce jour-là tourne le dos, encourra la colère d’Allah. L’enfer sera son abri. Quelle détestable fin ! (8.16) » ; « Ils ont répugné à lutter de leurs fortunes et de leurs personnes dans la voie d’Allah et ont dit : ‘Ne vous mobilisez pas pendant la chaleur !’ Dis : ‘Le feu de l’enfer est plus chaud !’ S’ils comprenaient ! (9.81 ; cf. 48.16-17) » Qu’y a-t-il de pire que de finir en Enfer ?

— 8 Le djihad est un devoir si impérieux qu’il dispense de l’obéissance au Prophète, et donc aussi à ses représentants : « Ceux qui croient en Allah et au dernier jour ne te demandent pas l’autorisation pour lutter de leurs fortunes et de leurs personnes. (9.44) » Autrement dit : chaque musulman doit faire le djihad de sa propre initiative. C’est ainsi que dans le monde sunnite, où il n’y a pas de clergé, chaque musulman a vocation de témoin, de policier constatant crimes et délits, de juge pour prononcer les verdicts, de bourreau pour les exécuter, et d’attributaire du sang, de l’honneur et des biens de ses victimes. Comment l’islam pourrait-il ne pas trouver de fervents adeptes ?

— 9 Par l’effet du jeu de miroir caractéristique de la pathologie du pervers narcissique qui renvoie sur autrui ses propres défauts, la responsabilité de ses actes pervers et de ses mauvaises intentions, le néant de sa raison d’être en somme, l’islam s’oppose à tout ce qui ne lui renvoie pas l’image idéalisée de lui-même qu’il cherche désespérément dans le regard d’autrui, en sorte que tout ce qui n’est pas musulman lui apparaît hostile, méritant d’être furieusement détruit (3.141 ; 4.115 ; 5.17,52,72-3 ; 10.68-70 ; 29.68 ; 36.49-64 ; 48.28). Dans l’ouvrage La voie du musulman (Abou Bakr Al-Jaïzari, Editions Maison d’Ennour, 2011), librement diffusé en France, on lit, par exemple : « L’objectif principal du djihad est d’affronter les mécréants et les belligérants. Il est une obligation à caractère collectif ; lorsqu’il est accompli par une partie de la communauté, le reste en est dispensé. (p.365) » ; « Se préparer au djihad consiste à mettre en œuvre les causes secondes nécessaires et s’équiper de toutes sortes d’armes. La préparation au djihad est une obligation au même titre que le djihad lui-même. (p.368) » Puisqu’Allah demande : « Ô Prophète ! Combats les incrédules et les hypocrites ; sois dur envers eux ! Leur refuge sera l’enfer : quelle détestable fin ! (66.9) » et que le Prophète est le modèle des musulmans (33.21), il s’en suit : « Ô croyants ! Combattez [à mort] les incroyants près de vous ! Qu’ils vous trouvent durs à leur égard ! (9.123) » Avec de tels préceptes, quel non-musulman peut se sentir en sécurité à proximité de musulmans ? L’islam ne conduit-il pas les musulmans à accomplir cette prophétie de Jésus : « Vient un temps où ceux qui vous tueront penseront rendre un culte à Dieu. (Jn 16.2) »?

— 10 « Les mécréants, égorgez-les ! (47.4) » Mgr Padovese, vicaire apostolique d’Anatolie, égorgé par son chauffeur, Mourat Altoun ; Hervé Cornora égorgé par son employé, Yassin Salhi ; le père Hamel, le colonel Beltrame, Samuel Paty, et tant d’autres, ont tous été égorgés selon la recommandation faite par Allah. Cependant, Abou Mohammed al-Adnani, porte-parole de l’État islamique en Irak et au Levant, n’a pas craint de changer la méthode préconisée par Allah en demandant à tous les musulmans : « Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen – en particulier les méchants et sales Français – ou un Australien ou un Canadien, ou tout […] citoyen des pays qui sont entrés en coalition contre l’État islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n’importe quelle manière. […] Tuez le mécréant qu’il soit civil ou militaire. […] Frappez sa tête avec une pierre, égorgez-le avec un couteau, écrasez-le avec votre voiture, jetez-le d’un lieu élevé, étranglez-le ou empoisonnez-le ! » Comment les musulmans n’agiraient-ils pas ainsi puisqu’Allah menace de leur couper l’aorte s’ils changent ses paroles (69.43-50) ?

— 11 « Les juifs et les chrétiens ne t’approuveront que quand tu auras embrassé leur religion. (2.114) » ; « Ils ne cesseront de vous combattre jusqu’à vous faire abjurer votre religion. (2.217) » ; « Ô croyants ! Ne prenez pas de confidents hors de votre communauté : ils feraient tout pour vous corrompre ! Rien ne leur ferait plus plaisir que de vous voir en difficulté ! (3.118) »Les musulmans ne peuvent-ils voir le délire de persécution que l’islam leur inocule, ni l’inversion accusatoire qui les manipule ?

— 12 « Combattez-les à mort jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’Église et que la religion soit seulement l’islam ! (2.193) » ; « Allah a envoyé son messager avec la bonne direction et la religion de la vérité, afin qu’elle triomphe sur toute autre religion, quelque répulsion qu’en aient les associateurs ! (9.33) » ; « Le messager d’Allah a dit : ‘J’ai reçu l’ordre de combattre les peuples jusqu’à ce qu’il se soumettent à Allah et à Mahomet son envoyé’ ! (Boukhari, 1.2,25 ; 8.387) » Le Coran et la vie de Mahomet élèvent au rang de vertus religieuses suprêmes animosités, luttes armées et cupidité (voir Q 33+). Les succès guerriers attestent de la bienveillance divine (3.123-127 ; 5.56 ; 8.17,68 ; 33.26-27 ; 57.25), et manifestent la vérité et la puissance d’Allah, car un dieu qui remporte des victoires est un vrai dieu, pas celui qui les perd. Allah joue pour les musulmans le même rôle que jouait la déesse Victoire pour les Romains : « Ô Allah ! Tu es Notre Maître, accorde-nous la victoire sur les peuples infidèles ! (2.286) » Mais que peuvent de tels dieux face à la Croix de Jésus ressuscité ?

— 13 Le musulman ne doit pas avoir de problème de conscience à tuer un koufar puisqu’Allah le décharge de toute responsabilité : « Ce n’est pas vous qui les avez tués, mais c’est Allah. Lorsque tu frappais, ce n’était pas toi, mais c’était Allah. (8.17) » ; « Combattez-les ! Allah, par vos mains, les couvrira d’ignominie et vous les fera vaincre ! (9.14) » Pour tout meurtrier d’un non-musulman, c’est la garantie de l’impunité, avalisée par la tradition musulmane : « Aucun musulman ne pourra être tué pour avoir tué un infidèle. (Boukhari, 52,283 ; voir S 14) »Cette indulgence expliquerait-elle l’expansion de l’islam en prison … où l’État croit devoir envoyer des « aumôniers » musulmans ?

