Le Coran autorise le mariage et la défloration de gamines impubères (Coran 65.4).
Cette affirmation peut choquer de nombreux musulmans, elle fait pourtant l’objet d’un consensus parmi tous les savants du Coran.

C’est si beau la loi d’Allah, qu’en décembre 2016, la justice tunisienne a autorisé le mariage d’une adolescente de 13 ans avec un membre de sa famille qui l’a mise enceinte…

Le concept de prostituées halal se trouve dans le Nikah al-Mut’ah, le « mariage de plaisir ».
Le client signe un contrat de mariage temporaire avec la prostituée, lequel peut durer de quelques heures à quelques jours. A l’expiration du contrat, le couple n’est plus marié, et le « mari » doit payer une « dot » à sa « femme ».
A El-Hawamdia, un village d’Égypte situé à 20 km au sud du Caire.
Chaque été, selon l’agence de presse IPS, de riches touristes des Etats du Golfe envahissent l’Egypte pour fuir la chaleur oppressante de la péninsule arabique et s’installent dans des hôtels luxueux et des appartements du Caire.
De là, les riches touristes saoudiens se rendent dans leurs luxueux 4×4 dans le village voisin d’El Hawamdia, un village pauvre situé à 20 km au sud du Caire. Des intermédiaires les attendent le long des routes, et leurs proposent des locations très courtes durées, et surtout, fournies de ce qui fait la spécialité de la ville : des plaisir sexuels avec des mineures dans le strict respect de la sharia.
Selon IPS, ce sont des milliers de fillettes de 11 à 18 ans qui sont vendues chaque année par leurs familles à ces vieux riches sous le couvert d’un Nikah al-Mut’ah, un « mariage de plaisir » halal qui durera de quelques heures à quelques semaines, selon les arrangements.
Les « intermédiaires » offrent également la livraison des fillettes dans les hôtels du Caire ou séjournent les saoudiens, rapporte IPS. 
Combien ?
Une jeune prostituée pour une journée de « mariage » est facturée 800 livres égyptiennes, environ 80 euros. L’argent est partagé entre l’intermédiaire et les parents de la fille. Pour l’été complet, le prix va de 20 000 livres (2 000 euros) à 70 000 livres (7 100 euros), selon l’âge, les plus jeunes étant les plus prisées.
La prostitution halal a été interdite par une loi égyptienne en 2008. Mais la loi n’est pas appliquée. Le pays est au bord de la faillite, et il a un besoin vital de ces très riches touristes.
Selon Azzael- A shmawy, directeur du Centre contre le trafic d’enfants du Conseil national de l’enfance et de la famille égyptien, certaines fillettes ont été mariées 60 fois avant d’arriver à l’âge de 18 ans.
Et tout ceci est parfaitement légal : aucun musulman ne conteste le fait religieux qu’un homme peut se marier avec une fillette pré-pubère. A la fois le coran et les hadith l’autorisent, et Mohammed lui-même s’est marié et a eu un rapport sexuel avec A isha quand elle n’avait que 9 ans.
Au Liban, le Hezbollah propose même des prostituées halal pour assurer son recrutement :
Les musulmans s’imaginent donc qu’il est facile de tromper leur Dieu avec le stratagème du Nikah al-Mut’ah…

Ce qui différencie fondamentalement une épouse légitime d’une prostituée est la somme versée proportionnellement à la durée du mariage, car là où n’est pas Dieu, l’Argent est roi (Lc 6.24). Le mariage temporaire, appelé en Occident prostitution, est légitimé par le Coran (4.24), et pratiqué aussi bien par les chiites (nikah*-al-mutaat) que par les sunnites (nikah-al-misyâr). ‘Abd-Allah ibn Mas‘ûda a dit : “Nous participions aux expéditions avec le Prophète et comme nous n’étions pas accompagnés de nos femmes, nous lui demandâmes s’il ne fallait pas nous châtrer. Mais, le Prophète nous interdit de le faire ; puis, il nous autorisa le mariage temporaire en contrepartie d’une pièce d’étoffe à titre de mahr.” Puis, ‘Abd-Allah récita ce verset : “Ô Croyants, ne déclarez pas illicites les bonnes choses qu’Allah vous a rendues licites. Et ne transgressez pas ! Allah n’aime pas les transgresseurs.” (Muslim I.152). N’est-ce pas que l’islam est la religion qui enseigne ce qui est convenable et interdit ce qui ne l’est pas (Coran 3.110) ? 