— 14 « Que les croyants ne prennent pas pour alliés les mécréants au lieu des croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne les craigniez. (3.28) » À moins que vous ne les craigniez … Voilà énoncé le principe de la taqiya, autorisant les musulmans en situation de faiblesse à embrasser la main qu’ils ne peuvent couper, c’est-à-dire à mentir jusqu’à dissimuler leur croyance, voire la renier, et même en pratiquer publiquement une autre afin de sauver leur vie ou leurs intérêts (16.106 ; Cf. Mt 5.37 ; 10.32-33), lesquels s’identifient, évidemment, à ceux de l’islam, et cela dans l’attente que le rapport de forces s’inverse et qu’ils puissent envisager l’agression : « Ne montrez point de lâcheté et n’appelez point les infidèles à la paix quand vous êtes les plus forts ! (47.38) » Chiites et sunnites s’accusent mutuellement d’avoir une pratique peccamineuse de la taqiya, mais les uns et les autres la pratiquent. « Le Prophète a dit : ‘Quand je fais un serment mais qu’ensuite je trouve mieux, j’annule mon serment. (Boukhari 7,67,427) » ; « Celui qui réconcilie les gens au prix de fausses informations qu’il invente, n’est pas un menteur. (Boukhari 49.857) » ; « Il est permis de mentir si le but est louable. (Ghazali, Reliance of the Traveller, Amana, Maryland, USA, 1997, p.745) » Et ce but peut être l’assassinat d’innocents, comme l’apprirent Ousayr ibn Zarim et trente de ses hommes, désarmés et assassinés par Mahomet après la promesse qu’il leur fit d’un sauf-conduit (Boukhari 52.269), ou Mouhammad bin Maslama qu’il assura de pouvoir mentir pour tendre un piège au poète Kab bin Arshaf afin de le tuer, le félicitant ensuite de lui en apporter la tête (Boukhari, 52.271, 64/15 ; Mouslim, 32-3359 ; 19/4436). Mahomet signa un traité de dix ans avec les Mecquois, le temps de refaire ses forces pour s’emparer de la ville deux ans plus tard, après avoir exécuté ceux qui lui avaient fait confiance (Ibn Ishaq 981 ; 834 & 837). Les musulmans justifient ces meurtres au motif que les victimes auraient trahi leurs accords, — mais même à supposer que ce fut vrai, puisque Allah justifie le parjure (Cf. 2.225 ; 3.28 ; 8.58 ; 16.106 ; 40.28 ; 66.2…), que leur reprocher ? S’appuyant sur un hadith d’Ali : « La Taqiya est notre vraie religion et celle de nos parents. Celui qui ne l’exerce pas, qu’il se considère comme un non-pratiquant de l’islam »4 , l’imam Ja‘far as-Sadiq enseigne : « Quiconque n’observe pas la dissimulation de protection n’a pas de foi. » 5 En résumé, « la taqiya est voile pour le croyant, et celui qui n’a pas de taqiya n’a pas de religion. (Encyclopedia of Islam, 1st ed, s.v. Taqiya ; Djoumayyil, Kdmous al-shanca, pp. XIII, 127-8) » Peut-on prendre au sérieux des musulmans dénonçant les atteintes aux droits de l’homme perpétrés au nom de l’islam ? Les promesses faites aux non musulmans, n’engagent-elles pas que ces derniers ?

— 15 La première phase du djihad consiste dans les incivilités, la démolition de l’harmonie et de la paix sociales : délinquance systématique, violences, agressions, razzias, harcèlement sexuel, viols, insultes, intimidations, comportements asociaux, guérilla permanente de moyenne intensité contre les autorités (police, pompiers, bâtiments publics…). La vie devient si souvent insupportable là où des musulmans s’installent que les autochtones préfèrent partir, laissant leurs habitations pour une bouchée de pain, tant elles sont devenues invendables. En France, au nom de la « discrimination positive », l’Éducation Nationale en est arrivée à sur-noter systématiquement les élèves de « l’immigration » pour acheter une paix sociale fallacieuse. Même le très politiquement correct recteur de la Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, le reconnaît : « L’islam ne doit pas être considéré comme une simple religion […] C’est un phénomène sociopolitique, c’est une idéologie de lutte et d’agression. (BFM TV, 3.01.2011) »Quels châtiments réussiront à faire expier aux responsables politiques et religieux leur complicité dans l’islamisation de l’Occident ?

— 16 La deuxième phase du djihad consiste dans la préparation de la logistique : « Préparez, pour lutter contre eux, toutes les forces dont vous disposez et de forts escadrons, afin d’effrayer les ennemis d’Allah et les vôtres […] Tout ce que vous aurez dépensé dans la voie d’Allah vous sera remboursé et vous ne serez point lésés. (8.60) » ; « Ceux qui ont cru, émigré et payé de leurs biens et de leurs personnes dans la voie d’Allah, ainsi que ceux qui les ont aidés, ceux-là sont alliés. Quant aux croyants qui n’ont pas émigré, vous ne les connaissez pas jusqu’à ce qu’ils émigrent. (8.72) » Cette deuxième phase du djihad se manifeste particulièrement au niveau juridique par des plaintes portées au titre de blasphèmes, d’islamophobie, ou de toute autre raison visant à contraindre les non-musulmans à perdre temps, argent, et à s’autocensurer pour laisser paraître l’islam comme sacré, intouchable et tout-puissant. L’infiltration des organes de pouvoir (police, armée, services publics, postes électifs, organisations) et de la modération des réseaux sociaux permet d’œuvrer au service de l’Oumma et au détriment des non-musulmans. Parallèlement, ce sont des revendications de privilèges visant à conserver les populations musulmanes dans la pureté de l’Oumma, à étendre son emprise territoriale et son poids politique. Ces privilèges sont autant d’obligations et de restrictions imposées aux non-musulmans. Ainsi de l’abattage halal, de l’interdiction de l’alcool, de la prière en entreprise, de l’occupation autoritaire et illégale de l’espace public, de la destruction des symboles chrétiens pour raison de laïcité, de la suppression par l’Éducation nationale de certains faits historiques jugés offensants, du mépris et du rejet du droit commun, de la création de zones de non droit où même la Police n’ose se risquer. Le ramadan paraît une inoffensive coutume, festive et conviviale,6 mais il est un formidable moyen de conditionnement social, d’oppression et de flicage des insoumis à la tyrannie islamique. Pour prendre quelques exemples : en 2010, à Lyon, parce qu’il déjeunait en terrasse durant le ramadan, un homme a été trépané après avoir été frappé. En 2011, à Miramas, un adolescent de 17 ans est ligoté et passé à tabac par un membre de sa famille pour non-respect du ramadan. En 2016, c’est au tour d’une jeune serveuse musulmane d’un café niçois. En 2018, un homme est poignardé à Roubaix pour avoir fumé lors du ramadan, tandis que pour la même raison un Bruxellois est tombé dans le coma après avoir été tabassé pour avoir bu un verre. Dans certains immeubles de banlieues françaises les poubelles sont inspectées pour juger de la pratique du ramadan par les résidents. Dans les pays musulmans, la loi prévoit jusqu’à six mois de prison ainsi que de fortes amendes pour non-respect du ramadan. Même les travailleurs de force y sont tenus. En 2017, à Rabat, un jeune diabétique est tabassé pour avoir consommé de l’eau en public, tandis qu’en Tunisie cinq personnes sont condamnées à un mois de prison ferme pour avoir fumé et mangé lors du ramadan. Les non-musulmans sont passibles des mêmes peines. En refusant de se convertir à l’islam, les Européens défendant leur pays et leurs traditions, sont considérés comme agresseurs, et peu à peu refoulés hors des zones désormais occupées par l’islam. La nature sectaire de l’islam se manifeste en interdisant l’intégration, comme en a fait les frais un jeune musulman qui a été passé à tabac à Belfort en 2020, pour avoir partagé un repas de Noël, et parce que son père était policier. Tandis que la toujours plus courtisée Organisation de la Coopération islamique (OCI) entend « consolider la lutte de tous les peuples musulmans pour la sauvegarde de leur dignité, leur indépendance et leurs droits nationaux (Djeddah, 1972) », et protéger les minorités musulmanes de leur occidentalisation en attendant qu’elles deviennent, grâce à l’immigration et au prosélytisme, la majorité dominante, la France renonçait en 1999 à exiger que la charte de l’UOIF reconnaisse le droit de changer de religion. Le cheikh Youssef al-Qaradawi n’avait pas de mal à prophétiser : « Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques, nous vous dominerons. (Claude Sicard, Le Face-à-face islam-chrétienté. Quel destin pour l’Europe ? Éditions François-Xavier de Guibert, 2009) » Qui peut nier l’ampleur de l’islamisation actuelle ?

— 17 Les musulmans dits modérés jouent un rôle très important dans l’islamisation, car ils donnent de l’islam un visage familier et inoffensif, et engrangent ainsi au bénéfice de l’islam,7 source de l’« islamisme », les concessions que les lâches leur octroient pour prix de leur modération. Et tandis que par leur nombre ils font pression sur les autorités démocratiquement élues pour obtenir toujours plus d’islam, ils soutiennent le djihad en s’abstenant d’en dénoncer l’origine coranique (4.74), et le financent par le biais de différents impôts plus ou moins occultes, comme celui lié à la consommation halal.8 Pour le Président de la Turquie, M. Recep Tayyip Erdogan, la chose est claire : « L’expression “islam modéré” est laide et offensante. Il n’y a pas d’islam modéré. L’islam est l’islam. (Kanal D TV, Août 2007) »  9 La distinction entre islamistes et musulmans modérés a été forgée pour faire accepter l’islam en Occident.10 Contrairement à ce que les bien-pensants enseignent, il n’y a pas de différence fondamentale entre musulmans modérés et islamistes, puisque les uns et les autres se réfèrent au même Allah, au même Coran, au même Mahomet, et qu’il suffit d’une partie de l’Oumma accomplissant le djihad pour que le reste en soit dispensé (Voir U 8). Un musulman modéré est-il modérément musulman ? Est-il modérément musulman parce que les abominations islamiques sont modérément acceptables, ou parce qu’il est modérément humain ? Dit-on d’une femme qu’elle est modérément enceinte ? Ou elle l’est, ou elle ne l’est pas. Celui qui est appelé un « bon musulman » est ordinairement un homme préférant obéir à sa conscience plutôt qu’à Allah (la conscience étant l’instance permettant d’entendre la petite voix de Dieu parlant au cœur de tout homme pour l’inviter à fuir le mal et à faire le bien). Un bon musulman est donc un mauvais musulman. La preuve en est que les islamistes le tuent comme les mécréants puisque, comme eux, il n’obéit pas au Coran (3.166-167 ; 4.137-139,142,145 ; 9.66-68,73). Face aux attentats, suffit-il de dire « Ce n’est pas ça l’islam ! », ou bien faut-il reconnaître que les djihadistes ne font que prêcher le Coran et imiter Mahomet ? L’appellation islam modéré suffit à dénoncer l’islam comme mauvais, car si l’islam doit être modéré pour être acceptable, c’est donc qu’en soi il ne l’est pas. Nul besoin de modérer le christianisme. Mais si même les mécréants défendent l’islam, comment un musulman le condamnera-t-il (3.103 ; 49.10-11) ?

— 18 L’islam s’est répandu à la pointe de l’épée, selon l’exemple et les directives de Mahomet, qui a lui-même conduit des dizaines d’expéditions guerrières : l’hégire (622), Yathrib (622), Badr (624), Uhud (625), le Fossé (627), Hudaybiya (628), Kaybar (628), La Mecque (630), Hunayn (630), et hors d’Arabie… « Ô Prophète ! Fais la guerre aux infidèles et aux hypocrites, sois dur avec eux ! L’enfer sera leur demeure ! (66.9) » ; « Ô Prophète ! Excite les croyants au combat. Vingt braves d’entre eux terrasseront deux cents infidèles. Cent en mettront mille en fuite, parce que les infidèles n’ont point de sagesse. (8.66) » ; « Tuez les associateurs où que vous les trouviez ! Prenez-les, assiégez-les et restez aux aguets contre eux ! (9.5 ; cf. 2.244 ; 4.76,84,91 ; 33.26 ; 47.4-11,22,37) » ; « L’islam dit : Le bien n’existe que par l’épée et à l’ombre de l’épée ! Les gens n’obéissent que sous la menace de l’épée ! L’épée est la clé du paradis. »La troisième et dernière phase du djihad, la guerre ouverte, sert de fin comme de moyen aux précédentes en ce que la menace d’attentats ne pouvant être écartée, elle induit un effet d’intimidation qui permet au djihad de se développer au maximum. « Combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent [ceux qui refusent d’être islamisés] ! Ne désobéissez pas ! Allah n’aime pas les désobéissants ! Tuez-les, où que vous les rencontriez ! (2.190) »11 Qui résiste à son islamisation résiste à Allah et perd de ce fait le droit à l’existence (5.33). Si Allah fait exister l’infidèle, c’est uniquement pour qu’il se convertisse ou qu’il soit tué par ses serviteurs : « Pour l’islam, la vie n’est sacrée que si elle est celle d’un musulman. Un musulman qui ne croit plus à l’islam, une femme adultère, un polythéiste, doivent être mis à mort, et le djihad, qui divise le monde en “maison de la soumission” et “maison de la guerre”, fait une obligation de tuer en masse sur le sentier de Dieu. C’est ce que l’islam a fait dans tous les siècles et notamment au XXe où des millions de chrétiens ont été mis à mort dans un impressionnant silence : deux millions de Soudanais, un million de Biafrais, un million cinq cent mille Arméniens, six cent mille Chaldéens, deux cent mille Maronites, deux cent cinquante mille habitants de Timor… (Jean-Jacques Walter, Le crépuscule de l’islam, Éditions de Paris, 2005, p.121) » Sayyidna Hassan Bin Sabbah (1034-1124), fondateur des Assassins (du mot arabe Haschischin : fumeurs de haschisch), qui utilisait le haschisch pour endormir la conscience de ses fidèles lors des exécrables besognes qu’il leur commandait, et qui fit aussi décapiter ses deux fils (l’un pour un crime qu’il n’avait pas commis, et l’autre pour avoir bu de l’alcool), enseignait : “Quand nous tuons un homme, nous en terrorisons cent mille. Il ne suffit pas d’exécuter et de terroriser, il faut aussi savoir mourir, car si en tuant nous décourageons nos ennemis d’entreprendre quoi que ce soit contre nous, en mourant de la façon la plus courageuse, nous forçons l’admiration de la foule. Et de cette foule, des hommes sortiront pour se joindre à nous. La guerre est une bénédiction pour le monde et pour toutes les nations. C’est Allah qui incite les hommes à se battre et à tuer. Le Coran dit : ‘‘Combattez jusqu’à ce que toute corruption et rébellion cessent.’’ Les guerres conduites par le Prophète contre les infidèles étaient un bienfait pour l’humanité tout entière. Imaginez que nous gagnions prochainement la guerre. Ce ne sera pas suffisant tant que la corruption et la résistance à l’islam existeront sur la terre. Le Coran dit : ‘‘La guerre, la guerre, jusqu’à la victoire.’’ Une religion d’où la guerre est absente est une religion incomplète. Si on avait donné le temps de vivre à Sa Sainteté Jésus ‒ salut soit sur lui ‒, il aurait agi comme Moïse et aurait brandi le glaive. Ceux qui croient que Jésus ne s’intéressait pas à la guerre ne voient en lui qu’un simple prédicateur, et non un prophète. Un prophète a tous les pouvoirs. Par la guerre, il purifie la terre. Les mollahs de cour corrompus qui affirment que tout cela est contraire à l’enseignement du Coran sont indignes de l’islam. Grâce à Allah, actuellement nos jeunes gens s’appliquent, dans les limites de leurs moyens, à mettre en œuvre les commandements d’Allah. Prions le Tout-Puissant pour qu’il leur donne la victoire. Ils savent que tuer l’incroyant est l’une des plus grandes missions de l’homme. (Ayatollah Khomeiny, 12.12.1984, pour l’anniversaire de la naissance de Mahomet, in Roger Senart et Noël Hauterive, L’expansion fanatique et ses crimes, L’Harmattan, 1987, p.210) » Hassan el-Banna, fondateur des Frères musulmans, considérait qu’il est de la nature de l’islam de dominer et de ne pas être dominé, d’imposer sa loi à toutes les nations et d’étendre son pouvoir au monde entier. Parmi ses modèles politiques, à côté de Mahomet, figuraient Mussolini et Hitler.12 La Convention de Genève peut reconnaître des droits aux prisonniers de guerre, que cela ne saurait avoir de valeur pour les disciples de Mahomet à qui Allah demandait de pas faire de prisonniers (8.67).13 C’est pourquoi Averroès, le fameux philosophe éclairé devant racheter aux yeux des Occidentaux la réputation de l’islam en matière de philosophie, enseignait qu’ « il convient de massacrer les captifs plutôt que de les réduire en esclavage »,14 et que le Cheikh Faysal Mawlawi, vice-président du Conseil européen pour la Recherche islamique, diplômé de la Sorbonne, considère légitime d’exécuter ou de réduire en esclavage les prisonniers. Est-ce un hasard si tout le Moyen-Orient et l’Afrique du nord ont été vidés de presque toute leur population chrétienne ? Aujourd’hui, au Maghreb, les populations ont tellement été terrorisées, qu’à part les Kabyles15 , elles sont persuadées être arabes ! Comment oublier le génocide des Arméniens, celui des Assyriens, des Grecs anatoliens, des Timorais, des populations du sud-Darfour, et de tant d’autres peuples ?