Dans la religion d’Allah, le mâle n’a tout de même pas tous les droits : S’il a une petite épouse et qu’elle tète encore sa fille, sa mère ou sa sœur, ou la femme de son frère, son mariage est invalidé et elle devient illicite pour lui. Parce que par cet allaitement, elle est devenue sa fille, sa sœur, sa nièce. Et s’il a deux épouses – une petite et une adulte – et que l’adulte allaite la petite, alors l’adulte devient illicite pour lui parce qu’elle est devenue la mère de sa femme. (Ayatollah Ruhollah Khomeini, Tahrir al-Wassiila, Vol.2, p.248, ISBN 978-1496120663). Un musulman peut non seulement épouser sa propre fille née en dehors de son foyer, mais aussi des fillettes, comme Allah l’établit lorsqu’il traite de la répudiation, établissant que les épouses qui ne sont pas encore pubères sont soumises aux mêmes dispositions que celles qui sont enceintes ou ménopausées (Coran 65.4)… Pour échapper à la honte de ce verset certains musulmans font valoir qu’une chose est le mariage et autre chose sa consommation. Ce verset ne concernerait donc que des épouses impubères vierges. Or, un autre verset traite du délai d’attente en cas de divorce et avant la consommation du mariage (Coran 33.49), en sorte que si un délai d’attente est aussi prescrit en ce cas aux épouses impubères, il est alors établi qu’il est non seulement possible d’épouser des fillettes impubères mais encore de les déflorer… Ce qui s’appelle en pratique imiter le Prophète, parce que ce dernier a lui-même commis cette abomination au témoignage de Aïcha, son épouse préférée : J’avais six ans lorsque le Prophète m’épousa et neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations sexuelles avec moi. (Bukhari 58.236 ; Muslim 2547)[1]. Mahomet avait alors 54 ans. Il n’est malheureusement pas rare que, pour tenter d’innocenter leur Prophète de pédo-criminalité et justifier leurs propres mariages avec des fillettes, des musulmans avancent qu’une fillette peut avoir ses règles dès l’âge de huit ans… comme si cela suffisait à la rendre mature et libre d’engager sa vie ! C’est ainsi par exemple qu’au Yémen, la loi autorise le mariage des fillettes dès l’âge de neuf ans[2] et que le grand Mufti d’Arabie saoudite pouvait déclarer le 24 avril 2012 : Nos mères et nos grands-mères se sont mariées quand elles avaient à peine 12 ans. Avec une bonne éducation une fille est prête à remplir toutes les tâches conjugales à cet âge.[3] Ce vice immonde, encore donc légalement pratiqué ou remis à l’honneur dans nombre de pays musulmans, avait déjà été interdit par les Romains 1200 ans avant la venue de l’islam… Est-ce que vraiment le sort des femmes en islam doit être mis au nombre des progrès que celui-ci aurait apportés ?

[1] Notons la correspondance avec le talmud : Une petite fille de trois ans et un jour peut être acquise en mariage par coït, en cas de mort de son mari et si elle a un rapport sexuel avec le frère de son mari, elle devient à lui. Une telle fille est considérée comme femme mariée, on peut se rendre coupable d’adultère à son égard (Sanhedrin 55b) ; Il est permis de divorcer d’avec votre femme si elle brûle votre dîner, ou si vous voyez une plus jolie fille, même si elle n’a que 3 ans. (Gittin 91a ; Kerithuth, 11a-11b) ; Un juif peut épouser une fillette de trois ans et un jour. (Sanhédrin 55 b) ; Une relation sexuelle avec un garçon de moins de huit ans n’est pas de la fornication. (Sanhédrin 59b) ; Un juif peut avoir du sexe avec un enfant à condition que l’enfant ait moins de neuf ans. (Sanhédrin 54 b).

[2] En septembre 2013, au Yémen, la mort de Rawan, huit ans, par hémorragie vaginale, la nuit de ses noces avec un homme de quarante ans son aîné  à qui son père l’avait vendue pour près de 2000 € a, un temps, défrayé la chronique de quelques journaux occidentaux…

[3] Le cheikh marocain Mohamed Ben Abderrahman Al Maghrawi, a publié une fatwa en 2008 autorisant le mariage des fillettes dès l’âge de neuf ans. Grâce à une intervention occidentale et à la médiatisation internationale de son procès, Nojoud Nasser, 8 ans, a osé demander le divorce deux mois après ses noces au motif de mariage forcé par son père et d’abus sexuels par son ex-mari de vingt-deux ans son aîné (Moi Nojoud, 10 ans, divorcée, J’ai lu, 2009). Elle a eu plus de chance qu’Elham Mahdi al-Assi, fillette de 12 ans, originaire du nord-ouest de Sanaa, décédée en raison “d’une hémorragie résultant d’une déchirure vaginale” peu après sa nuit de noces avec un homme de trente ans son aîné ; ou Fawzia Abdallah Youssef, morte en couches à l’âge de 12 ans. Ces exemples, parmi tant d’autres, n’émeuvent pas les Autorités islamiques qui rejettent l’éventualité de modifier l’âge du mariage des fillettes en disant : Les musulmans doivent rejeter cette décision politique qui porte atteinte à leur Prophète. Nous devons rester libres de nous marier très tôt. (Ouléma Issa Al-Qassem). Abd Al-Hamid Al-Ubeidi, expert irakien en loi islamique, estime que les filles musulmanes sont mûres plus rapidement que les occidentales : Dans des pays froids, comme la Russie, la Biélorussie, la Scandinavie, la Nouvelle-Zélande, le Canada, une fille ne peut atteindre sa maturité sexuelle avant vingt-deux ans. Chez nous, c’est beaucoup plus tôt à huit ou dix ans.… Pour mémoire rappelons que l’âge légal du mariage établi par le Parlement de Rouen en 1666 était de vingt ans pour les filles et les garçons… Il a fallu attendre la fameuse libération sexuelle de 1968 pour que le Code Civil abaisse l’âge légal du mariage à 18 ans pour les garçons et 15 ans pour les filles.

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Près de 2000 jeunes en Grande-Bretagne, dont la grande majorité sont des filles, ont été mariés avant l’âge de 18 ans entre 2010 et 2015.

LONDRES, le 23 octobre (Fondation Thomson Reuters) – À l’âge de 13 ans, Zee est revenue de l’école un jour pour trouver une fête de fiançailles chez elle dans le nord de l’Angleterre, mais son enthousiasme pour les célébrations s’est rapidement transformé en choc.

« J’ai demandé à ma mère qui allait se marier. Elle a dit: » C’est toi « « , a déclaré Zee à la Fondation Thomson Reuters.

Sa fiancée était représentée par une photo – une cousine plus âgée qu’elle n’avait jamais rencontrée et qui vivait en Afghanistan, le pays de naissance de ses parents.

« Je ne suis même pas autorisé à parler aux garçons et le lendemain, on me dit que je vais me marier« , a déclaré Zee. (Source)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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