— 19 « La terre appartient à Allah. Il la donne en héritage à qui il souhaite parmi ses serviteurs. (7.128) » Or, tout le monde n’est pas musulman, donc les mécréants sont des propriétaires illégitimes. Aussi le djihad est-il de rétablir le droit d’Allah … par le massacre des koufars, le viol de leurs femmes16 , le pillage de leurs biens, l’occupation de leur pays (8.41,69 ; 33.50 ; 48.19,20). Pour une nation, accueillir et naturaliser des musulmans, n’est-ce pas suicidaire ?

— 20 Pour un musulman, le monde se divise entre la Terre de l’islam (Dar al-Islam) et la Terre de la guerre (Dar al-harb), destinée à devenir, elle-aussi, Terre d’islam. En comparaison, à la suite du Christ qui n’a jamais forcé quiconque à croire en Lui — parce que faire confiance est un acte de liberté —, l’Église n’a jamais fait de la guerre un moyen d’évangélisation. « L’Église ne peut accepter la violence, surtout celle des armes — incontrôlable lorsqu’elle se déchaîne — et la mort de qui que ce soit, comme chemin de libération, car elle sait que la violence appelle la violence et engendre irrésistiblement de nouvelles formes d’oppression et d’esclavage souvent plus lourdes que celles dont elle prétendait libérer. (Paul VI, Evangelii Nuntiandi, 37) » ; « Dieu ne saurait Se plaire dans le sang, et ne pas agir selon la raison est étranger à Dieu. (…) Celui qui entend amener quelqu’un à la foi a besoin d’une langue habile et d’une pensée juste, non de violence, ni de menace, ni de quelque instrument blessant ou effrayant. (Manuel II Paléologue, Entretiens avec un musulman. 7 e controverse, Sources chrétiennes n°115, p. 144-145) »Jésus n’a-t-il pas définitivement désamorcé toute justification de la haine en donnant l’exemple et le commandement d’aimer ses ennemis (Mt 5.44) ?

— 21 Si le mot arabe shahîd est traduit en français par martyr (témoin), il désigne cependant une toute autre réalité que celle du martyr chrétien. En effet, alors que les martyrs musulmans se donnent la mort pour tuer, même des innocents, les martyrs chrétiens ni ne se donnent la mort ni ne tuent des innocents, mais se contentent d’accepter tortures et mort par fidélité à Jésus-Christ, la Vérité (Jn 14.6), qu’ils aiment plus qu’eux-mêmes. Les martyrs chrétiens imitent le Christ qui S’est sacrifié pour expier nos péchés, et les martyrs musulmans obéissent à Allah faisant d’eux des assassins (4.74).17 En dépit du fait que le Coran interdit le suicide (2.195 ; 4.29), Allah récompense de son paradis ceux qui tuent et meurent pour lui (2.154 ; 3.169 ; 9.111 ; 61.4). La mort pour Allah a toujours fasciné les musulmans, qui y voient la plus noble manière de quitter cette vie,18 au point que les parents sont invités à sacrifier leurs enfants : « Allah récompense ceux qui offrent des shahîds par héroïsme et sens de l’honneur. Nous n’avons pas peur de mourir. Nous n’aimons pas la vie. »19 Puisqu’Allah légitime le meurtre d’un enfant au motif qu’il risque de devenir mécréant (18.74-80), pourquoi des enfants, endoctrinés, ne seraient-ils pas amenés sur les zones de combat pour y servir de bombes ou de boucliers humains ? Le djihad contemporain fait de ses victimes des « martyrs », instrumentalisant leur mort au service de la guerre psychologique et médiatique internationale. Il faut dire que l’assassin-suicidé a la promesse d’aller tout droit au paradis, évitant ainsi les terribles tourments de la tombe (Voir E 14), et que de plus, il a le pouvoir de faire participer soixante-dix membres de sa famille à sa récompense outre-tombe ! Voilà qui a de quoi motiver des cœurs généreux, et qui explique la joie de leurs familles à la nouvelle de leur exploit ! En comparaison, l’immense Empire romain a été christianisé non par une armée de terroristes, mais par le témoignage des martyrs, y compris enfants, qui, pendant trois siècles, furent livrés à la cruauté publique des cirques20 … Avec joie et reconnaissance ils acceptaient leur sort, bénissant leurs bourreaux de les envoyer en Paradis dans l’imitation de leur Maître crucifié. C’est grâce à ce spectacle humainement incompréhensible, d’amour, de force et de joie surnaturels, que les Romains se sont peu à peu convertis. Pourquoi l’Église semble-t-elle impuissante à faire avec l’Islam ce qu’elle a fait avec l’Empire romain ? Serait-ce parce que venant après le Christ, l’islam est un démon sept fois pire que celui du paganisme (Lc 11.24-26) ?

— 22 Les Occidentaux ne savent généralement pas qu’une mosquée n’est pas un édifice assimilable à une église, puisque les musulmans n’y offrent pas de sacrifice à Dieu. Par contre, les chrétiens, héritiers de la religion d’Israël et de sa liturgie sacrificielle au Temple, ne peuvent pas se passer d’églises, car leur culte consiste à offrir à Dieu le Sacrifice éternel du Messie, et à y communier, ce que tout un chacun ne peut faire chez lui. Une mosquée est avant tout le lieu de gouvernement de la communauté islamique, le tribunal appliquant la charia, une école pour l’endoctrinement des jeunes, le quartier général du djihad, un stock d’armes … Un lieu transformé en mosquée, même très brièvement, devient automatiquement terre d’islam, car consacré à Allah (72.18). La mosquée a pour véritable fonction d’entretenir les musulmans dans l’orgueil d’appartenir à la meilleure nation (3.110 ; 2.143), et les préparer à soumettre la terre entière (8.39,59-60). Un ancien musulman, Magdi Allam, baptisé par Benoît XVI le 26 mars 2008 — et pour cela condamné à mort (4.89 ; 8.13 ; 16.106) —, écrit : « L’État islamique est basé sur un vaste réseau de mosquées et d’écoles coraniques où l’on prêche la haine, inculque la foi dans le soi-disant “martyre”, pratique le lavage de cerveau pour transformer les personnes en combattants de la guerre sainte. Des organismes de charité et d’assistance islamiques en échange d’aides matérielles y subjuguent et soumettent les esprits, tandis que des banques islamiques contrôlent des secteurs toujours plus vastes de la finance et de l’économie. (Lettre ouverte à Benoît XVI sur l’islam) » Penser l’islam comme le christianisme, n’est-ce pas être déjà musulman ?

— 23 « Je ne prends pas plaisir à la mort de qui que ce soit (Ez 33.11 ; 18.23) » disait déjà Dieu six siècles avant la venue du Christ, qui enseigne : « Quiconque hait son frère est un homicide, et aucun homicide n’a la vie éternelle demeurant en lui. (1 Jn 3.15) » Ceux qui s’imaginent aller au Paradis en haïssant ou tuant leur prochain au nom d’Allah (4.74 ; 47.4 ; 9.111), feraient bien de se demander ce qu’ils feraient de différent s’ils voulaient servir Satan. Comment refuser la vie à autrui, et la demander à Dieu pour soi ? N’est-il pas juste que « de la mesure dont vous mesurez, on mesurera pour vous et y ajoutera encore (Mc 4.23) » ?

— 24 Un musulman ne peut pas quitter l’islam sans s’exposer à être lynché par ses anciens coreligionnaires, ses parents ayant de droit la priorité dans l’exécution de ce devoir. « S’ils renient, saisissez-les et tuez-les où que vous les trouviez ! (4.89) » ; « Égorgez-les ! […] Ils ont désobéi à Allah et à son messager ! […] Ce n’est pas vous qui les tuez, c’est Allah ! (8.12-17) » ; « Quiconque a renié Allah après avoir cru ― sauf celui qui y a été contraint ― ceux qui ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là méritent la colère d’Allah et un terrible châtiment ! (16.106 ; 2.217) » ; « J’ai bien entendu l’apôtre d’Allah dire : “Les derniers jours, il apparaîtra de jeunes fous qui diront de belles paroles mais dont la foi n’ira pas au-delà de leur gorge et qui quitteront leur religion comme la flèche sort du jeu. Alors, où que vous en trouviez, tuez-les car celui qui en tuera aura sa récompense le jour de la résurrection.” (Boukhari 84.64) » ; « Le Prophète a dit : “Si quelqu’un abandonne sa religion, tuez-le !” (Boukhari 4.63,260) »21 Le meurtre des apostats, ou le djihad, sont considérés comme des actes cultuels en islam. Le Code pénal adopté à l’unanimité en 1996 par le Conseil des Ministres arabes de la Justice prévoit la mise à mort des apostats.22 Nombre de pays musulmans sanctionnent l’abandon de l’islam par la peine capitale. Les articles 126 du Code pénal soudanais et 306 du Code pénal mauritanien,23 par exemple, prescrivent la mort de l’apostat et de celui qui invite à quitter l’islam. C’est ce qu’a revendiqué sans fard, pour tous les peuples musulmans, le représentant de l’Iran à l’Assemblée générale des Nations Unies (AG, 3e Commission, 26 oct. 1981, A/C. 3/36/SR. 29, p.5). En 1999 le Ministre de l’Intérieur français a soumis aux musulmans de France une charte devant exprimer leur acceptation des « principes républicains ». Elle ne devait “faire l’objet d’aucune négociation”, mais la clause stipulant « le droit à changer de religion ou de conviction » a été retirée à leur demande. En concédant cette exception, les pouvoirs publics ont montré leur lâcheté, qui a encouragé d’autres revendications, que le Ministre avait anticipé en arabisant la consultation ! Et si, en 2021, les signataires de la Charte des principes de l’islam rédigée par le Conseil Français du Culte Musulman à la demande du gouvernement français, « s’engagent à ne pas criminaliser un renoncement à l’islam », quatre des neuf associations signataires ont refusé de signer le texte. Quant aux autres, le moment venu, la takiya leur permettra de renier leur parole (2.225 ; 66.2). Comme l’exprime très bien le cheikh Al Qaradhâwî, éminence grise des Frères musulmans et président du Conseil européen de la fatwa et de la recherche (CEFR) : « Sans le meurtre des apostats, l’islam n’aurait pu et ne peut survivre. (Cf. Le danger de l’apostasie… et la lutte contre la zizanie, 30.12.2002) » Quel terrible aveu de faiblesse ! Mais l’islam assure encore sa survie par une constante surveillance mutuelle, qui induit des mécanismes psychologiques d’autocensure (Voir F9 ; T22). Même celui qui critique l’islam mérite la mort : « Son sang et ses biens sont licites. (Cheikh jordanien Abu Muhammad al-Maqdisi, 06.09.2005) »Et pour aider l’islam dans cet effort, les Nations Unies, le Conseil de l’Europe, et l’OSCE ont courageusement accepté de reconnaître et sanctionner le délit d’islamophobie !24 Pourquoi ne comprennent-ils pas, ces fervents défenseurs des Droits de l’homme, que l’islamophobie n’est pas plus du racisme que l’islam n’est une race ?

— 25 Certains osent comparer la violence prônée par le Coran à celle contenue dans la Bible, occultant ainsi totalement le caractère historique, et donc progressif, de la Révélation.25 Non seulement le Nouveau Testament ne contient aucun appel à la violence, mais ceux de l’Ancien Testament étaient limités à un lieu et un temps déterminé, à la différence du djihad qui doit s’accomplir partout et toujours ! De même que Jésus a demandé de préférer se couper la main plutôt que de, par elle, se priver de la vie éternelle (Mt 5.30), de même, la préservation de la Révélation divine reçue en germe par le peuple juif pour le salut du monde entier, nécessitait qu’une séparation absolue le protégeât de la contamination du paganisme environnant (Esd 9-10 ; Ps 105.34-39). L’histoire du peuple élu montre ce qu’il lui en a coûté d’adopter les croyances et mœurs de ses voisins (2 Ch 36.14-16 ; Ps 40-42). Mais déjà, dans l’Ancien Testament, Dieu avait révélé Sa différence d’avec les dieux païens en demandant à Abraham de ne pas Lui sacrifier son fils (Gn 22). Dieu ne veut pas de sacrifices humains (Jr 32.35). Il n’y a donc pas de ressemblances entre christianisme (Mt 5.44 ; 2 Co 6.14-17) et islam (4.74 ; 9.111 ; 61.4). La victime n’est pas le bourreau et un soldat n’est pas un terroriste !26 Un attentat est un attentat, et aucune raison ne peut légitimer le meurtre d’un innocent. Un militaire doit obéir à des règles définies dans des conventions internationales (Convention de Genève), mais un terroriste n’obéit à aucune règle. Malheureusement, les médias occidentaux, subjugués par la propagande islamique, conduisent les opinions occidentales à éprouver de la sympathie pour les martyrs d’Allah, qui ont beau piller, racketter, violer, décapiter et massacrer, font cependant preuve de tant d’abnégation qu’ils méritent bien quelque indulgence !27 L’absence de chronologie et l’occultation systématique des raisons premières des événements ont-elles un autre but que d’effacer l’histoire pour la réécrire au profit de l’islam ?

— 26 La légitimité du Nouveau Testament serait remise en cause par la contradiction qu’il y aurait pour Dieu à commander, par exemple, la lapidation dans l’Ancien Testament (Lv 20.2 ; Dt 22.21), et à la refuser dans le Nouveau (Jn 8.3-11). À cela il faut répondre que, pédagogiquement, il appartenait à Dieu de commencer par enseigner ce qu’est le péché et ce qu’est Sa justice, avant que de nous révéler ce qu’est Sa miséricorde et notre salut. Qu’est-ce en effet que la miséricorde sans le péché et la justice ? Par ailleurs, même si notre athéisme pratique nous a fait oublier l’absolue et adorable Souveraineté divine sur la création28 , Dieu demeure libre de reprendre la vie qu’il nous a confiée, quand et de la manière qu’il Lui plaît, y compris au nom de Sa justice (Sg 12.3-6 ; So 10.13) ― le péché méritant en soi d’être séparé pour toujours du Bien absolu méprisé. Nous ne sommes pas les maîtres de notre vie, ni à son origine ni à son terme inéluctable, aussi personne ne peut se plaindre de son sort, puisque Dieu non seulement donne la vie gratuitement, mais paye au prix de l’éternité le bien ou le mal que nous choisissons d’y faire. La mort et toutes les souffrances d’ici-bas ne sont rien à côté de la Béatitude divine offerte en partage, et rien non plus à côté des souffrances de l’Enfer (ni même à côté de celles du Purgatoire) : « J’estime que les souffrances du temps présent sont sans proportion avec la gloire qui doit se révéler en nous. (Rm 8.18) » Lorsque la Rédemption n’avait pas encore eu lieu, Dieu S’est servi des souffrances de la nature blessée depuis le péché originel, et de la Loi mosaïque, pour les mettre au service de la purification des âmes et de leur salut éternel, qui en définitive seul compte. L’ère de miséricorde que Jésus est venu ouvrir au prix de Sa passion n’a pas renié la justice divine : les arrêts de celle-ci sont seulement suspendus, le temps d’épargner, racheter, sauver ceux qui veulent bien, à Son exemple, transformer leurs peines en preuves d’amour de Celui à qui nous devons tout. « Je vous le dis : si votre justice ne surpasse pas celle des scribes et des Pharisiens, vous n’entrerez pas dans le Royaume des Cieux. (Mt 18.3) » Puisque nous avons tout reçu gratuitement, pourquoi ne pas, nous aussi, tout donner, gratuitement ?

— 27 Pour justifier le djihad, le devoir de guerre universelle et perpétuelle contre tous les non-musulmans, et soumettre le monde entier à la charia, les musulmans ne craignent pas de faire appel à l’exemple et à l’enseignement de Jésus…

a) Ainsi de Jésus faisant un fouet pour chasser du Temple de Jérusalem les vendeurs avec leurs brebis et leurs bœufs (Jn 2.15). Or, contrairement à ce que veulent le croire les musulmans, Jésus n’a pas frappé de son fouet les hommes, mais, comme le fait tout berger, Il S’en est servi pour pousser les brebis et les bœufs hors du Temple, de sorte que leurs propriétaires, les suivant pour ne pas les perdre, se sont retrouvés dehors, sous la voix tonitruante des reproches de Jésus.
b) Les musulmans citent : « Je suis venu apporter, non la prospérité, mais le glaive (Mt 10.34) », comme si Jésus appelait au djihad, alors qu’Il annonce l’hostilité que suscite la prédication de l’Évangile (2 Tm 3.12) ! Ce qu’exprime saint Luc ne parlant pas d’épée mais de division (Lc 12.51). « Vous serez haïs de tous à cause de Mon nom ; mais celui qui persévèrera jusqu’à la fin, celui-là sera sauvé. (Mt 10.22) »
c) Lorsqu’avant Son départ de cette terre Jésus demande à ses disciples : « Maintenant, que celui qui a une bourse, qu’il la prenne, de même celui qui a une besace, et que celui qui n’en a pas vende son manteau pour acheter un glaive (Lc 22.36) », Il ne demande pas de racketter au nom du djihad, mais d’user, pour vivre, si nécessaire, de tous les moyens dont dispose pour cela la justice, « les armes offensives et défensives de la Justice (2 Co 6.7) ».
d) Enfin, preuve de la cruauté assumée de Jésus, ces derniers mots de la parabole des mines : « Quant à ces gens qui Me haïssent et n’ont pas voulu M’avoir pour Roi, amenez-les ici et égorgez-les en Ma présence ! (Lc 19.11-27) »Or, Jésus prononce ici non un ordre devant incontinent être exécuté, mais une parabole ! en laquelle Il S’y désigne par cet homme « de grande naissance [pour dire Sa filiation divine] partant pour un pays lointain [Son retour au Père] afin d’y être investi de la royauté [Jésus ressuscité recevant tout pouvoir au Ciel et sur la terre (Mt 28.18)] et qui convoqua à son retour ses serviteurs afin qu’ils lui rendent compte de la mission qu’ils devaient accomplir en Son absence [annonce de ce qu’Il fera lors du Jugement Dernier] ». Qui d’autre qu’un esprit malade peut s’imaginer devoir se substituer au Juge, et se faire l’exécuteur de ses jugements, que personne ne connaît encore ? En outre, un texte ne saurait pleinement se comprendre que dans son contexte, ici l’Évangile. Or non seulement Jésus n’a jamais appelé à commettre les abominations qu’Allah ordonne, mais Il commande exactement le contraire : « Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent (Mt 5.38-48) », en donnant l’exemple jusque sur la Croix : « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ! (Lc 23.34) »

Bref, comment Jésus ne serait-Il pas aussi pour les musulmans le Signe de contradiction (3.55 ; 19.34 ; Lc 2.34), le Rocher (Dt 32.4) contre lequel s’écrasera quiconque s’y heurte, et qui pulvérisera celui sur qui Il tombe (Lc 20.18) ?

— 28 Pour justifier l’état de guerre qui a caractérisé la vie de Mahomet et les débuts de l’islam, ainsi que les versets coraniques appelant à la haine, aux meurtres et aux génocides, les musulmans invoquent l’argument de la légitime défense. Mais y a-t-il vraiment besoin d’une révélation pour commander ce que les bêtes sauvages savent faire instinctivement ? « La rétribution de ceux qui guerroient contre Allah et son envoyé [i.e. qui refusent d’être islamisés] et qui s’empressent de corrompre le monde [i.e. qui s’opposent à l’ordre islamique], c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que leur soient coupés la main et le pied opposés, qu’ils soient expulsés de la terre. (5.33) » Heureusement qu’Allah détaille la manière de torturer ses opposants (8.12 ; 47.4 ; 69.46) … sans quoi les musulmans n’auraient sans doute jamais su comment s’y prendre ! Peut-il y avoir un rapport entre de tels versets et la légitime défense ? Et qui veut croire qu’en moins d’un siècle les musulmans aient conquis un territoire s’étendant des Portes de la Chine à l’Océan Atlantique… par la légitime défense ?!

— 29 L’exaltation de l’orgueil venant du fait d’appartenir à l’islam (3.19,85,110,139 ; 9.29), conduit le musulman à se croire entouré d’ennemis. Il invoque alors la légitime défense pour justifier les actes que lui commande sa paranoïa, dans une dialectique victimaire où tout lui est dû. Et parce que « ce que redoute le méchant lui échoit (Pr 10.24) », son attitude suscite en retour l’hostilité, qui alimente la vis sans fin de sa haine. Puisqu’« Allah ne permettra jamais aux infidèles de l’emporter sur les croyants (4.141) »29 , soit Allah ment, soit les musulmans ne sont pas croyants. Dans ce dernier cas, peuvent-ils cesser de faire la guerre aux infidèles ?

— 30 Lorsqu’au Moyen-Orient et ailleurs, les musulmans justifient leur recours à la violence au motif qu’il est légitime de repousser l’invasion de nations étrangères, n’oublient-ils pas qu’eux-mêmes ont soumis par le djihad les pays qu’ils occupent ? Et s’ils reconnaissaient aux autres le respect de ce droit qu’ils réclament pour eux-mêmes, que leur resterait-il à faire, sinon à disparaître en s’acquittant de lourds dommages et intérêts ? Il suffit de lire les appels à embrasser l’islam envoyés par Mahomet aux chefs des tribus d’Arabie, aux rois de Byzance, de Perse, d’Abyssinie, etc., pour se rendre compte du caractère défensif des guerres du Prophète de l’islam. Voici la Lettre qu’il envoya au peuple d’Oman : « Paix soit sur celui qui suit le chemin droit ! Je vous appelle à l’islam. Acceptez mon appel et vous serez indemnes. Je suis le messager d’Allah envoyé à l’humanité et l’annonce sera effectuée sur les mécréants. Si, donc, vous vous identifiez à l’islam, j’accorderai la puissance sur vous. Mais si vous refusez d’accepter l’islam, votre puissance disparaîtra, mes chevaux camperont sur l’étendue de votre territoire et nous régnerons en votre royaume. Signé : Mahomet, messager d’Allah. » Ses épigones n’ont pas agi différemment, comme en témoigne l’ultimatum adressé au Président de la République française le 27 août 1995 par le GIA30 , sommation reprise à son tour en mai 2012 par Fouad Belkacem, porte-parole de Saria4Belgium : « François Hollande, je t’appelle à craindre Allah pour commencer. Je t’appelle à accepter que personne n’a le droit d’être adoré, obéi et suivi en dehors d’Allah et de Mohamed son messager. Je t’appelle à devenir musulman. » En janvier 2013, Redouane Ahrouch, fondateur du parti Islam invitait le Roi des Belges « à adorer Allah, l’Unique qui n’a point d’associés et à lui obéir, ainsi qu’à suivre la voie de l’islam […]. Sinon, vous porterez sur vos épaules le fardeau des péchés de vos sujets et de vos fidèles. » Il assurait ensuite : « On aboutira tout naturellement à un État islamique (RTBF, 29.10.2012) » reconnaissant bientôt toutefois qu’« il est trop tôt, la société n’est pas prête, on devrait couper trop de mains (Dernière heure, 02.11.2012) »… Le temps joue au bénéfice de l’islam, qui, en Europe, n’a pas besoin de s’imposer par les armes : la dénatalité européenne, l’immigration et la natalité musulmanes, les conversions, la lâcheté et la soumission des dirigeants, lui donnent d’arriver démocratiquement au pouvoir. Nous faut-il vraiment croire que « l’islam est une religion de paix et de lumière (Jack Lang, 15.01.2015) », « compatible avec la République (Emmanuel Macron, 23.06.17) » ?

— 31 Certains mettent en avant le soufisme (Voir S 18) pour faire accroire que l’islam serait une religion honorablement spirituelle. Mais ils oublient que :

a) Mahomet est l’antithèse d’une vie spirituelle (ex. 8.1 ; 33.37,50).
b) Le soufisme n’est pas l’islam pacifique que l’on imagine : sa pratique s’est toujours accordée à la prescription coranique de soumission et d’humiliation des non-musulmans (Cf. Marie-Thérèse Urvoy, Essai de critique littéraire dans le nouveau monde arabo-islamique, Cerf, 2011, p.171).
c) Le soufisme, fasciné par le monachisme chrétien, a toujours été un phénomène marginalisé sinon réprimé : on ne saurait en effet dépendre d’une autre autorité que celle du Calife, fût-ce pour chercher Dieu. Le célèbre mystique Al-Hallaj l’a appris à ses dépens.

N’est-ce pas que : « ne sont pas égaux les croyants qui restent assis [i.e. à ne rien faire], et ceux qui combattent […] pour Allah (4.95) » ?

— 32 Le djihad serait innocent des crimes commis en son nom, car il signifierait l’effort sur soi31 , ou d’abord cela. Or, la distinction entre petit djihad (la guerre telle que menée par Mahomet) et grand djihad (ascèse spirituelle) n’a aucun fondement dans le Coran, et elle n’est attestée que chez les soufis, par un hadith qui ne remonte pas avant le IXe siècle, et qui ne figure dans aucun des six recueils classiques du sunnisme. Petit Chaperon rouge que nous sommes ! N’avons-nous donc pas appris que le loup se déguise en gentille grand-mère ?!

— 33 Le djihad ne peut cesser tant que subsiste un non-musulman (2.193 ; 4.84) : « Le combat vous a été prescrit ! (2.216) » ; « Ne faiblissez pas, et n’appelez point à la paix quand vous êtes les plus forts et qu’Allah est avec vous ! (47.35) » Les alliances historiques de l’islam avec ses ennemis (4.90) ne peuvent faire accroire à un esprit pacifique, car un traité de paix entre musulmans et non-musulmans ne peut être conclu que pour une durée de dix ans maximums, le temps de refaire les forces en vue de la reprise des hostilités. Et même alors, Allah permet aux musulmans de rompre unilatéralement la trêve (8.58). Quelle paix avec l’islam (8.39-67) ?

— 34 Le christianisme demandant de croire à des mystères, faisant l’éloge de la pauvreté (Lc 14.33), de l’esprit d’enfance spirituelle (Lc 18.37), de la virginité (Mt 19.12), et de l’amour des ennemis (Mt 5.44 ; Rm 12.14-21), n’avait rien pour intéresser les hommes, plus enclins à cultiver les sept péchés capitaux (envie, colère, orgueil, paresse, gourmandise, avarice, luxure), qu’à s’élever à la possession des mœurs divines. L’expansion du christianisme en ce monde rempli de violences et de vices ne peut humainement s’expliquer, et constitue une preuve de sa nature divine. En comparaison, l’exaltation islamique de l’orgueil (3.19,85,110,139 ; 9.29) et de ses rejetons que sont la haine (60.4), la violence (9.111 ; 48.29 ; 61.4), la paresse (9.51 ; 14.10 ; 15.5 ; 57.22), l’envie (8.41,69 ; 33.50 ; 48.19,2) ; la luxure (voir D 6 ; T 3+), ne donne-t-elle pas à l’islam autant de raison de réussir que le christianisme en a d’échouer ?

— 35 Chrétiens et musulmans sont dans une perspective radicalement inverse par rapport au salut : si un chrétien est déjà sauvé, un musulman ne peut avoir aucune assurance qu’il le sera : « Allah pardonnera à qui il souhaite et châtiera qui il souhaite. (2.284 ; 3.129 ; 22.77) » À la différence des musulmans (et des croyants d’autres religions), les chrétiens ne vivent pas dans l’angoisse de savoir s’ils seront ou non sauvés : aussi gratuitement qu’ils ont reçu le don de la vie temporelle dans le sein de leur mère, aussi gratuitement dans les eaux du baptême (1 Jn 5.13) ont-ils reçu le don de la vie éternelle. La seule chose qu’ils ont à faire est de ne pas perdre ce don, et pour cela, point d’autre moyen que de le faire fructifier, tant il est vrai que l’on ne possède que ce que l’on donne (Mt 13.12 ; 25.14-30). Mais s’ils venaient à le perdre, au nom de la miséricorde infinie du Cœur de Jésus, toujours vivant parmi nous, ils pourraient retrouver ce don dans le sacrement du par-don. Parce qu’ils sont pardonnés, déjà sauvés, et donc en paix avec Dieu (Ac 10.36 ; Rm 6.4 ; 5.1,10-11,16.20 ; 2 Co 5.20 ; Col 2.12 ; 3.9-10 ; Ep 2.6), avec eux-mêmes, et entre eux, les chrétiens sont aussi les seuls à pouvoir apporter le salut et la paix au monde. Qui a dit qu’ils étaient « le sel de la terre et la lumière du monde (Mt 5.13,14) » ?

 

  1. Pour le Père E.M. Gallez (lemessieetsonprophete.com), il est malhonnête de traduire la troisième forme du verbe qâtala, par combattre, parce que combattre n’est pas synonyme de tuer. Or, à la troisième forme, un alif au-dessus du mot lui donne le sens de aller jusqu’à, et donc combattre à mort, tuer. Le sens premier, tuer, ne disparaît jamais. De plus, dans le Coran, le verbe qâtala est souvent à la première forme, et là, tous les traducteurs sont bien obligés de traduire par tuer. Les groupes verbaux aller jusqu’à tuer et combattre à mort sont présents dans le Coran respectivement soixante-douze et cinquante et une fois, dont dix et douze fois à l’impératif. La chose apparaît clairement en 9.111 : « Les musulmans tuent et se font tuer. » De ce verset (61.4) naissent des vocations d’assassins-suicidés, si outrageusement glorifiés du titre de martyrs par leurs coreligionnaires.  []
  2. Voir I 20. L’enseignement du Coran est corroboré par celui des hadiths : « Combattez les hommes jusqu’à ce qu’ils attestent qu’il n’y a pas d’autre divinité qu’Allah ! (Boukhari, De la zakat, 24.1 ; Du djihad, 56.102) » ; « Combattez-les jusqu’à ce qu’ils attestent que Mahomet est le Messager de Dieu. (Boukhari, De la foi, 2.17) » ; « L’Apôtre d’Allah a dit : Sache que le paradis est à l’ombre des épées. (Boukhari, LII, 73) », etc. []
  3. Théodore Khoury, Manuel II Paléologue [1350-1425], Entretiens avec un érudit musulman, 7e Controverse, Amand de Mendieta Emmanuel, 1967, p.344, cité par Benoît XVI, Conférence à Ratisbonne, 12.09.2008. []
  4. Med Karim Labidi, “Al-Taqiya” ou l’art de tromper l’ennemi chez les islamistes, A.I.M.E., Colloque islam contre islam, Paris, 2004, p.41. []
  5. Cité in Anne-Marie Delcambre, La schizophrénie de l’Islam, DDB, p.133. « Le Coran permet au musulman de cacher la vérité au chrétien, de parler et agir contrairement à ce qu’il pense et croit. (Mgr Beylouni, archevêque d’Antioche, Synode pour le Moyen-Orient, Rome, 2010) » []
  6. Statistiques réalisées par l’Institut Abassa (9.10.2007) dans 24 wilayas d’Algérie durant le ramadan, par rapport aux moyennes annuelles : Accidents de travail : + 150 % ; Urgences médicales : + 300 % ; Accidents domestiques : + 250 % ; Rixes et disputes causant des blessures : + 400 % ; Intoxications alimentaires : + 32 % ; Aggravation et complication des maladies chroniques : + 80 % ; Décès : + 18 % ; Femmes et enfants battus au sein du foyer : + 120 % ; Petites délinquances : + 220 % ; Délits pour vente et consommation de stupéfiants : + 96 % ; Vols de voitures, escroqueries, faux et usages de faux : + 180 % ; Accidents de la circulation : + 52 % … À Nanterre, en juillet 2013, la RATP enregistre +26,5 % d’arrêts maladie, + 137,5 % d’accidents de travail par rapport à un mois ordinaire, 93 services supprimés contre 24 l’an précédent … Selon le journal saoudien Arab News de cette année-là, la productivité baisse de 35 à 50 % durant le ramadan. Qui, sain d’esprit, peut accepter que le chauffeur de bus de son enfant conduise à jeun de nourriture et de boisson depuis la nuit précédente ? []
  7. Un exemple fameux de cette modération a été donnée après les tueries de Charlie Hebdo et de l’Hyper Casher à Paris, en 2015, lorsque le Président du Conseil français du culte musulman, M. Dalil Boubakeur, ne trouva rien de mieux à proposer pour conjurer le malheur frappant le pays au nom d’Allah, que de transformer les églises vides du pays en mosquées. []
  8. Et que financent tous ceux qui consomment des produits halal … []
  9. “Terroristes, djihadistes, radicalisés … Tous ces termes créent de la confusion, il ne s’agit que de l’islam authentique. Ces terroristes, ces radicaux, ce sont des musulmans. Ces terroristes, ce sont mes frères. ” lance lors de son procès Salah Abdeslam, seul survivant des assassins de l’attentat à Paris du 13 novembre 2015 qui a tué cent trente personnes et en a blessé quatre cent treize autres. []
  10. Voir par exemple l’enseignement d’un ancien islamiste terroriste, Mohamed Karim Labidi, Karim mon frère ex-intégriste & terroriste, Flammarion, 1997 ; histoiresdememoire.org/spip.php?article577141. []
  11. Ayatollah Khomeyni, in Amir Taheri, Holy Terror, Londres, 1987, p.226. « L’apôtre d’Allah a dit : “Sache que le paradis est à l’ombre des épées. “Boukhari 52,73” » Ce n’est pas sans raison que le sabre figure, et en double exemplaire, sur le drapeau de l’Arabie saoudite. []
  12. Les Frères musulmans, inspirateurs de la plupart des groupes terroristes musulmans contemporains, sont aujourd’hui présents et influents en de très nombreux pays. Al-Qaïda, Hamas, Fatah, Djihad islamique, Al-Gama ‘a al-Islamiyya, Hezbollah, Boko Haram, État islamique, et jusqu’aux Musulmans de France (ex UOIF), via la confrérie des Frères musulmans, sont de facto héritiers de la secte des Assassins. []
  13. http://Islamophile.org , Archived by WebCite® at http://www.webcitation.org/6WDHxg8by []
  14. Ibn Roushd, The distinguished Jurist’s Primer, Garnet Publishing Ltd, 2000, p.57. Parmi les hérésies enseignées par Averroès figure celle de l’âme humaine comme étant une substance périssable sauf lorsqu’elle s’unit à l’intelligence universelle dans l’acte d’entendement, ou encore celle de la double vérité : la vérité de foi (pour le peuple) et la vérité scientifique (pour les intellectuels), toutes deux pouvant se contredire sans problème pour l’unité de l’intellect humain et la notion même de vérité. Ce que réfuta Saint Thomas d’Aquin dans le De unitate intellectus contra Averroistas (1270). Après Averroès il ne sera même plus question de double vérité en Islam, mais seulement du Coran. []
  15. Cf. Bernard Lugan, Histoire des Berbères, des origines à nos jours. Un combat identitaire plurimillénaire, L’Afrique Réelle, 2012. []
  16. « Le Prophète d’Allah, quand on lui demandait si les femmes et les enfants des polythéistes pouvaient être tués pendant les raids nocturnes, dit : Ils en sont. (Mouslim 19, 4321) » []
  17. La doctrine de Mahomet est plus subtile qu’il n’y paraîtrait : « D’après Abou Houreira, le prophète déclara : les martyrs sont au nombre de cinq : celui qui succombe à cause de la peste, celui qui meurt de maux de ventre, celui qui s’est noyé, celui qui a été écrasé par la chute d’un mur, et le martyr sur la voie d’Allah. (Boukhari n°2829 ; Mouslim n°2914) » []
  18. La devise des Frères musulmans reprise par la charte du Hamas stipule : Allah est notre but, le prophète notre modèle, le Coran notre loi, le djihad notre vie et le martyre [i.e. mourir en tuant] notre vœu le plus cher. []
  19. Pr. Issam Sissakem, Directeur de la Faculté d’histoire de l’Université islamique de Gaza, 08/09/02. []
  20. Le sang des Martyrs est semence de chrétiens (Tertullien), tant il est vrai que l’homme cherche naturellement à devenir plus humain, ce que l’exemple de Dieu fait homme enseigne. []
  21. « Le Prophète d’Allah a dit : “Il n’est pas permis de verser le sang d’un musulman qui témoigne qu’il n’y a d’autre divinité qu’Allah et que je suis l’Envoyé d’Allah, sauf dans ces trois cas : l’époux adultère, le meurtrier, et l’apostat.” (Mouslim, 3175) » []
  22. Article 163 : L’apostat est puni de la peine de mort s’il est prouvé qu’il a apostasié volontairement et s’y maintient après avoir été invité à se repentir dans un délai de trois jours. Article 164 : Le repentir de l’apostat se réalise par le renoncement à ce qui a constitué sa mécréance ; son repentir est inacceptable s’il apostasie plus de deux fois. Article 165 : Tous les actes de l’apostat après son apostasie sont considérés comme nuls de nullité absolue, et tous ses biens acquis par ces actes reviennent à la caisse de l’État. []
  23. Article 306 de la Constitution de Mauritanie : Chaque musulman coupable de crime d’apostasie, soit par mot ou par action, sera invité à se repentir sur une période de trois jours. S’il ne se repent pas dans cette limite de temps, il sera condamné à mort comme un apostat et sa propriété sera confisquée par la Trésorerie. []
  24. ONU, Déclaration de Durban, 8 Septembre 2001 § 150 ; Conseil de l’Europe, Déclaration de Varsovie, n°9, 17 mai 2005. L’OSCE condamne depuis 2007 l’islamophobie dans ses résolutions n°1547 ; 1618 ; 1675 et 1700, affirmant la nécessité d’en finir avec « l’impunité qui règne face à l’islamophobie. » (OSCE, Rapport annuel sur les activités 2007, p.172) []
  25. Aussi vrai que Dieu a plusieurs noms dans l’Ancien Testament, les Hébreux n’ont que peu à peu connu le Dieu qui S’était révélé à Abraham (voir L 65). []
  26. Cf. Ch. Emmanuel Guerin, Comment nous piègent les terroristes, op. cit., p.108 s. Pour saint Augustin, blâmer la guerre pour elle-même est le reproche d’un lâche, non d’un homme religieux, in Enyo, op. cit. p.164. []
  27. À titre d’exemple de l’énorme manipulation terminologique dont la répétition quotidienne pénètre et oriente les esprits : les médias français parlent de terroristes corses et d’activistes palestiniens ou tchétchènes… Pourtant, si le mot terroriste convient dans les deux cas en raison de l’usage de la violence dans un but politique, les activistes corses ne pénètrent pas dans les maisons pour y massacrer leurs habitants et y tuer lâchement les enfants à bout portant ! Lorsque les journaux informent que des activistes ont abattu un enfant colon israélien, au lieu de dire que des terroristes ont froidement et lâchement tué un enfant, ils se rendent complices du terrorisme islamique. []
  28. À ce sujet notons comment, par exemple, la mise à mort des enfants de Bethléem (Mt 2.16), ou celle des gardes de saint Pierre (Ac 12.19), donnent à voir que la réalisation du salut est accompagnée du sacrifice d’innocents… que rachète celui du Christ. C’est à prendre ou à laisser : la mort n’est pas la fin de tout. []
  29. Ce qui faisait dire à C.G. Jung : « La religion d’Hitler est la plus proche qui soit de l’Islamisme. Comme lui, elle est réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses en cette vie, et son Walhalla promet aux Allemands méritoires la jouissance de tous les plaisirs. Comme l’Islamisme, elle prêche la vertu de l’épée. (Entretiens, Éditions de la Pierre, 2010, p.94) » []
  30. Le Groupe Islamique Armé revendiquait la mission de renverser le Gouvernement algérien pour le remplacer par un État islamiste. []
  31. Rappelons ici qu’il n’y a point de guerre plus rude qu’avoir soi-même pour adversaire, mais qu’il n’y a pas de victoire plus agréable à Dieu ni plus glorieuse au vainqueur ! Si nous avons le courage de faire mourir en nous tous nos désirs désordonnés, nous serons plus méritants aux yeux de Dieu que si nous convertissions des milliers de pécheurs, avec un cœur dominé par la passion. « Quand je distribuerais tous mes biens en aumônes, quand je livrerais mon corps aux flammes, si je n’ai pas la charité, cela ne me sert de rien. (1 Co 13.3 ; Lc 9.25) » []